L’asservissement de Julia Chant T3

mardi 9 octobre 2012
par  Henic
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Sommaire
1 – Julia rabaissée 3
2 – La nouvelle chaîne de Julia 9
3 – Le viol de Julia 16
4 – Le service de la bouche 22
5 – La visite du Paradis 29
6 - La punition de Julia 39
7- Glenda Heine 47
8 – Glenda fait la connaissance de Julia 56
9- Les adieux 63

Texte original anglais publié par Dofantasy.com

Traduction par Henic

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1 – Julia rabaissée

Malgré tout ce qu’il a vu et entendu à propos du Paradis, Quentin parvient à peine à croire ce qui se passe. Il est allongé sur le lit de sa cabine, en train de savourer la sensation des lèvres qui s’appuient encore et encore sur son arrière-train, de sentir une langue tremblante, de se délecter de la manière dont un nez plonge dans sa fente flasque.

Quentin doit se souvenir que c’est Julia Chant qui lui fait cela.

« Julia qui est maintenant mon esclave ».

Incroyable, mais vrai ! Oui… C’est la même Julia qui avait été jusqu’à le gifler parce qu’il avait posé son indésirable main sur son genou. Qui l’avait pris pour une ventouse ; accepté ses richesses, puis l’avait trompé deux fois avec d’autres hommes. Julia, l’arrogante, l’aristocrate, qui n’avait naguère qu’à claquer des doigts pour voir les hommes accourir à ses pieds.

A présent, Julia est en train de faire quelque chose que, il n’y a pas si longtemps, elle n’aurait pas imaginée possible dans le million d’années à venir.

Tout le mérite en revient à Madame Vesta, et aux méthodes employées à bord de ce bon bateau qu’est le Paradis. C’est vraiment fabuleux. Même si les tarifs – qui sont horriblement élevés – étaient cinq ou dix fois plus hauts que ce qu’ils sont, Quentin reconnaît à cet instant qu’ils auraient été justifiés. Il ne peut se remémorer un moment dans sa vie aussi agréable que le moment présent.
Maintenant, il peut faire ce qu’il veut à Julia et lui faire faire ce qu’il veut. Cette pensée fait bouillir son sang dans ses veines. Il la possède. Elle est son jouet.

Que va-t-il faire lorsqu’il va lui ordonner de cesser les démonstrations avilissantes qu’il a exigées ?

Il peut lui donner une sacrée bonne raclée, s’il le désire…
Il peut se faire sucer par elle…

Ou la baiser jusqu’à plus soif…

Déjà un plan se construit dans l’esprit de Quentin. Lorsqu’on est pleinement propriétaire, on a tout le temps. Il y a tant à faire pour profiter de ce que l’on possède, et tant de manières différentes de le faire. Il donne à Julia un petit coup de talon et lui dit :

« Bon, esclave, ça va aller pour le moment. Descends du lit. »

Immédiatement, Julia se glisse hors du lit et s’agenouille à côté de lui. Elle s’agenouille de la façon que Quentin connaît comme la position normale des esclaves à bord du Paradis. C’est-à-dire le dos bien droit, les mains derrière la nuque, les cuisses écartées. Une posture de soumission. Quentin admire les seins pointés, plantés haut, note le mont épilé tout lisse du sexe de Julia, et voit les lèvres rose corail toutes gonflées. Il est saisi d’un désir qui lui fait presque perdre sa maîtrise de soi. Mais il réussit à se contrôler. Il sait que de plus grands plaisirs l’attendent s’il procède à un rythme plus lent avec cette charmante créature.

« Festina lente », se dit-il.

Il plonge son regard dans les yeux bleu-vert de Julia et les voit brillants de larmes. Avant, ces yeux étincelaient d’orgueil et de confiance en soi. Maintenant, ils sont emplis de désespoir et de peur. Il lui dit :

« Ta conduite s’est certainement améliorée, Julia. »

Il se prélasse, gras et nu sur le lit, souriant, conscient qu’il doit inspirer à cette jeune femme au moins autant si ce n’est plus de dégoût que jamais… et il en est content.

