L’histoire de Jane

dimanche 11 novembre 2012
par  Fatum
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Je venais d’avoir trente ans quand ma vie changea du tout au tout.

Auparavant, je pataugeais dans une vie guère exaltante. Je donnais quelques heures de cours de psychologie dans deux écoles de Bourges, mais n’en étais guère rétribuée. Je venais de rompre pour la deuxième fois d’avec un homme, et ma vie sexuelle était loin d’être une réussite. Sur le plan familial également, elle était loin d’être brillante. Je venais d’avoir quinze ans lorsque mon père, un matin maudit, vint me retrouver dans ma chambre. Ma mère était absente pour quelques jours et se trouvait à Paris pour y soigner ma grand-mère. Et mon père n’hésita pas à profiter de l’aubaine. Ce qu’il me fit était ignoble. Totalement ignorante en la matière, ma mère étant d’une sévérité jamais prise en défaut, je découvris ce jour-là que l’acte d’amour n’était pas du tout ce dont je rêvais. J’eus beau l’implorer, le supplier de me laisser tranquille. Rien n’y fit

« Il est temps que tu apprennes ces choses-là, et tu sais que ta mère ne t’en informera pas. Alors, laisse-toi faire et commence par te déshabiller ! »

J’eus beau pleurer, l’implorer, rien n’y fit. Je ne le reconnaissais plus. Et pendant deux jours entiers, je fus sa victime

« Tu es très jolie – me disait-il – tu deviendras une fort belle femme. »

Mais ce qu’il fit avec moi était absolument ignoble. Il commença par me déflorer. « Une bonne chose de faite ! » osa-t-il plaisanter. Mais il ne s’arrêta pas là. Il me sodomisa ensuite. Puis, je dus lui faire une fellation. Je supportais en silence, il n’eut pas un mot de moi. Jamais je n’aurais cru qu’il me violerait ainsi.

Quand elle revint, je mis ma mère au courant .Elle décida immédiatement de mettre un terme à son mariage, menaçant mon père de dévoiler à la justice ce qu’il m’avait fait. Il accepta de prendre les torts à sa charge, et de verser à son ex-épouse une grosse pension alimentaire. Il lui laissa aussi la maison où nous vivions. Je pus terminer mes études, et après mon bac passai à l’université pour y décrocher une licence de psychologie. Entretemps, ma mère en estimant avoir assez fait, me quitta pour se mettre en ménage avec un ancien colonel, et m’abandonna la maison.

Pendant deux années, je vécus de manière assez misérable, ayant du mal à nouer les deux bouts. J’eus quelques amants, mais aussi et surtout quelques amantes qui me firent découvrir des plaisirs auxquels je m’habituai de plus en plus. Et puis, subitement, ma vie bascula complètement. Mon père avait eu un accident de voiture dans lequel il avait perdu la vie et à ma grande stupéfaction, j’appris par son notaire qu’il m’avait désignée comme sa légataire universelle. Je devenais riche, très riche même. J’héritai d’un vaste appartement dans la capitale, plus une énorme villa avec piscine, cachée dans les Pyrénées. Une autre villa avec un grand parc à Ibiza. Outre ces bâtiments, il me laissait une impressionnante fortune en titres et actions diverses dont les intérêts me permettraient de mener une vie somme toute assez fastueuse. J’abandonnai alors mon emploi, et me demandai à quoi passer mon temps.

Dans un club de lesbiennes où je me rendais quelque fois, j’avais découvert que deux d’entre elles, proches de la cinquantaine, avaient à leur disposition chacune une jeunette, à peine sortie de l’adolescence, qui leur étaient totalement dévouées. Leurs maîtresses, puisqu’il fallait bien les appeler ainsi, étaient d’une sévérité totale avec leurs protégées, et j’avais appris par hasard qu’elles s’en servaient pour calmer leurs appétits sexuels de plus en plus difficiles à satisfaire, vu leur âge déjà avancé. Et je me décidai à examiner la question. Après y avoir mûrement réfléchi, je me mis en chasse.

