9 - Les transformations de la pièce 69

Chapitre 9- Routines de dressage
mercredi 2 janvier 2013
par  kingliart
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//Attention : histoire assez « hard » (mais en voie de mollissement dans cet épisode) et ne reflète pas des situations réelles. Merci aux encouragements ; La deuxième phase de transformations commencera après cet épisode. //

Sa routine matinale, après le lavement le corset et les chaussures, se déroulait toujours de la même manière. Une fois chaussée, Guy, son gardien, lui glissait les bras dans le gant de cuir unique qui enserrait les deux bras dans son dos et le resserrait jusqu’à ce que ses omoplates se rapprochent, que les coudes soient côte-à-côte. A chaque fois qu’il resserrait, elle se demandait si son dos n’allait pas se disloquer. Les larmes de douleur jaillissaient alors de ses yeux et seul le bâillon qu’elle portait toujours durant les séances de laçage retenait ses cris. Mais il est vrai que tous les jours cette douleur semblait devenir légèrement plus facile à supporter ; peut-être qu’effectivement son corps s’accommodait de cette entrave permanente et douloureuse, comme l’avait promis Monsieur Duchateau en s ‘adressant à son maître.

Un jour, son gardien lui apporta un grand miroir qu’il planta devant elle : elle vit alors la cambrure extrême de son dos, ses seins pointant en avant, son corps resserré de partout ; de face, elle semblait n’avoir pas de bras ! Perchée sur ses hauts talons, les seins en avant, le menton bien haut, elle semblait être une statue, fine, élégante même. Les seins fièrement rehaussés mais zébrés par le fouet fut ce qui l’impressionna le plus : comment avaient-ils grandis autant ? Les tétons avaient facilement doublés de volume ! Le froid, le vent, l’effort, l’excitation les maintenaient érigés. Les manipulations aussi car nombre de doigts les avaient pincés et roulés douloureusement. Les bras, tirés si fortement vers l’arrière, donnaient l’impression que ses épaules n’avaient pas de bras. Les omoplates resserrées tiraient les épaules vers le bas et cela ajoutait à l’étrangeté de ses seins qui trônaient au milieu d’une étroite poitrine de cette poupée enserrée dans de multiples lanières, lacets et cordes.

En voyant son image, elle eu un choc. Elle se dit qu’ils avaient réussi à la modifier bien plus qu’elle ne l’imaginait. Elle regarda entre ses jambes et ne put voir que la plaque métallique qui recouvraient entièrement son sexe et disparaissait entre ses cuisses. De face on ne voyait pas tout l’appareillage qui torturait son cul en permanence, les élastiques reliés depuis son gode anal à ses anneaux aux pieds. Son gardien lui fit écarter les cuisses, comme à son habitude en donnant des petites tapes sur le haut des cuisses. Elle vit dépasser le gode, en effet, les élastiques aussi qui formaient un triangle entre son cul et ses pieds. Elle fléchit des jambes pour mieux voir. Elle fit un quart de tour pour voir ses bras. La chaîne qui la retenait à un œillet fixé au plafond fit un bruit qu’elle ne reconnut pas immédiatement bien que le son des chaînes sur son collier fusse usuel : en effet, sans sa cagoule les sons redevenaient nets.

Elle ne savait pas très bien si de se voir ainsi dans la glace, prise, enchaînée, contrainte, tenue par son cul et le sexe entièrement caché n’était pas plus dégradant que de se savoir attachée mais aveugle à sa dégradation. L’homme qui pensait bien faire, lui indiqua son admiration : en effet, ses jambes s’étaient affermies, elle avait même l’impression que ses mollets bien que plus musclés étaient plus fins, ses hanches étaient comme élargies par sa taille contrainte étroitement pas le corset et, encore, ses seins alourdis et rehaussés semblaient souligner la finesse de son corps. De manger peu, astreinte comme un animal, de devoir limiter sa ration alimentaire forcée et contrainte par son soigneur, ne lui avait pas si mal réussi, se dit-elle tout de suite honteuse de sa propre pensée. Elle se regarda coquette, face au miroir, sa beauté appuyée par les mots aimables de son gardien. Elle eu envie de se caresser les seins. Elle poussa un soupir en regardant Guy. Il vint vers elle et la caressa, avec douceur, son corps réagit apaisé malgré tout cet appareillage et ses contraintes. Elle se laissa longuement caresser et ferma les yeux de contentement.

Guy la laissa de nouveau se regarder, étonnée de cette douceur. Il commença par lui resserra les liens dans le dos, lui arrachant un cri guttural du fond de la gorge. Comme une vengeance pensa-t-elle. Elle se voyait totalement entravée et se mit à penser à elle-même non plus comme une femme avec des bras mais comme … elle hésitait, comme quoi ? Un animal mais lequel ? un cheval ? Non, curieusement, elle n’arrivait pas à assimiler ce rôle malgré tout. Elle n’était rien d’autre qu’une femelle que l’on maltraitait… rien à voir avec les promesses de son amant. C’est à ce moment que Guy lui caressa les épaules, les seins, et la regardant bien en face, puis allait derrière elle pour serrer encore les liens à lui en couper le souffle. C’était étrange car en resserrant trop étroitement les omoplates pour pouvoir garder les bras collées l’un à l’autre à l’intérieur de la gangue de cuir que formait ce gant unique elle se relevait, cherchait à monter, se rendre plus fine, s’étirer… La douleur semblait s’évanouir quand elle faisait ces mouvements. Une fois fixé le gant, épreuve toujours terrible, elle soufflait fortement et l’homme la caressait comme on caresse une jument trop énervée. Généralement, il attendait qu’elle ait retrouvé un rythme normal pour lui enfiler sa cagoule et la plonger de nouveau dans l’obscurité. Mais ce jour, ce ne fut pas le cas. Guy la regardait faire. Puis lui dit, admiratif : « J’ai jamais vu une gonzesse aussi belle de ma vie ! et pourtant ici j’en ai vu des belles et des moches ! T’es la plus bandante aussi » et joignant le geste à la parole il passa ses mains entre ses cuisses. Mais elle ne pouvait pas ressentir de caresse, son entrejambe étant toujours entravé par sa ceinture de chasteté. Ses doigts rencontrait son anus...« Dommage que ton régime devienne plus sévère. » ajouta-t-il.

Elle ne savait pas pour quelle raison l’homme avait choisi de lui dire ces mots ni lui laisser ces quelques minutes de répit. Mais, il lui libéra la bouche, un bref instant. Elle voulu parler mais Guy lui fit « chuuut ! ne parle pas c’est trop dangereux ! ». Il l’embrassa sur la bouche comme un amant le ferait, cherchant profondément sa bouche, sa langue, sa chaleur. Il avait resserré sa main dans la nuque et la pression de ses doigts envoyaient des frissons dans le corps torturé de 69. Etourdie encore de ce long baiser amoureux, il lui enfila sa cagoule. Puis il installa un harnais de tête avec un mors plus épais. Elle ne pouvait pas voir que les côtés de ce mors étaient comme des roues et les rênes étaient fixés sur le haut de la roue. Le mors non seulement était plus épais lui gardant la bouche plus ouverte mais en son milieu il y avait une languette que Guy installa dans sa bouche. LIRE LA SUITE

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