« Je reconnais qu’ici, on a dû te pousser dans tes retranchements. »
Deux grosses larmes roulent lentement, une sur chacune des joues de Julia. Elle soupire soudain et se mord la lèvre inférieure. Elle répond dans un bref murmure :

« Oui Maître.
— J’ai regardé une ou deux cassettes, dit Quentin, plutôt instructives. Et même réjouissantes, si je puis m’exprimer ainsi. »

Julia soupire de nouveau et répond de manière quasi-automatique :

« Oui Maître.
— Quel effet ça fait d’être mon esclave, Julia ? »

Quentin pose sa question tandis que ses yeux courent joyeusement sur le beau corps nu. Un corps qui lui appartient. Un corps qui tremble d’appréhension. Julia répond :

« Je… Je suis honorée d’être votre esclave, Maître. Je vous ser-servirai… et… vous donnerai satisfaction… de toutes les manières que vous voudrez… »

Quentin opine. Comme toutes les esclaves à bord du Paradis, Julia est évidemment bien entraînée. Incroyablement bien entraînée. Ni Madame Vesta ni ses méthodes ne peuvent être prises en faute. Il insiste :

« Je sais cela, Julia, mais quel effet cela te fait-il ? »

Plusieurs autres grosses larmes dégoulinent sur les joues de Julia et ses seins tous ronds se soulèvent. Elle dit d’une voix étranglée :

« Je… Je suis con-contente, Maître. Contente de… d’être votre… esclave… »

Le sourire de Quentin s’élargit. Puis il se penche sur le côté du lit et, d’un doigt, joue avec désinvolture avec les lèvres du sexe de Julia. Le doigt passe de haut en bas et Julia frissonne plus violemment. Mais elle n’a pas de mouvement de recul. Quentin enchaîne :

« Je suis content de l’entendre, Julia. »

Il continue de jouer avec elle quelques instants, puis ses doigts se retirent.

« Je suppose que tu aimerais que je te baise, n’est-ce pas ?
— Oui… Maître… Murmure Julia.
— Après tout, tu es à bord de ce bateau depuis pas mal de temps déjà… Et tu n’as pas pu profiter de ce que tu apprécies tant. Je veux dire un morceau bien rigide de chair masculine. »

Quentin voit la joue de Julia se contracter.

« C’est grâce à la chaîne d’argent que tu portes à la taille. »

(En tant que propriétaire de Julia, Quentin s’est vu demander de choisir entre une chaîne d’or et une chaîne d’argent. Cette dernière indique que la fille qui la porte est réservée à l’usage sexuel exclusif de son propriétaire ; la chaîne d’or indique que la fille est disponible pour toute personne à bord du Paradis.) Julia dit :

« Oui Maître. Votre esclave est désireuse et contente de vous plaire… d’être baisée par vous… »

« Quel effort ce doit être pour elle de dire cela », pense Quentin. « Même maintenant ».

Il ricane presque :

« J’ose dire que tu étais toujours trop libre et à l’aise avec tes charmes. Sauf avec moi. C’est pourquoi tu es ici. Pourtant, maintenant qu’on y arrive, je ne suis pas sûr que tu me plaises tant que ça. »
Le regard d’ahurissement choqué sur la figure de Julia est un moment de joie unique pour Quentin. Avoir été projetée en dans l’enfer sur la terre afin de s’offrir de cette manière, et maintenant se faire rejeter ! C’est vraiment délicieux !. Quentin ajoute :« D’ailleurs, tu vas me montrer ce que tu as à m’offrir, je suppose. »

Les traits de Julia tremblent de manière incontrôlable pendant un instant. Elle ne pouvait pas avoir imaginé un tel développement. Rejetée ! Par ce gros porc ! Cependant, elle se contrôle rapidement – ainsi que son entraînement d’esclave le lui a appris – et se retourne. Elle se met à quatre pattes, puis pose son nez par terre et lève haut sa croupe. Puis elle écarte ses longues cuisses. Quentin ne peut pas bénéficier d’une meilleure vue de « ce qu’elle a à offrir ». C’est une position dégradante à laquelle Julia a fini par s’habituer au cours des mois passés. Néanmoins, c’est un motif particulier de honte pour elle que de devoir la prendre devant son vrai Maître.