Mes études m’avantageaient, et j’avais appris lors de mes cours, à manipuler les demoiselles. Je comptai bien m’en servir pour me trouver une soumise, ou plutôt une personne que je pourrais modeler à ma guise. Je me rendis alors à gauche, à droite, dans des cercles sportifs. Et j’y découvris Jane, joueuse de tennis très douée, qui était âgée de dix-huit ans. Je la suivis patiemment, durant quelques tournois qu’elle remporta haut la main. Et le soir où elle connut pour la première fois une défaite cinglante, j’en profitai pour la consoler. Son caractère entier avait fait fuir ses relations, et elle se retrouvait seule au bar du club, où elle ne cherchait même pas à cacher ses larmes. Je vins me placer à ses côtés, et sans avoir l’air d’y toucher, me mis à lui parler, montrant que j’étais au courant de ses précédentes victoires. Je parvins à la faire sourire, lui offris un verre, bavardant avec elle de son avenir. Puis, je lui proposai

« Venez manger avec moi, je vous invite. Je connais en excellent petit restaurant grec, près d’ici, où nous serons à l’aise pour faire plus ample connaissance. Puis, comme il se fera tard, et que vous n’avez pas de moyen de locomotion, je vous propose de venir passer quelques jours de repos dans les Pyrénées où je possède une merveilleuse villa. J’aimerais mieux vous connaître, et essayer de vous aider. »

Elle accepta. Je m’esquivai un moment pour donner un coup de fil. Trois heures plus tard, un petit avion privé viendrait nous prendre à Bourges et nous déposer à Carcassonne, d’où une voiture nous amènerait à ma propriété.

Le repas se passa comme prévu. Sans qu’elle s’en rendre compte, je parvins à persuader Jane qu’elle devait absolument se reposer, et prendre le temps de réfléchir à son avenir. Et quand elle apprit qu’elle voyagerait dans un petit avion, elle battit des mains. Elle avertit sa mère de ce qui se passait, et heureuse d’être pour quelque temps débarrassée de sa fille, la mère accepta . Son père, lui, vivait depuis des années en Amérique, et elle ne l’avait plus vu depuis son départ, quand elle était âgée de quatre ans. Elle avoua s’en souvenir à peine. Tous ces renseignements me confortèrent : j’avais trouvé celle que je cherchais. Bien sûr, elle n’avait pas prévu de bagages. Mais je la rassurai : sur place, nous trouverions tout ce qui lui manquait. Je donnai un dernier coup de téléphone à Manon, la personne de confiance qui en mon absence s’occupait de ma villa, et cumulait les postes de cuisinière, femme de chambre et intendante. Elle devait avertir Bernard, notre homme à tout faire, chauffeur et jardinier, et lui dire de venir nous prendre à Carcassonne. Le voyage fut parfait.

Décontractée maintenant, Jane papotait sans cesse, s’émerveillant de ce qui lui arrivait. Elle avait oublié sa défaite, et compris le bien-fondé de ce que je lui avais dit. La première phase de mon plan marchait à la perfection.

Lorsque nous avons atterri, Bernard était déjà là. Je le vis jeter un coup d’œil intéressé sur celle qui m’accompagnait mais comme il avait l’habitude de le faire en public, il me salua respectueusement. Une heure plus tard, vers minuit, nous étions arrivés. J’avais pris l’habitude de venir de temps à autre dans cette propriété. Elle se trouvait complètement isolée, au milieu d’un parc de trois hectares, clôturé par un haut mur. La porte d’entrée était totalement sécurisée, et peu de gens connaissaient l’endroit. Le bâtiment, très moderne, comportait quatre chambres, toutes avec salle de bain, un énorme living, et les dépendances. Il y avait aussi un garage pour trois voitures, un grand chenil, vide pour le moment. Manon et Bernard vivaient dans un petit bungalow au fond du parc, où ils disposaient chacun d’une chambre et d’une salle de bains. J’ignorais si des relations plus poussées existaient entre eux et à vrai dire ne m’en souciais pas. Mais tous deux m’étaient totalement dévoués, et toujours prêts à me rendre service, quoi que je leur demande. En fait, je les utilisais pour me faire l’amour, à deux ou à trois. Et l’arrivée de Jane allait encore corser la donne. Je savais qu’elle était encore vierge, et elle ne s’en était pas cachée. Elle semblait d’ailleurs ne pas attacher d’intérêt à la chose. Je me promis de changer cela très vite.

