12 & 13- Greta, ma propriété

lundi 15 avril 2013
par  kingliart
popularité : 2%
3 votes

Chapitre 12 - Perçages

Une femme qui devient l’objet sexuel de son mari propriétaire. Elle voulait connaître ses limites. Il la transforme en un objet sans volonté, entièrement dévouée et soumise sexuellement. Cette histoire n’est ni réaliste ni sympathique, elle ne recherche pas à comprendre les personnages, les sentiments des soumises ou des dominants mais à provoquer – à vous de juger. Contient des scènes d’humiliation, de dégradation, de philosophie sexiste, de viol et actes sexuels et dégradants sans consentement que l’auteur ne cautionne pas. Si vous n’aimez rien de tout cela, passez votre chemin.

Greta a reçu son troisième perçage, le plus douloureux, il y a deux mois sur ses lèvres supérieures. Comme pour les deux autres, ce trou fut élargi progressivement en insérant un coin en verre. L’utilisation de coins en plastique l’avait irritée lors du premier perçage bien que la rougeur eu disparu dès que le ferronnier apposa à ma demande un rivet permanent en métal. Mais cette expérience fut désagréable pour elle à cause de la douleur et du fait aussi que les lèvres gonflées rendaient ma propriété inutilisable. Nous trouvâmes une bien meilleure solution en insérant des sortes de petits cônes de verres dits cônes d’écartement. Un homosexuel nous les a recommandés dans la boutique de tatouage. Ces cônes sont recourbés comme une grosse griffe pointue se terminant par une base assez large. Généralement Greta ne pouvait les garder qu’une demi-journée en place car les cônes finissaient par glisser hors du trou dans sa chair ; cela nous obligeait à des séances de fixation plus longue généralement au moment de la sieste.

J’ai beaucoup profité de ces agréables moments où nous nous obligions à ne pas faire bouger ses lèvres du sexe. Elle utilisait alors les lèvres de sa bouche pour m’administrer des fellations suaves. Greta m’a avoué avoir adoré ses sessions. Nous avons essayé de coller les cônes mais les jus produit par cette salope excitée rendaient inutiles ces tentatives. Aussi avons-nous trouvé de petits anneaux de caoutchouc assez épais qui s’enfilaient sur les cônes et poussaient ainsi les cônes profondément dans sa chair. Le trou progressivement s’élargissait de la sorte pour accommoder cette intrusion. Chaque jour, il n’y avait donc qu’à repousser les anneaux de caoutchouc sur les cônes. Greta m’a aussi dit détester ce processus car immanquablement les anneaux de caoutchouc pinçaient ses chairs. Parfois je la voyais s’arrêter en pleine rue et faire des contorsions étranges pour arriver à déplacer les cônes ne serait-ce qu’un tout petit peu. Si la douleur ne s’en allait pas nous allions dans une toilette où elle pouvait alors utiliser ses doigts pour remettre les choses en place. Combien de fois avons-nous du interrompre nos courses ?

J’ai fini par la punir aussi à chaque fois qu’elle replaçait ses cônes de percement car je la soupçonnais de profiter de ce moment d’intimité pour relâcher la pression plutôt que le contraire. J’ai d’ailleurs moi-même procédé à ce petit ajustement plusieurs fois en l’attachant en crapaud pour bien ouvrir ses cuisses en la laissant plusieurs heures dans cette position incommode. J’ai aussi profité de ces quelques occasions pour l’utiliser simplement, moi dans la simple position du missionnaire et elle, grande ouverte, pour recevoir ma bite. Une soirée nous eûmes aussi un invité à qui j’ai proposé de l’utiliser également alors qu’elle était sur le lit dans cette position avenante. Il a été décontenancé de la voir ainsi mais selon Greta, une fois que je les ai laissé à leur affaire, il l’a furieusement prise la laissant tremblante de tant de violence.

Malgré l’usage des cônes en verre ses grandes lèvres ont beaucoup souffert et l’ensemble de ce processus comme elle me l’a rappelé éfrontement plusieurs fois a été assez douloureux. Elle ne s’est jamais vraiment habituée à cette douleur ce qui m’a plutôt satisfait car j’avais un peu peur qu’elle ne perde de sa sensibilité dans un endroit si délicat. Ma propriété aurait perdu de sa valeur et cela m’aurait attristé. Le fait est que au bout de quelques mois, les trous sont élargis suffisamment pour apposer les rivets.