Quentin, le visage relâché par la concupiscence, étudie les charmes féminins qui lui sont exposés. Comme cette femme est belle !

« Et tout entière à moi ! » Se dit-il. « A moi, à moi, à moi ! Je peux l’avoir quand je veux, de la façon que je veux ! »

Après quelques minutes, il dit négligemment :

« Mmmm… Oui, c’est vrai. Je ne suis pas certain que tu me plaises autant qu’avant, Julia. »

Il voit la fille qui tremble. Il poursuit :

« Pas autant que Mélissa, par exemple. La fille dont tu as partagé la cellule. Voilà une vraie beauté. Je l’ai baisée assez souvent lors de mon dernier séjour à bord. Peut-être t’en a-t-elle parlé ?
— Ou-oui… M-Maître… Croasse Julia. »

Son abaissement est complet. Chacune de ses fibres, chacun de ses nerfs, s’est focalisé à ce qu’elle se force à se donner totalement à ce monstre vil… et maintenant, ça ! Ça !

Quentin attrape le téléphone sur sa table de nuit. Son plaisir est infini.

« Passez-moi Madame Vesta, dit-il. »

Il voit Julia trembler derechef.

« Oui, Monsieur… »

Il y a un déclic et Madame Vesta est en ligne, brusque comme d’habitude.

« Allo, Quentin. Un problème ?
— On non, ronronne Quentin. Elle est aussi bonne que de l’or.
— Je suis heureuse de l’entendre… Pour elle, en tout cas…
— C’est juste que j’aimerais qu’on me fît amener Mélissa. Si elle est libre.
— Vieux brigand ! Rit Madame Vesta. Oui, je suis quasiment sûre qu’elle est libre. Je vous la fais amener tout de suite.
— Merci, Vesta… »

Il y a un service pour toi« , pense-t-il avec un large sourire en reposant le combiné. »Tu penses que j’ai commandé une tasse de café, plutôt qu’une ravissante jeune beauté qui fera absolument tout ce que l’on exigera d’elle !"

« Bon, Julia…J’ai assez vu tes attributs. Tu peux te remettre à genoux. »

Avec un petit gémissement, Julia reprend sa position et Quentin sourit avec bienveillance à son endroit. Il demande :

« As-tu entendu ça, esclave ?
— Oui… Maître…
— Cela signifie que j’ai décidé de baiser Mélissa plutôt que toi. »

Le visage de Julia était déjà pâle mais il paraît blanchir encore et sa lèvre inférieure se met à trembler de façon incontrôlable. Elle parvient à dire :

« Oui… Maître…
— Donc, tu vas attendre un peu avant d’avoir ce pourquoi tu souffres, reprend Quentin. Mais je ne doute pas que tu vas apprécier de voir Mélissa et moi. C’est une fille très capable. Je pense que je te trouverai de même quand le moment sera venu. »

Le visage de Julia se plisse et ses seins se soulèvent sous l’effet de ses sanglots. D’une voix étranglée, elle répond :

« Je… Je… ferai le… plaisir… de… mon Maître… de toutes… les façons… qui lui plairont… Maître…
— Je suis heureux de t’entendre. »

Après ces paroles, les traits de Quentin durcissent soudain sous l’effet d’une cruelle concupiscence.

« Parce que, si tu ne le fais pas, ça me donnera le très grand plaisir de canner ce postérieur arrondi jusqu’à ce que tu le fasses ! »

A ce moment, on frappe à la porte. Quentin dit d’entrer. La grande et blonde Mademoiselle Judith entre, conduisant Mélissa par la laisse reliée à son collier.

