Les Origines de la Saga des esclaves au Château... (chapitre 11)

11. Année 1784 - Manon à l’abandon -
dimanche 10 août 2014
par  Marquis d’Evans
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La souillon gémit... manon gémit tandis que le chef des gardes s’introduit en elle et commence à la baiser ... Au fil des semaines qui se sont écoulées, manon est devenue la favorite du colosse qui commande aux gardes Du Marquis d’Evans. Cet homme rude, aux mains rugueuses et à la queue si ferme a transformé la timide et maladroite manon des premiers jours en une vraie catin docile. Désormais, manon minaude et fait rouler sa croupe lorsqu’elle se livre aux taches ménagères quotidiennes...

Et une fois par semaine, elle sort une lourde bassine d’eau pour y laver sa robe... Elle se dénude alors, dévoilant sans pudeur ce corps nu et lisse et s’appliquant à dissimuler son appendice viril entre les cuisses, afin d’apparaître aussi féminine qu’il se peut... elle est presque devenue coquette, s’appliquant à gommer ses manières masculines afin de répondre au mieux à ce qu’elle est devenue, manon la souillon, manon offerte à tous les désirs de ce groupe d’hommes rompus aux filles de salles et aux catins des plus sordides auberges ou bordels.

Les gardes ont pu apprécier chaque jour un peu plus cette évolution de manon... Faisant d’elle leur « petite chérie », lui apprenant à offrir sa bouche et son cul à leurs sexes tendus. Mais ces guerriers n’aimaient guère rester en leur abri. Dès que leur service auprès Du Marquis d’Evans s’achevait, ils en profitaient pour se rendre à l’auberge du village et y dilapider leur solde en compagnie des putains y demeurant à l’année... Passé l’attrait de la nouveauté, ils délaissèrent donc manon et son petit cul à la peau douce, pour aller tâter des larges croupes rebondies des catins locales. Mais il en était un qui négligeait ces dernières, depuis que manon avait pointé sa touchante maladresse entre les murs du corps de garde. Le chef de ces durs soldats, un colosse sévère. Et tandis que ses hommes se rendaient au village, il restait souvent en compagnie de la souillon, l’observant tandis qu’elle vaquait aux multiples travaux ménagers qu’elle devait effectuer au cours de la journée. Comme en cette belle journée...

Accroupie, manon frotte le plancher disjoint de la cabane, à quatre pattes, la croupe relevée, appuyant de ses deux mains sur la brosse savonneuse. Le soldat est assis sur une vieille chaise à bascule, tirant lentement sur le tuyau d’une pipe, il se balance doucement tout en observant les plis du tissu sur les formes de la souillon...

— « Ote cette robe ! » lance-t-il d’une voix rude et n’admettant aucune hésitation.

manon obéit... elle délace le dos de l’humble robe et la laisse choir sur le sol, dévoilant ainsi son corps nu et le sexe, unique symbole de l’état réel de manon. La situation excite manon, car elle sait ce qui l’attend, elle l’attend depuis que les autres gardes ont si bruyamment quitté les lieux. Elle sent son estomac se nouer, sa gorge sèche... et la raideur qui se saisit brusquement, de façon irrépressible de sa verge...

Sans un mot le garde se lève et s’approche de manon qui baisse les yeux... La gifle claque, puis la main qui vient de frapper s’abaisse et saisit fermement le petit sexe de manon, le pressant durement... comme pour le broyer. manon grimace, sent ses genoux fléchir... gémit... Mais celui qui s’est saisi de son appendice ne relâche pas la pression. Il serre, serre... jusqu’à contraindre manon à s’agenouiller sur le sol ... lorsqu’il sent que la queue est redevenue petite et flasque, il la relâche lentement, comme pour faire comprendre à manon que ce n’est qu’un répit et qu’elle reste sous la menace de l’étau de ses doigts d’acier. Alors manon se prosterne au sol et embrasse les pieds nus avec passion... les yeux partiellement cachés par les cheveux de la perruque, elle saisit les chevilles tout en les embrassant... Plus que la soumission, il y a une forme de passion dans son attitude, de dévotion pour l’homme rude et brutal qui la maltraite et la force maintenant à se traîner jusqu’à une paillasse...