Deux rivets sont maintenant fixés sur chaque lèvre supérieure. Le premier se trouve situé le plus près du ventre ; il est relativement petit et c’est le plus visible et j’ai fait passer un véritable rivet en argent brillant. Nous sommes allé chez le ferreur de notre confrérie qui a effectué cela avec délicatesse. Il a été très impressionné par les ouvertures que nous avions pratiqués. Greta l’a remercié comme il se doit, en le suçant avec application. Il pu ainsi vérifier que ses boules sur la langue étaient toujours bien fixées faisant presque corps avec cet appendice. Je lui ai promis de l’inviter à une séance plus complète quand tout cela aurait été guéri où il pourrait profiter du résultat de son art. Il a utilisé un véritable pistolet à rivetage en anesthésiant les lèvres car la pression est extrêmement douloureuse pour recourber les bords de ce rivet creux effectué à ma demande. Au lieu de placer un rivet plein en effet, le cœur de ce rivet est creux de sorte qu’une fois fixé à sa chair, en recourbant les bords, le trou reste ouvert et protège la chair de tout frottement si on y passe une cordelette ou autre tige.

Le second « rivet » se trouve placé sur le trou du milieu de la lèvre, dans le trou qui été élargi pendant plus de cinq semaines. Il s’agit d’un anneau en caoutchouc qui contrairement au rivet métallique peut être retiré. L’anneau a de larges bords recourbés qui recouvrent entièrement le tour du trou dans la chair de Greta. C’est ce trou qui convient le mieux pour fixer des poids et des larges cadenas ou attacher ma propriété à un arbre, un anneau mural ou autre fixation quand il faut la retenir sur place. Ces anneaux en silicone noire sont élégants et ne l’importunent pas. Ils sont souples et assez larges pour y faire passer une barre de fer par exemple. J’ai fait cela une fois, en la faisant s’allonger sur le dos, la barre de fer dans ses trous attachée à une poulie du plafond. Pour ajouter un peu de piment j’ai fixé une sorte de goutte à goutte artisanal fabriqué dans une simple bouteille en plastique, qui déverse son eau petit à petit dans un sceau au bout de la corde qui est relié à la barre de fer et qui passe par la poulie. Au fur et à mesure le poids du sceau augmente et tire les lèvres de ma propriété vers le haut.

Le troisième trou sur chaque lèvre du sexe est le plus bas, presque à la base des lèvres et j’y ai fait passer un anneau en métal également soudé. Notre ferreur a effectué l’assemblage à chaud et Greta a senti la chaleur du métal malgré son anesthésie. Ces anneaux ne bougent pas et sont ancrés profondément dans la chair. Ils sont, à l’usage, les plus solides et permettent de fixer des poids extrêmement lourds. J’ai aussi remarqué une fois où nous étions à la campagne pour y faire des exercices que Greta était capable de tirer des poids traînant au sol par ces anneaux, alors que les autres fixations déforment trop la chair pour de tels exercices et risquent de la déchirer.

Cependant l’usage premier de tout cet appareillage n’est pas d’exercer froidement des exercices mais de remplir des fonctions de stimulation sexuelle et des jeux pour moi et d’autres éventuels usagers de ma propriété. Ces anneaux furent le début d’une longue suite de journées et de nuits où mon seul plaisir devait être au rendez-vous. Greta après avoir souffert pour orner son sexe de toutes ces pièces métalliques rentrait dans une phase où je devenais le maître de ses mouvements au sens le plus propre du terme. Elle n’avait plus aucune liberté et toute son attention était portée sur son sexe et sur comment éviter de souffrir. Quand nous avions décidé de ces percements elle n’avait peut-être pas réalisé à quel point elle devenait dépendante de son propriétaire.

Chapitre 13 – Fête anniversaire

Pour fêter le premier anniversaire de la pose de ses anneaux nous fûmes invités par des amis de la communauté à une petite fête privée. Greta portait une robe un peu courte et des cadenas enfermaient son sexe. Je lui avais signalé que personne d’autre que moi ne la pénétrerait par le devant. Par contre, elle aurait à défendre ses deux autres orifices ou les proposer même, si bien sûr je l’autorisais à se livrer à un autre. Elle avait été punie la veille car elle avait refusé de se faire empaler par un assez gros masturbateur que je voulais essayer sur elle. Je l’attachais à une petite chaîne autour de sa taille et le laissait pendre entre ses cuisses en lui signalant que la longueur de la chaîne permettait de le manier pour l’empaler si besoin.
— Comment vais-je porter cela sans être vue ? me demanda-t-elle.
— Démerde-toi ! lui ai-je répondu.