Jane n’en croyait pas ses yeux. Le luxe dans lequel elle se trouvait semblait la déstabiliser. Mais la nuit était déjà là. Je proposai à mon invitée de prendre un bain pour nous relaxer, et elle accepta. Manon vint préparer le bain, et quand il fut prêt, obéissant à mes instructions, fit venir Jane et tout naturellement la déshabilla. La jeune fille n’osa pas se rebeller, et pénétra dans l’eau fumante et parfumée. A sa grande surprise elle me vit arriver totalement nue

« Fais-moi une place, veux-tu. La baignoire est assez grande pour deux ! »

Elle se recula, étonnée, et je vis ses yeux se fixer sur mon sexe totalement épilé. Je m’en amusai

« Eh oui, ma chérie. Il y a des années que je suis comme cela. La sensation que cela procure est très agréable. Si tu le veux, Manon fera le nécessaire pour toi. Elle est experte en la matière, et très douce. »

Tout en disant cela, je m’étais glissée dans l’eau, face à ma petite protégée.

« Comme tu es belle, tu me donnes envie de te croquer. Mais dis moi, te caresses-tu parfois ? »

Elle rougit et me répondit comme dans un souffle

« Oui, madame, cela m’arrive parfois »

« Et y prends-tu plaisir ? »

« Oh oui, madame, énormément ! »

« Nous verrons cela tantôt. » et sans attendre je lui caressai les seins.

Ils étaient encore menus, mais apparemment très érectiles. Jane se laissa faire, ayant peur de me mécontenter. Je ne fis pas traîner les choses. Je sortis du bain, m’essuyai et ordonnai à la jeune fille de m’imiter. Elle obéit, et je pus l’essuyer sans problème.

« Allons maintenant nous coucher. » ordonnai-je.

« Mais où est ma chambre ? » demanda-t-elle timidement.

J’éclatai de rire

« Ici, bien sûr, tu dormiras à côté de moi. »

A ce moment, elle comprit sans doute ce qui allait se passer. Mais elle ne pipa mot, et se coucha totalement nue sur mon lit où je vins la rejoindre. Le moment décisif était arrivé. Je me penchai sur elle et l’embrassai sur la bouche, lui écartant les lèvres de ma langue. Elle accepta mon baiser et me le rendit. Je prolongeai notre étreinte, puis laissai glisser ma bouche sur ses seins que je me mis à mordiller et sucer. Je portai une main sur son sexe, et constatai qu’elle était déjà excitée et mouillait. Elle ne saurait désormais plus rien me refuser. Ma bouche descendit encore pour arriver sur son clitoris. Je sentis la respiration de Jane s’accélérer. Doucement, je lui écartai les cuisses et me mis à l’œuvre. Je sentais ma proie à ma portée. Effectivement, elle s’excita très vite. Sans qu’elle y prenne garde, j’avais glissé ma main droite derrière elle et me mis à lui caresser l’anus. Brutalement, j’y plongeai deux doigts et en même temps lui mordillai carrément le petit appendice. Elle poussa un cri, son corps se cabra : elle jouissait.

« Alors, ma petite Jane. As-tu aimé ce que je viens de te faire ? »

« Oh oui, madame. Je n’ai jamais connu rien d’aussi bon. »

« Alors, je vais te demander de me faire la même chose. Fais-moi jouir à ton tour ! »

Obéissante, elle fit ce que je lui demandais. Elle était novice en la matière, mais pleine de bonne volonté, et parvint quand même à me procurer un orgasme. Puis, pendant de longues heures, nous nous sommes aimées, totalement. J’avais gagné. Jane m’appartenait désormais et le lendemain, je n’aurais qu’à parachever ma victoire... LIRE LA SUITE

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Commentaires

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mardi 28 novembre 2023 à 21h21 - par  Henic

Dans la catégorie « Je suis une salope dégueulasse et j’en profite au maximum », nous avons là une personne qui cherche à gagner la palme. Sous le prétexte qu’elle a du fric, elle se croit tout permis, et plus encore... Certes, avoir été violée enfant par son père fournit des excuses, au minimum des explications.
Mais asservir quelqu’un, réduire une personne à n’être qu’un animal, alors qu’on n’a pas su/pu/voulu l’être soi-même (ce qui est somme toute parfaitement normal) relève au minimum du vice, du domaine pénal, voire de la psychiatrie...
« Moi, je te tutoierai comme le petit animal que tu vas devenir. » Le but est annoncé, et l’avis de Jane n’est évidemment pas sollicité.
Est-ce ainsi que l’humanité compte progresser ?
Ces considérations mises à part, comme d’habitude, Fatum fournit une histoire bien construite, décrite avec un admirable détachement, tel un entomologiste contemplant ses « petites bêtes ».