— « Allez, chienne, montre moi que tu es une bonne petite putain ! Ouvre toi ! » rugit le soudard.

Docilement, manon se cambre, fait saillir sa croupe et s’aidant de ses mains, ouvre largement sa rosette, déjà bien dilatée par l’usage intensif qu’en ont fait les gardes... Crachant dans ses mains, le soldat humidifie son pouce et s’approchant, l’enfonce dans le cul de manon... l’ouvrant plus encore et ouvrant le chemin à son sexe déjà tendu, dur, long et épais... il l’enfonce d’un coup de reins violent et commence à limer sans ménagement la souillon soumise. Longtemps... très longtemps... il la baise et la baise encore... elle a le cul en feu mais en demande encore... elle supplie, implore...

— « OOh oui ! oui !!! vas y, baise moi ! Ooh oui !!! je suis ta chienne, ta putain !! »

Le soudard se retire, retourne manon sur le dos et son plaisir gicle soudain en un flot épais qui éclabousse la poitrine et le visage de la souillon... Puis il se penche sur elle et la gifle ! La perruque se décroche tandis que Le chef des gardes bouscule manon et la bat

— « Tu as osé me tutoyer, chienne ! ? »

Le garde jette manon au sol, se saisit d’une cravache qui traîne et commence à la battre. Les coups pleuvent et manon se défend à peine, ne cherchant pas à esquiver mais au contraire se livrant à la vindicte de L’Homme ! Lorsqu’il en a assez, que son bras tombe de fatigue, L’Homme cesse les coups et contemple manon, qui sanglote silencieusement... elle rampe jusqu’aux pieds du chef des gardes...

— « Pardon... pardon d’avoir fait preuve d’une si grossière privauté... et merci de m’éduquer afin que je puisse me présenter devant Monsieur Le Marquis dans les plus justes conditions », hoquette manon entre deux sanglots.

Le garde sourit... Le Marquis d’Evans aime parfois lui confier les premiers pas d’un esclave... Il aime à faire plier un jeune mâle et le transformer en chienne docile, ce qui est le cas pour manon, et même reconnaissante des sévices et abus subis au fil des semaines que dure le dressage. Cette manon est parfaite... le jeune homme du départ s’est effacé pour laisser place à cette créature féminisée, qui à n’en point douter exprime désormais ce qu’il y avait de profondément enfoui dans les tréfonds de son être... car au-delà de la contrainte, des abus, des humiliations, de l’avilissement le plus total dans lequel est tenue la souillon, elle exprime par son attitude et ses actes un désir sans bornes de se sentir esclave et chienne...

Du bout de son pied, L’Homme repousse manon, à plusieurs reprises il la bouscule ainsi et la force à ramper jusqu’à un vieux fauteuil. Là, le garde s’installe, prenant ses aises...

— « Viens là... » dit-il d’une voix étrangement radoucie

Et manon, docile, vient prendre place en travers de ses genoux, le haut du corps balancé en avant, les jambes pendantes, son torse reposant sur les genoux du soldat qui, tendrement, commence à lui caresser la croupe... D’une voix apaisante, le garde prononce des paroles apaisantes, tout en poursuivant ses caresses... peu à peu, manon se détend, s’abandonne... Lorsqu’il sent qu’elle est totalement relâchée, brusquement, le soldat fesse durement le cul de la souillon qui se cabre un bref instant, mais se soumet... et puis les caresses reprennent, suivies encore par une violente et implacable fessée... et durant un long, long moment, la scène se poursuit ainsi, le chef de la garde du Marquis alternant douceur et brutalité, tendresse et sévérité, caresses et châtiments. Et manon s’abandonne, vaincue, abandonnée, conquise... par son Homme...