Elle avait alors pris ce monstre entre ses mains en écartant ses cuisses et fit glisser l’objet oblong entre ses lèvres et le cadenas central. Un usage très intelligent de ces nouveaux accessoires ! En marchant à une allure modérée, elle devait pouvoir le garder contre elle, entre ses cuisses sans le faire tomber. S’il tombait il se retrouverait entre ses cuisses pendant sous sa jupe trop courte pour le cacher. Ce risque me plût.
Nous sortîmes ainsi. Elle faisait des petits pas assez lents, perchée sur ses talons aiguilles. Cela lui donnait une démarche de pute, le cul légèrement retroussé, qui me ravissait et je la fis marcher ainsi devant moi en lui indiquant où aller. Un homme s’approcha d’elle, la regarda de près et voulu lui parler. Greta saisie de panique se retourna vers moi en balbutiant. Je la regardais en souriant et l’homme de nouveau s’adressa à elle, je pense pour lui proposer une passe. Elle semblait dire quelque chose et l’homme la regarda avec dégoût et s’éloigna en me jetant un dernier coup d’œil. La scène me plut. Je m’approchais alors d’elle et la pris par le bras pour la faire avancer un peu plus vite. Elle n’osait pas me demander de ralentir et je la sentais faire de petits pas à toute vitesse en serrant les fesses. Arrivés enfin au parking je la fis rentrer dans la voiture en lui demandant comme d’habitude de soulever sa jupe et poser ses fesses sur le cuir des sièges. L’engin se posa sous elle et elle souleva ses hanches pour le laisser glisser devant elle. Il était érigé devant elle entre ses cuisses comme une bite. Une fois arrivés chez nos amis, je lui posais son collier de chien au cou et une laisse. Je lui dit de sortir de la voiture et d’avancer vers la maison en tenant sa jupe relevée et en marchant devant moi en tenant l’olisbos entre ses cuisses. Un convive ouvrit la porte et se mit à rire bruyamment en la voyant arborer sa nudité décorée des chaînes, du cadenas et de l’olisbos noir en caoutchouc. En entrant le convive alerta les autres qui vinrent tous d’extasier de sa tenue. La femme que je savais être une vraie sadique fit remarquer que l’olisbos n’était pas à sa place. Elle suggéra d’aider Greta à l’enfiler. En regardant la situation de près elle déclara que visiblement seul un seul trou était disponible. J’expliquais la scène de la veille et l’amie sadique nous suggéra de bien enduire l’engin et faire accroupir Greta dans un coin de la pièce jusqu’à l’insertion totale du monstre dans son cul. Tout le monde approuva sans hésiter. Greta fut tirée par sa laisse sans ménagement par la femme vers un coin de la pièce. Elle lui ordonna de se mettre à genoux en écartant bien les cuisses et attacha la laisse à un anneau au mur en tendant la laisse pour que Greta ne puisse pas se lever. Elle posa l’engin sur un livre placé sous ses fesses et le positionna bien en face l’ouverture de son cul. « Il ne te reste plus qu’à pousser » dit-elle en riant. Greta se mit à pleurer silencieusement en me regardant : l’humiliation était totale. Je lui dis de faire ce qu’on lui disait pendant que nous prenions un apéritif. Je sais qu’elle m’aurait tué et elle me demanda un bandeau. La maîtresse se tourna vers moi : « tu la laisses parler sans permission ? ».
—  Non dis-je pas d’habitude mais …
—  Eh bien rien du tout, je la punirais si tu le permets : c’est un très mauvais exemple pour Julie !

Les convives rirent grassement. Je vis la maîtresse aller dans la cuisine et tirer vers elle une petite bonne femme entièrement revêtue de latex. Je compris que cette Julie était la propriété de notre hôtesse, la maîtresse sadique. Elle portait aussi deux énormes godes gonflables, avant et arrière, gonflés qui laissaient pendre les valves de gonflage. Un plateau était accroché à sa taille et ses seins dénudés étaient posés sur le plateau. Comme une apparition évanescente, Julie nous apportait de manière saccadée, perchée sur ses chaussures impossibles, des verres de vin qu’elle essayait de ne pas les renverser ou de tomber.

Nous sirotions et devisions avant de passer à table. Notre hôtesse se révélait une charmante personne pleine d’humour et de finesse. Cependant, elle ne manquait pas une occasion pour faire des remarques désobligeantes, voire blessantes à l’encontre de sa petite esclave en latex. De temps à autre, la maîtresse donnait un petit coup de pompe sur les valves pour rendre plus épais les deux intrus et faire gémir la petite. Puis elle lui ordonna d’aider Greta à s’empaler sur l’olisbos en la poussant sur les épaules. Julie avec ses petits pas s’approcha de ma propriété : elle posa ses petites mains gansées de latex sur les épaules de Greta et fit mine de pousser le corps imposant de ma propriété. Greta est une femme deux fois plus épaisse que la minuscule poupée de latex. Même si elle ne faisait pas semblant se serait plus difficile. La maîtresse s’approcha des deux esclaves et gifla la sienne avant de pousser Greta fortement vers le sol. J’entendis Greta pousser un petit cri : « Voilà qui est mieux… Continue maintenant » dit-elle en s’adressant à la petite qui en pleurant –probablement car on n’entendait rien- se remit à pousser les épaules de Greta. Puis voyant la maîtresse s’approcher d’elle pour la gifler à nouveau elle poussa un cri et se retourna vers Greta pour s’y appuyer rageusement. Greta hurla et je vis alors qu’elle essayait de se relever, l’engin décoller du bouquin sur lequel il était posé. Je me levais alors, retirais le livre et détachais Greta. Je la félicitais et lui demandais de remercier la maîtresse et donner un baiser à la petit Julie.