L’assistante est vêtue comme Quentin l’avait vue la première fois. C’était il y a longtemps. Elle est tout de cuir noir vêtue : cuissardes, jupe courte, petite boléro… A sa taille pend la longue et large lanière qu’elle porte en permanence. Quentin se souvient de ce que Melle Judith avait dit lorsqu’il lui avait annoncé que Julia était une sorte de tigresse :

« Plus est l’est, meilleur c’est… Ici, nous aimons dresser les tigresses ! »
Eh bien Julia a en effet été dressée comme il faut.

En regardant la silhouette agenouillée de Julia, Melle Judith s’enquiert :

« Est-ce que tout va bien, Monsieur Osman ?
— Oui, merci, répond Quentin. Il m’a juste pris la fantaisie de disposer ici de Mélissa. Enlevez-lui sa laisse et son collier, voulez-vous ?
— Bien sûr… »

Mademoiselle.Judith enlève laisse et collier et Mélissa se met à genoux à côté de Julia. Elle a une silhouette superbe, grande et souple, et ses traits, tout comme son caractère, sont du même type que ceux de Julia. Mais l’arrogance, l’égoïsme et le caractère soupe-au-lait ont été vaincus et éradiqués plus tôt que ceux de Julia. Quentin en a fréquemment profité lors de son premier séjour à bord du Paradis et, de surcroît, Mélissa est la première femme qu’il ait jamais fouettée. Il lui demande :

« Tu te souviens de moi ?
— Oui Maître, répond Mélissa. »

Sa voix est plus assurée que celle de Julia et, bien que son attitude soit complètement soumise, elle paraît mieux se contrôler que la fille à côté d’elle. Sans doute une question d’expérience. Elle est a vécu tant de choses entre les mains de tant d’hommes qu’il ne lui semble pas qu’elle puisse tomber plus bas.

Mademoiselle Judith intervient :

« Il y a juste une chose, Monsieur Osman. Je dois vous présenter des excuses pour l’état du derrière de Mélissa.
— Ah ? Pourquoi donc ?
— Elle a reçu la canne ce matin… et n’a pas eu le temps de recevoir un quelconque traitement depuis, répond Mademoiselle Judith. Montre à ton Maître, Mélissa. »

Tout de suite, la fille se tourne et prend la position qu’avait Julia quelques instants plus tôt. Quentin étudie la douzaine de zébrures entrecroisées qui encerclent ce plantureux fessier. Il demande :

« Pourquoi a-t-elle reçu la canne ?
— Juste pour le plaisir de l’homme au service de qui elle était, je pense, répond Mademoiselle Judith avec un petit sourire. Un certain Monsieur Svenson. Je ne pense pas que vous l’ayez encore rencontré.
— Non, en effet, dit Quentin. Mais ça n’a aucune importance,
Mademoiselle Judith. Merci de m’en avoir averti. Je vous appellerai quand je voudrai qu’elle parte.
— Très bien, Monsieur Osman, opine Mademoiselle Judith. »

Les hôtes du Paradis doivent être traités courtoisement et leurs demandes doivent être prises en considération. Après tout, ils paient la note ! Après avoir jeté un coup d’œil à Julia toute tremblante, la grande blonde quitte la cabine. Elle est satisfaite que la fille soit dans la meilleure condition possible pour prodiguer à son Maître tout plaisir qu’il voudra. Ses semaines et mois d’entraînement ont permis ça !
Lorsque la porte s’est refermée sur l’assistante, Quentin prend la parole :

« Tu peux te mettre à genoux, Mélissa. »

Il a un soupir de contentement en portant son regard alternativement sur l’une et l’autre beauté qui sont devant lui. C’est un moment qui se doit d’être savouré à sa juste valeur. Enfin, il prend la parole :

« Je t’ai fait amener, Mélissa, parce que je souhaite te baiser. »

C’est à peine surprenant, mais Quentin n’est qu’à moitié en érection et se caresse doucement pour parvenir à une rigidité convenable. Grâce aux « pilules accélératrices » que Vesta lui a fournies, Quentin est capable de soutenir la comparaison avec un homme dans la trentaine plus qu’avec un homme dans la cinquantaine.