Et pendant ce temps, dans les sous-sols de l’église, la jeune compagne de celui qui se nommait pour l’instant manon était toujours livrée aux pratiques purificatrices de l’abbé... La nuit était tombée depuis longtemps et le curé avait envoyé l’un des jeunes (qui le dimanche jouait les enfants de choeur) jusqu’à l’auberge afin d’y quérir l’épouse de l’aubergiste, qui s’acquittait également du rôle de mère maquerelle avec les filles qui leur service achevé, acceptaient de donner encore du plaisir aux hommes pour quelques piécettes...

Parfois, Le Marquis envoyait une de ses esclaves pour un séjour à l’auberge. Elle apprenait ainsi auprès des pensionnaires des lieux quelques unes des pratiques sexuelles réclamées par les hommes aux filles de joie... et surtout à satisfaire des hommes en série, car il n’était pas rare que les ouvriers agricoles des contrées voisines viennent s’offrir quelques instants de détente auprès des putains des terres d’Evans, tant on savait qu’elles étaient rompues aux plus diverses pratiques.

La maquerelle se pressait donc vers l’église, sachant que le curé n’agissait que sous l’Autorité Du Marquis et qu’il n’était pas bon provoquer l’ire de Ce dernier. Pressant encore le pas, elle entre dans la sacristie qu’elle trouve vide. Elle cherche, car la pièce est encore éclairée et le désordre qui y règne, en particulier la robe déchirée gisant sur le sol, montre bien que l’on y a mené quelque lubrique sabbat. C’est alors que retentit un bruit qui semble venir des entrailles de la bâtisse. Un bruit que la maquerelle identifie comme celui de claques sonores... suivi par celui d’une lanière claquant sur la peau... bruit de fouet... Un cri s’élève, puis plusieurs autres qui se confondent bientôt en un gémissement monotone. La maquerelle avance prudemment et découvre une porte entrouverte donnant sur un petit escalier descendant en spirale, éclairé par quelques torches dégoulinantes...

La maquerelle descend les escaliers et découvre le curé, assis sur une chaise au centre d’une pièce carrée, au sol de terre battue. En travers de ses genoux, une fille à la croupe ferme et agréablement rebondie gémit doucement, mais ne semble pas opposer de résistance… La maquerelle s’approche et distingue parfaitement le cul de la fille. Le curé a d’abord frappé à la main. On distingue encore l’empreinte rouge des cinq doigts sur la chair délicate. Une corde entrave seulement les genoux de la captive, tandis que ses cheveux dénoués voilent son visage. La croupe frémissante se contracte spasmodiquement sous les coups et les empreintes de doigts disparaissent peu à peu, remplacées par les zébrures rouges du martinet de cuir de l’homme de religion. Parfois, sans doute une partie plus sensible étant atteinte, la fille sursaute et les cuisses s’entrouvrent, offrant un fort joli spectacle, apprécié par la maquerelle dont le mariage n’avait certes pas totalement altéré l’intérêt qu’elle avait porté très tôt aux charmes féminins, n’hésitant pas encore aujourd’hui à initier aux plaisirs saphiques les filles qu’elle faisait travailler dans les chambres de l’auberge tenue par son époux toujours compréhensif, dès lors qu’elle lui laisse le plaisir de saisir quand bon lui semble les fruits des catins à leur service.

Tout en approchant, la maquerelle contemple donc avec envie la croupe de cette fille troussée et dénudée, ce fort beau cul dont la peau blanche encore visible par endroit, était désormais striée de larges marques rouges et de marques bleuissantes. Le curé, sentant sa présence, l’interpelle...

— « Hola Madame ! Vous voici enfin ! Figurez vous que depuis de longues et longue heures, je m’occupe à purifier cette catin du diable ! »

— « Je vois qu’elle semble en bonne voie mon bon père »

— « Certes ! C’est que je m’y suis fort employé ! Comme l’a exigé Monsieur le Marquis notre Seigneur, je me suis appliqué à n’épargner aucun des orifices par lesquels le Malin a pu s’introduire en elle pour y déposer sa maléfique semence. J’ai béni son con, son cul et sa bouche ! Maintes et maintes fois ! »

— « Bien, bien... (dit la maquerelle) et qu’en est-il de son état désormais ? »

Le curé, laissant tomber au sol son instrument, caresse lentement la croupe meurtrie...