Je fis agenouiller Greta devant nous, la tête au sol, le cul bien exposé. Elle pouvait se cacher et son humiliation devenait peut-être ainsi plus supportable. Mon voisin voulait absolument « décapsuler la bouteille » comme il a dit, pour remplacer l’olisbos par sa bite. Je l’empêchais de faire cela et la maîtresse de maison finit par intervenir pour lui demander de cesser. Je savais que cet homme serait un danger pour Greta. A moins que… Je me mis à imaginer un petit scénario. Il aurait le double avantage de punir Greta et le bonhomme en question. Il me fallait pour cela la complicité de maîtresse que je finis par obtenir après un petit conciliabule.

Nous allons examiner certains usages des anneaux de Greta, puisque nous sommes ici pour fêter un an depuis le début de ce travail d’ornementation. Nous allons tester certains de ces anneaux.

Pendant ce temps Greta était toujours au sol, comme une petite chienne, les fesses en l’air. « Nous avons décidé de faire pardonner Julie… » dit un des hommes qui présenta Julia avec un harnais et un phallus en caoutchouc. La maîtresse m’expliqua que cet engin avait deux côtés : celui visible et un autre qui logeait au fond du vagin de sa petite esclave. Julie fut amenée face à Greta et on la fit se courber au-dessus de ses fesses. Elle n’eut pas grand-chose à faire pour s’enfoncer rapidement et se mettre à le glisser comme pour violer sa victime. Greta poussait des gémissements pendant qu’elle se faisait prendre par ce sexe factice et que la petite pistonnait comme une machine. Je fis arrêter le manège et obligeais Greta de sucer le phallus artificiel. Je l’obligeais aussi à remercier la petite de l’avoir si bien baisée. Très réticente, Greta s’exécuta malgré tout, et son hésitation fit rire la maîtresse. « Comme tu es mal élevée ! » cria-t-elle en me regardant. « J’ai une autre punition pour les insolentes », ajouta-t-elle. Elle prit Greta par la laisse et la fit se mettre à quatre pattes devant nous. Puis elle amena une petite planche qui avait des attaches et des lanières permettant de la fixer sur le dos de Greta. La planche recouvrait le dos mais obligeait aussi à courber l’échine. Une lanière passée autour du cou et une autre autour du front de Greta l’obligeait à garder la tête courbée. Puis elle lui fit prendre en bouche un sorte de manche tel un phallus qui lui aussi était attaché à la planche obligeant à garder la bouche bien pleine. Les fesses étaient clairement visibles et exposées et je ne pus m’empêcher de la fesser. Elle était ainsi transformée en petite table basse les fesses chauffées. Elle eu à se tenir ainsi pour le reste de la soirée. Quand je la libérais, elle s’effondra de fatigue dans mes bras et j’eu pitié d’elle. Je la félicitais de son excellente tenue durant cet anniversaire. Tout de même je dus la punir le lendemain pour n’avoir pas remercié l’hôtesse des lieux qui l’avait si diaboliquement entravée.

PRECEDENT ...................................................................A SUIVRE


ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
- d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
- d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
- d’accéder à la galerie photos privée de RdF.

Entrez votre pass abonné

OFFRE DECOUVERTE (code valable 2 fois seulement)

Allopass Solution de micro paiement sécurisé
Secure micro payment solution
Pour acheter ce contenu, insérez le code obtenu en cliquant sur le drapeau de votre pays
To buy this content, insert your access code obtained by clicking on your country flag

Commentaires

Logo de Henic
mardi 16 avril 2013 à 16h20 - par  Henic

C’est toujours avec plaisir que l’on suit les aventures de Greta. Dans ces épisodes , deux choses sont frappantes : tout d’abord, ils sont beaucoup moins durs que les précédents pour « ma propriété » que l’on s’étonne de voir manifester autre chose que la soumission parfaite qui lui a été imposée jusque là. Ensuite, l’auteur lui-même se laisse réprimander par son hôtesse d’un soir, qui manifeste ainsi d’ailleurs qu’elle n’est pas la parfaite maîtresse de maison qu’elle est sensée incarner.