Greta, ma propriété (8 & 9)

8. Entraînée par la femme cheval
dimanche 10 février 2013
par  kingliart
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8. Entraînée par la femme cheval

La femme en rouge avait la tête recouverte d’une cagoule qui lui recouvrait les yeux. Seuls le nez et la bouche étaient visibles ainsi que ses seins et son entrejambe. Elle portait un harnais en cuir noir qui enserrait tout le corps d’une véritable cage de lanières en cuir. Conrad lui expliqua que se serait sa compagne du jour. Cette femme restait plusieurs jours sans rien voir pour s’habituer à se guider avec tous ses autres sens. Sa cagoule était percée aux oreilles et les bouts de ses doigts n’étaient pas couverts par les gants de latex qui recouvrait entièrement ses bras. Conrad expliqua que Hymène, c’était son nom, était une coureuse aguerrie et que son séjour se résumait à courir, jouer à la femme cavale, et bien sûr se faire enculer par les Maîtres car elle ne pouvait pas se faire pénétrer par le vagin : en effet, une ceinture de chasteté métallique recouvrait entièrement le pubis mais laissait le derrière entièrement découvert, autre partie de son anatomie qui n’était pas couverte de latex.

La dureté des mots employés, malgré tout ce que Greta avait déjà entendu et vu semblait la gêner. Elle le fut encore plus quand Conrad fit écarter les cuisses de la femme en latex, qu’il détacha la ceinture et lui montra ce qui semblait non seulement être un sexe glabre mais entièrement scellé. Conrad lui expliqua que Hymène avait le vagin fermé, d’où son nom ajouta-t-il, les lèvres avaient été cousues (horreur !) après qu’un cathéter fut installé. Le tout était recouvert d’une couche de sparadrap rendant son sexe invisible. Elle avait une petite poche accrochée à sa cuisse pour récupérer son urine car elle ne pouvait plus contrôler sa vessie. Quand elle courait la poche était accrochée au dos de son harnais et le tuyau passait entre ses fesses pour ne pas la gêner. Régulièrement, Conrad lui déliait les lèvres de son sexe pour la nettoyer et remplacer le cathéter. Cette opération au début était faite avec une anesthésie locale, précisa Conrad, en voyant le regard horrifié de Greta. Mais maintenant, les orifices par où passaient les fils épais qui maintenaient son sexe scellé, s’étaient suffisamment agrandis et avaient cicatrisé, de sorte qu’aucune précaution particulière n’était plus nécessaire. Cela faisait trois mois déjà qu’elle avait enfilé une combinaison de latex et elle ne l’enlevait que rarement pour se laver et immédiatement être scellée à nouveau dans le matériau brillant qui lui plaisait, follement. Hymène était là de son propre chef : elle n’appartenait à personne en particulier. Mais elle semblait prendre plaisir à être ainsi manipulée, violentée et exercée quotidiennement. Elle avait gagné de nombreuses courses en Angleterre et en Hollande organisée parmi cette société de fan des « ponygirls ». « Quand Hymène courre elle porte aussi une queue fixé dans son anus par un petit gode métallique que l’on fixait sur la ceinture de chasteté ».

Greta apprit aussi qu’elle allait être attachée à cette femme qui n’appréciait pas les boulets. Conrad passa un harnais sur la cagoule de la femme qui comportait un mord de cheval en caoutchouc. Hymène se laissait faire docilement comme un cheval que l’on prépare à la course. Avant de préparer Greta, Conrad lui expliqua qu’elle devrait entraîner Greta ce jour. La femme hocha de la tête et voulu toucher Greta. Elle la palpa au visage, puis les seins. Elle s’arrêta longuement sur le corset, les attaches, inspecta son entre-jambes, examina le pal de ses doigts, le prit entre ses mains pour vérifier toutes les attaches, elle glissa son doigt dans les orifices, puis les jambes, les cuisses, les genoux, les chaînes… Elle s’arrêta sur les pieds et se leva en montrant du doigt les pieds de Greta. Conrad lui expliqua que Greta ne porterait pas ces sandales pour courir mais que son propriétaire ne voulait pas la transformer en femme cavale comme elle. Il suffirait juste de la faire courir une heure ou deux. Hymène hocha de la tête et se laissa entraver les bras derrière le dos de manière très étroite. Elle avait les bras pliés en arrière, la courbe du dos cambrée et semblait à peine sentir la force des liens. Conrad expliqua à Greta que cet harnachement très étroit n’était pas celui de la course où il faut plus de liberté, mais juste un dressage des bras et des omoplates pour apprendre à supporter des liens étroits. Elle avait déjà gardé cette forme très étroite qui lui ramenait les épaules douloureusement en arrière jusqu’à cinq heures. Elle semblait vouloir tous les jours passer plus de temps mais Conrad l’empêchait à ces extrêmes. Pendant qu’ils parlaient Greta vit la petite poche se remplir de quelques gouttes d’urine. Elle regardait ce spectacle, hallucinée.