« J’ai décidé que tu me plais plus que ma propre esclave. »

Les traits de Julia se contractent ; Mélissa reste coite, elle attend la suite. Elle a été repoussée par Quentin auparavant et elle lui a plu. Elle a été repoussée par un nombre incalculable d’hommes, et leur a plu. Quelle différence cela fait-il ? Elle est peu ou prou devenue un objet utilisable pour les plaisirs brutaux. Quentin se redresse sur les coussins et ajoute, content de sa rigidité :

« Je crois que tu vas venir sur moi.
— Comme mon Maître voudra, répond Mélissa. »

Elle se redresse et va vers le lit avec une démarche aguichante.

« Je suis honorée d’être convoquée pour vous plaire, ajoute-t-elle en se glissant sur le lit. »

Quentin contemple les seins objets de sa lubricité, qui se balancent au-dessus de lui et ses mains agrippent les douces fesses lorsque Mélissa se met à cheval sur lui. Il sent les zébrures qui les marquent et entend le hoquet de la fille. Il serre et Mélissa halète plus fort. Puis Quentin sent la main de Mélissa qui se place à la racine de son membre, pour le guider. Son gland glisse le long des lèvres, si chaudes et fondantes... Puis la fille descend ses hanches d’une façon presque langoureuse, et Quentin la pénètre complètement. La sensation est exquise !

« Ahhh… Toi, ma beauté… »

Mélissa se soulève lentement, tortillant doucement du popotin et contractant les muscles de son sexe. Elle ne garde que le bout de l’organe de Quentin en elle tout en se tortillant un peu plus, avant de le replonger complètement.

« Aaahhhh… Toi, ma beauté… »

Avec le même rythme volontairement décontracté, Mélissa répète les mouvements. Elle a l’art, et elle ne se retient pas pour plaire au porc flasque qui est sous elle. C’est son travail. Son travail d’esclave. Et si elle échoue, elle ne pourra pas se plaindre de se retrouver dans la Salle des Punitions.

Quentin tourne son visage empli de désir lubrique vers l’endroit où Julia est agenouillée, elle qui regarde la scène, soumise. Il dit d’une voix épaisse :

« Mélissa fait un travail merveilleux. »

Ses mains sont toujours que les fesses de la fille. Comme elles tremblent délicieusement pour lui plaire, tout comme elles l’avaient fait - mais alors plus violemment – lorsqu’il les avait fouettées. Jamais il n’oubliera ce jour. Pas plus que lorsqu’elle lui avait été envoyée comme esclave personnelle, lors de sa première visite, et qu’il lui avait fait tâter de la canne pour la première fois. Il lui dit :

« Plus vite. Aujourd’hui, je veux que ce soit rapide…
— Oui… Maître… »

La croupe de Mélissa se met à onduler plus rapidement mais elle conserve le contrôle du rythme. Au-dessus de Quentin, ses seins se balancent et se tournent. Mais les yeux de Quentin ne les regardent pas. Son regard est toujours tourné vers Julia, son visage n’est qu’un masque de luxure. Il halète :

« Je… Je n’ai pas b-besoin de toi… Espèce de catin… Pas… Pas aaahhh… quand j’ai des esclaves comme… aaahhh… M-Mélissa… aaahh… hhaa… Je te donnerai… aux autres. »

Le derrière marque de Mélissa s’agite de plus en plus vite…

En haut, en bas…

En haut, en bas…

En haut, en bas…

En haut, en bas…

Elle sait que le porc qu’elle est en train de servir est presqu’arrivé à son plaisir.

Encore plus vite…

Mais de manière contrôlée…

Plus vite… Plus vite…

Soudain, toute la graisse du porc est prise de frissons. Sa panse, ses boyaux, partout. Et il grogne comme un porc.

Il se soulève et se tourne… les yeux fermés et la bouche mollement ouverte… Quentin se répand dans les succulentes profondeurs liquides de la jeune femme qui s’agite toujours au-dessus de lui…


L’intégralité de récit est disponible pour les abonnés de RdF

Les deux premiers tomes ont été publiés sur le site sous les titres :

* « Le Paradis »

* « Le dressage de Julia Chant »




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