— Elle est sur la bonne voie (souligne le curé), voyez comme elle est docile désormais... Elle va vous le dire, d’ailleurs..."

D’un geste sans douceur, le curé repousse la fille qui s’effondre sur le sol de terre battue il se lève également et se penche, saisissant à pleine main la masse des cheveux emmêlés de la captive.

— « Allons, dis à cette dame, à laquelle tu dois totale obéissance, combien tu désires t’amender et rendre, par ton sacrifice quotidien, hommage à la vrai foi qui t’habite désormais... »

La captive, aux fesses tellement meurtries, les genoux toujours entravés, se prosterne aux pieds de la nouvelle venue...

— « Par pitié, Madame, consentez à m’accorder l’asile de Votre Demeure, puisque j’ai appris désormais que c’est entre Vos murs qu’il me sera permis d’expier définitivement mes fautes »

La maquerelle contemple cette fille, dont elle se souvient de la fraîcheur lorsqu’elle louait encore avec son amant l’une des chambres de l’auberge.

— « Redresse toi » ordonne-t-elle

Avec difficulté, en raison de ses genoux entravés, la fille obéit et chancelante, parvient cependant à se tenir debout... la maquerelle l’observe... elle écarte les cheveux collés et emmêlés afin de dégager le visage, dont les larmes séchées n’ont pas réussi à effacer la rondeur juvénile et le jolie petit minois... elle caresse le cou, fin à la peau fine, puis descend, portant ses mains sur les deux globes fermes et tremblants... elle tord un peu les tétons roses, obtenant avec satisfaction une grimace douloureuse et un léger gémissement... immédiatement suivis d’une retentissante claque sur le visage de poupée de la captive.

— « On ne grimace pas ! On ne se plaint pas ! » rugit la maquerelle

— « Pardon Madame »... implore la captive dont la joue porte maintenant, comme les rondeurs fessières, la trace rouge de cinq doigts...

Cette fois, la maquerelle presse beaucoup plus fort le téton gauche, elle le serre entre deux doigts, le tord, l’étire et garde ses yeux fixés sur le visage de sa victime, tel le regard d’un rapace qui fixe sa proie en sachant pertinemment que rien ne pourra la sauver... Et malgré le frêle courage qu’elle a pu rassembler, malgré son effort pour rester aussi impassible qu’il se peut, la captive finit par laisser échapper un cri, tandis que la maquerelle vient tout juste d’ajouter la griffure de ses ongles sur le téton qu’elle martyrise... Une nouvelle gifle retentit...

— « Je ne veux aucune plainte, catin... sinon je pourrai penser que c’est le diable encore qui te dicte ton attitude ! »

— « Ooh non Madame, non je Vous en prie ! (implore la captive) je vous assure que les soins prodigués par le bon curé m’ont purifiée de tout mal et que je puis désormais être bonne croyante »...

La maquerelle regarde la fille qui se tient si humblement devant elle... abandonnant les seins qu’elle vient de torturer si cruellement, elle caresse le doux ventre de la captive... puis fait glisser sa main entre les cuisses et apprécie d’y sentir l’humidité qu’elle espérait... elle joue de ses doigts contre et dans l’intimité de la fille... s’immisçant lentement entre les chairs humides, recueillant sur ses doigts le jus du fruit d’un plaisir féminin... elle approche ses doigts souillés de son visage, hume le parfum de la cyprine, puis du bout de la langue en déguste la saveur un peu salée...

— « MMMhh tu as bon goût ! tu plairas... et tu es docile, ce qui plaira plus encore, car il n’est pas d’homme qui ne se sente despote quand il bande ! Et il prend alors plaisir à ressentir la soumission de celle qu’il va culbuter et posséder... (puis se détournant de la fille) Eh bien curé ! Je vais donc emmener cette belle putain purifiée, ha ! ha ! ha ! oui ! la plus pure des catins ! ... par vos bons soins curé, et tester l’efficacité de votre catéchisme ! »... LIRE LA SUITE

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