Conrad fixa une longue chaîne au cou de la femme svelte et l’attacha au poteau central d’un manège : la femme commença à marcher, trotter, courir en tirant sur sa propre chaîne. Elle fit plusieurs tours sans s’arrêter. Après cela, son souffle semblait à peine plus rapide que la normale. Conrad lui indiqua qu’elle allait accrocher Greta derrière elle en faisant passer une chaîne sur la ceinture. Les deux femmes se mirent à marcher en rond dans le manège et Greta senti la chaîne se tendre et la tirer avec force. Conrad lui dit de courir pour ne pas tomber. La femme en latex courait maintenant mais nettement moins vite que tout à l’heure en tirant la pauvre Greta tout essoufflée de cet exercice. De temps à autre elle criait à la femme de courir moins vite, faisant ralentir cet étrange attelage mais à aucun moment la grande femme ne s’arrêta. Quand ce fut le cas une bonne demi-heure plus tard, Greta était sans souffle. La grande femme hochait de la tête ne pouvant pas parler dans son mord. Conrad expliqua à Greta qu’elle ferait cet exercice tous les matins et les après-midi à moins qu’un maître ne l’ait demandée pour son propre usage. Il l’attacha sous les arbres pour le regarder préparer Hymène. Il relâcha les liens de la coureuse et la fit mettre à genoux pour lui insérer un gode anal assez imposant retenu par des chaînes. Et de nouveau elle repartit courir en rond dans le manège sous les yeux éblouis de Greta.

Pendant ce temps, Conrad avait sorti la truie de sa cage et l’avait amenée à quatre pattes devant un bac rempli d’une eau boueuse. Elle ne portait rien de plus que son collier et sa laisse. La femme se plongea dans la boue et se recouvrit entièrement le corps. Puis elle se présenta toujours à quatre pattes devant le gardien qui lui attacha les bras et les jambes d’un étroite et étrange manière. Les avant-bras étaient repliés avec la paume de la main au niveau des épaules, les jambes repliées entièrement et reliées sur ses cuisses fortement. Il lui avait aussi mis ce qui ressemblait à des patins sous les coudes et les genoux. Une fois au sol ainsi attachée la truie semblait un animal avec de courtes pattes. Elle se mit à « marcher » dans la cour de l’étable ainsi à quatre pattes en poussant des grognements. Jamais elle ne prononça une parole alors qu’elle n’avait aucun bâillon. Greta par contre portait un énorme bâillon qui la faisait baver. Elle eu la surprise de voir la truie s’approcher d’elle et lui sentir le sexe puis se mettre à la lécher. Conrad eu à intervenir pour l’empêcher de la faire jouir.

Dans quelle ménagerie était arrivée cette pauvre Greta ? Elle se demandait pour quelle raison ces femmes se laissaient ainsi dégrader et avilir. Elle-même d’ailleurs… Ces pensées furent de courte durée car on leur apporta à manger. La truie mangeait dans une auge au sol. Hymène déjeunait assise comme un être humain et Greta devait rester debout pendant qu’elle vidait le bol de soupe épaisse qu’on lui avait apporté.

9 – Un beau saladier

La vie champêtre fut interrompue par l’arrivée de Maître Michel qui embarqua Greta et la traîna par la laisse vers la demeure. Les invités étaient tous à table et deux femmes dans de courtes jupes et habillées de leur colliers et de chaussures vertigineuses faisaient le service. On décida de passer au dessert et pour cela il fallait transformer Greta en un saladier.

On fit entrer Greta, on la détacha et on la fit mettre à quatre pattes sur la table, après lui avoir enfilé une cagoule lui recouvrant les yeux mais ni la bouche ni le nez... Beth vint lui visser une sorte de plateau ovale au milieu de son pal qui avait des encoches permettant de fixer les jambes tout en les écartant. Puis, on la mit sur le dos, en la renversant de sorte à ce qu’elle ait les cuisses en l’air, recourbées vers le torse mais en même temps écartées par le plateau. Position incommode et obscène qui lui faisait ouvrir le sexe aux yeux de tous. Elle était maintenue dans cette position incommode par un collier fixé sur le plan de la table et aussi par une chaîne qui retenait ce plateau à un anneau vissé sur la table derrière sa tête. Cette chaîne servit aussi à y attacher une sorte de bâillon ouvert, en réalité un tube épais qui obligeait Greta à garder sa bouche grande ouverte. C’était là le pire aspect de sa position : le tube était aussi un entonnoir dans lequel pendant toute la soirée on jeta des petits bouts de fruits, des épluchures, on y fit couler du sucre, du vin, de l’eau. Quiconque faisait cela avait le loisir de la voir s’étouffer et Beth était chargée de l’empêcher de s’étrangler. Elle devait retirer les morceaux trop grands pour passer le tube et les mâchonner puis les recracher dans l’entonnoir. Cette ignoble pratique fut ce qui tira le plus de larmes du beau visage torturé de Greta qui eu a apprendre rapidement comment récupérer tous ces détritus et avaler malgré tout. Durant la soirée on y cracha et on y urina, évidemment plusieurs fois. Ainsi sa bouche fut une sorte de dépotoir pour les convives mortifiant Greta, la transformant de manière concrète en poubelle de table.

