Cocufiage

dimanche 21 octobre 2012
par  mabul
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Entre Karine et Alexis rien ne va plus. Ensemble depuis bien trop longtemps pour maintenir encore une sexualité satisfaisante et mariés depuis trop peu pour s’en accommoder, ils ne baisent plus. Alors quand lors d’une sortie un peu trop arrosée, un quasi inconnu, improvisé sexologue d’un soir, leur propose une thérapie de couple à domicile, ils sautent sur l’occasion.

Des fantasmes jusque là inavoués se dévoilent peu et à mesure des questions et des confessions tombent. Qui eut cru que la belle Karine, se caressait en pensant à des hommes mûrs. Qui eut cru que cette jeune institutrice, si sévère avec ses élèves, s’imaginait soumise et obéissante.

Qui aurait pensé que sous son air de garçon propre sur soi, Alexis avait des envies de voyeurisme et qu’en cachette il fantasmait de voir sa belle embrochée sur la queue d’un autre.

Ceci est leur histoire :

Avec toutes ces émotions Karine avait besoin de reprendre un peu ses esprits et partit se refaire une beauté à la salle de bain laissant les hommes seuls. A son retour elle aperçut qu’Alexis avait disparu. Son fauteuil était vide et sa cigarette désormais éteinte laissait encore échapper une légère fumée. Il n’avait pas vraiment terminé son verre de vin. Visiblement il était parti avec précipitation. L’homme, lui, était assis au salon.

— C’est moi qui lui ai demandé de partir. Mais ne t’en fait pas. Il n’est pas parti bien loin. Juste de l’autre côté du mur, dit-il en pointant du doigt la chambre des jeunes mariés.

— Pourquoi ?

— J’avais, comment dire... peur que sa présence t’incommode. D’ailleurs je suis sûr qu’en ce moment même il essaie de nous écouter, l’oreille collée au mur.

— Mais ? comment ça. Il va revenir.

— Tu es bien naïve. Après la conversation de ce soir, ton mari m’a donné la permission de m’amuser avec toi.

— Pardon ?

— De te baiser !

— Mais c’est pas vrai. Vous êtes malade, je veux que vous partiez d’ici. Alex !

Mais le chemin vers la porte lui fut interdit par le grand bedonnant qui d’un geste sûr mais tendre la fit asseoir sur le canapé. Obnubilé par cette aura elle ne bougea même pas lorsqu’il la lâcha et s’assit à son tour en face dans le fauteuil.

— Ne t’en fait pas. Je ne ferai rien sans ton accord. Enfin votre accord à vous deux. Bien que la dessus ton cher et tendre m’a laissé beaucoup de libertés, et même quelques instructions bien précises. A toi de voir si tu es capable de satisfaire ses fantasmes !

— Quoi ? De quoi parlez vous ?

— De ça. Il montra une caméra installée dans un coin de la pièce. Elle tournait. Son désir était que je filme tout ce qui va se passer.

— Vous n’êtes qu’un tordu. Je veux que vous partiez.

— Attends. Lis ça. Si je n’arrive pas à te convaincre peut être que lui le peut.

Il lui tendit un bout de papier.

« Fait moi pousser des cornes » Alexis

C’était bien sa signature.

— Tu vois, ta lopette de mari voudrait que je te baise. Tu ne veux pas le décevoir, n’est ce pas ?

Dans la tête de Karine les idées devenaient peu à peu plus claires. Toutes cette discussion. La révélation de fantasmes nouveaux. La conversation de se soir et la présence surprise de cet homme. Tout avait donc été préparé minutieusement à l’avance. Il avait même trouvé une caméra sans qu’elle ne soit au courant.

« Ma lopette de mari » culpabilise tellement de ne pas me satisfaire qu’il est prêt un me laisser baiser avec un autre. Un vieux et grassouillet de surcroît. »

En un instant elle s’imaginait Alex l’oreille collée au mur en train d’essayer d’entendre ce qui se dit. Si ça se trouve il a déjà sorti sa queue pour se caresser. Une terrible excitation monta dans son bas ventre.
Ce n’étaient donc pas que des fantasmes !

— Que dois-je faire ? Demanda-t-elle enfin d’une voix tremblante.

— Danse pour moi. Dit-il d’une voix autoritaire, virile.

Elle hésita. Puis doucement, elle commença se trémousser devant lui. D’abord maladroitement puis au fil des morceaux, se relâcha. Elle aimait danser et cela se voyait. C’était son principal atout de séduction. L’homme lui ne bougeait pas. Il restait là, à regarder Karine bouger son corps des manières les plus provocantes. Elle sentit un petit picotement dans son ventre et elle en était presque certaine, sa chatte devait désormais être trempée.

— Bien, tu veux voir ma bite. Une vraie, pas comme celle de ton mari.

— Oui, j’aimerais bien.
La musique l’avait mis en transe et Karine ne contrôlait visiblement plus ses réaction ni ses propos.

— Alors approche et met toi à genoux.

Elle s’exécuta et vint se mettre par terre entre les jambes de l’homme. Alors il déboutonna son pantalon et sortit son sexe juste sous le nez de la candide jeune femme.

Sa bite était pas très longue mais épaisse. De près elle semblait impressionnante. Elle arrivait à peine à la contenir dans sa main. C’est aussi la première fois qu’elle voyant un sexe d’homme non circoncit. L’impression était bizarre. Il ne bandait pas (elle en était vexée vu le spectacle offert tout a l’heure) et elle n’eut aucun mal à décalotter le sexe pour laisser place un gros gland violacé. Elle resta là à le contempler.

Et maintenant suce moi. Dit- il d’une voix forte. Elle comprit. Il voulait que tout le monde puisse entendre ce qui se passe.

— Elle...elle est grosse dit-elle d’une voix presque apeurée.

— Elle te plait ?

— Oui, mais...

— Alors, tu vas te décider à la sucer !

Mais comment allait-elle arriver à la mettre dans sa bouche.

— J’ai pas entendu de réponse ?

— Oui. Elle répondit hésitante.

Avant même qu’elle n’eut le temps de dire autre chose, l’homme saisit Karine par les cheveux d’une main lui tirant la tête en arrière et de l’autre lui introduisit la queue dans la bouche. L’effet de surprise fut immédiat et fit monter en elle une terrible envie de vomir qu’elle arriva à peine à contenir. Seules quelques larmes qui perlaient sur ses yeux et une respiration bruyante par le nez trahissaient tout la difficulté qu’elle avait à gober ce sexe. Jamais avant elle n’avait avalé quelque chose d’aussi gros. Pourtant elle ne se débattit pas LIRE LA SUITE

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Commentaires

dimanche 28 octobre 2012 à 21h56

Excellente histoire
à poursuivre
bravo

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mercredi 24 octobre 2012 à 16h02 - par  Magister52

La révélation d’une nature de salope ! Et plutôt douée en plus…