Son sexe par contre exposé comme il l’était fut enduit avec de la glace et des crèmes. Une servante posait régulièrement des boules de glace sur son sexe, ses seins et son ventre. Le froid faisait tressaillir Greta. Les invités se levaient les uns après les autres pour lécher la glace qui coulaient entre les jambes et sur les flancs de Greta. Des doigts abusèrent d’elle pour aller y chercher le jus coulant entre ses lèvres. A un moment, la Maîtresse inventa un jeu qui consistait à poser une pêche puis une orange entières entre les cuisses de Greta à l’ouverture de ses lèvres et lui demander de les faire bouger. Pour l’encourager elle prit le martinet et la fouetta sur le ventre précisément là où la douleur est la plus forte. A la fin de cette soirée, elle était une masse collante et recouverte de glace, de sucre et de jus de fruits. Jamais quiconque ne lui adressa la parole ou ne la regarda souffrir. On s’exclama beaucoup par contre quand elle bougeait son corps sous l’effet de la fatigue ou des coups.

Le corps totalement inerte fut détaché de son plateau et elle fut allongée sur la table basse. On lui attacha les mains dans le dos, accrochés au pal qui ornait son derrière. Il s’agissait de la laisser se reposer mais le pal l’empêchait de se tenir bien allongée. Maître Marcel exigea d’elle une fellation. Greta sentit la bite se poser sur ses lèvres mais ne réagit pas : la Maîtresse lui ordonna d’ouvrir grand sa bouche pour y recevoir son Maître. Comme elle ne réagissait toujours pas elle lui ferma le nez et Greta finit par couiner, ouvrir la bouche… A ce moment, deux mains lui gardèrent la bouche ouverte et on y enfourna un écarteur qui lui ouvrait largement la mâchoire. « Elle mérite pas mon sperme ! », prononça Marcel de sa voix de fausset mais sentencieuse. Il pissa dans sa bouche et le flot se répandit dans sa gorge mais aussi sur elle. Beth lui retira l’écarteur pendant qu’une main d’homme la mit à quatre patte dans la flaque formée sous elle et lui frotta le nez dessus comme un animal. Un autre en profita pour la pénétrer à ce moment dans le cul pendant qu’une main maintenait sa tête sur la table qui de ce fait se frottait dans la flaque. Greta pleurait, criait, demandait pardon, pitié, que cela s’arrête… Une fois satisfait l’homme qui l’avait enculée lui demanda de le remercier et comme elle ne répondait plus que par des pleurs, il commença à lui cravacher les fesses poisseuses.

Quand Beth détacha Greta, elle entendit son mari exiger de ne pas la laver jusqu’au lendemain, car on la mettrait dans la machine à laver comme un vêtement. Les rires fusèrent. Elle était devenue un vulgaire objet, un chiffon aux mains de ses tortionnaires. Elle fut emmenée sans ménagements vers l’étable. Conrad l’accompagnait également et dit qu’il ne la poserait pas sur le lit car elle était trop sale : elle aurait à rester au sol sur la paille comme un animal. Seule une couverture lui fut accordée pour se protéger du froid. Seul avantage de cet arrangement, Greta pu se coucher sur le côté sans être entravée sur le lit comme la nuit précédente. Sa fatigue probablement devait l’empêcher de comprendre la forte dégradation qu’elle avait subi, l’humiliation permanente dont elle était l’objet. Pouvoir se mouvoir plus librement, même attachée par sa laisse, était la seule consolation pour cette femme réduite à l’état d’objet.

Huit chapitres plus brefs.... viendront compléter cette histoire. A bon entendeur....

7- Greta, ma propriété ....................................................... SUITE|]




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Commentaires

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jeudi 14 février 2013 à 07h43 - par  Henic

Kingliart l’avait annoncé en introduction : cette histoire n’est pas une histoire de soumission « entre adultes consentants ». Ou plutôt, elle en est une conséquence cruelle et brutale. Bien décrite, d’ailleurs, avec quelques éléments concernant les réactions et pensées de Greta qui, sans cela, ne serait vraiment plus rien...