La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode 12)

12. Aiguilles d’acupuncture et autres ..
vendredi 22 février 2013
par  Marquis d’Evans
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Ecartelée, hérissée des aiguilles d’acupuncture, e94 était saisie d’une sensation à laquelle elle ne pouvait absolument pas se soustraire. C’était comme si un courant électrique s’était emparé de la moindre de ses terminaisons nerveuses, suscitant en elle une vague ininterrompue de réactions incontrôlées. Et tous ces courants qui la parcouraient semblaient se rejoindre au creux de son intimité, qui agissait comme un paratonnerre en attirant à lui tous les flux et reflux qui suivaient ce que L’Asiatique avait appelé « le circuit orgasmique » !

L’Homme, quant à Lui, s’était installé sur une chaise, tout près du lit, équipé d’un bloc-notes et d’un crayon. Observant e94 avec un certain détachement, il notait chacune de ses réactions, de ses soubresauts, avec un intérêt clinique. Son regard allait et venait le long du corps de l’esclave, qui avait ressenti un orgasme d’une puissance rare après quelques minutes, mais qui n’était pas libérée pour autant. Manifestement, les aiguilles ne cessaient pas leur action. Et un incroyable flot de sensations emportait e94 vers un ressenti inattendu et plutôt inquiétant. Car au fil des décharges de plaisir qu’elle éprouvait de façon de plus en plus fréquente et saccadée, elle commençait à être effrayée et craignait le moment où le plaisir céderait peut-être à la douleur.

Ce qui avait commencé comme une douce torture tournait peu à peu à une véritable tourmente. L’esclave avait envie de crier, de supplier, mais elle ne parvenait pas à proférer le moindre mot, seulement capable de haleter et de laisser quelques gémissements s’échapper du fond de sa gorge, ce que son « observateur » ne manquait pas de transcrire...
Combien de temps cela allait-il durer parvenait encore à s’inquiéter la soumise, même si elle avait le sentiment que les orgasmes à répétition allaient finir par emporter sa conscience des choses !
...
Non loin, simplement de l’autre côté du couloir, Olga commençait à s’échauffer quelque peu... Les fesses empourprées d’e69 témoignaient du traitement cuisant que l’esclave venait de subir. Elle le repoussa et l’obligea à se tenir à genoux à quatre pattes au centre de la pièce. Elle s’approcha alors d’e12 et retira d’un coup sec le god vibrant qui depuis un long moment avait travaillé en profondeur l’anus désormais bien ouvert de l’autre esclave mâle. De la pointe de Sa botte, Olga força e12 à rejoindre e69...

— « Puisque vous n’êtes que des chiens, agissez donc comme des chiens ! » lança-t-elle d’un ton méprisant et comme les deux esclaves semblaient hésiter sur la conduite à tenir, elle les cingla de Sa cravache en ordonnant :
— « sentez vous le cul, chiens ! et ne faites pas semblant ! »

Avant que les coups de cravache ne redoublent, les deux esclaves s’empressèrent de se tourner autour en reniflant au plus près l’anus de l’autre. Ils agissaient servilement, tournant et retournant l’un et l’autre, enfonçant leur museau et leur nez dans la raie de l’autre. Ne les lâchant pas d’un pouce, Olga commentait leur ballet ridicule par des moqueries aussi cinglantes que ses coups de cravache et si Elle jugeait qu’ils manquaient d’empressement, Elle les forçait à s’investir plus dans leur chiennerie en les aidant de la cravache, de la botte et de la voix !

Sur son ordre, ils ne faisaient pas que se humer, mais se léchaient avidement le fondement, leurs baves coulant dans la raie de l’un et de l’autre...
— « Des chiens... voilà tout ce que vous êtes... deux chiens en chaleur ! Mais je vais vous aider à vous soulager ! » lança Olga...
Abattant Sa cravache sur le dos d’e69, elle ordonna :
« Allez ! prends cette chienne... son cul est bien ouvert, il ne faut pas le laisser ainsi, baises la et ensuite, ce sera ton tour ! »

e69 vint se positionner au dos d’e12 et il vint le couvrir, poussant sa queue dans le cul de l’autre esclave avant de le besogner rapidement, comme deux chiens errants... le spectacle plaisait à Olga qui avait souvent usé de cette situation avec des prisonniers politiques qu’Elle devait plier aux exigences du régime. Mais Son plaisir était moindre, car Elle appréciait plus que tout la contrainte et l’avilissement. Or les esclaves n’étaient... que des esclaves. Elle savait qu’ils étaient dressés à subir de profonds outrages et qu’un tel traitement, pour avilissant qu’il soit même pour eux, ne serait pas suffisant à les briser. Tout en regardant les deux esclaves se monter l’un dessus, puis l’autre à son tour, elle réfléchissait à ce qui pourrait s’avérer une réelle satisfaction pour Son goût si prononcé de l’humiliation. Elle disposait de deux sujets qui ne pouvaient rien Lui refuser, Elle devait trouver le moyen d’en user de la plus jubilatoire des façons...

— « Allons ! n’arrêtez pas, vous êtes deux chiens en chaleur, alors montez vous, léchez vous et recommencez ! vous n’arrêterez que lorsque je l’ordonnerai ! » ...
...

Pour e75, toujours suspendue à une chaîne du grand salon, le calvaire n’avait pas cessé. le Colosse qui avait jeté son dévolu sur la jeune esclave n’avait pas cessé ses jeux cruels de douceur et de cruauté. Après l’avoir longuement et profondément baisée avec un sexe aux dimensions plus que spectaculaires, Il avait repris son jeu pervers des flagellations et des caresses. Bien que désormais prévenue, e75 ne parvenait pas à contrôler son ressenti. Le cuir mordait de plus en plus cruellement ses chairs, mais les caresses l’apaisaient presque instantanément. A croire qu’elles avaient un pouvoir anesthésiant ! L’esclave ne pouvait s’y soustraire et pourtant elle savait qu’à ces instants de quasi bien-être allait succéder la souffrance. l’Homme contrôlait parfaitement l’alternance qu’il avait mise en place.

e75 ne savait jamais vraiment quand allait venir la douleur et quand la tendresse. elle ne savait pas non plus quand Il se lasserait, car il semblait que l’érection habitait en permanence son énorme sexe. Il l’avait déjà possédée à trois reprises, dont une fois en la sodomisant sans la moindre préparation, lui soutirant un cri strident qui avait beaucoup amusé Le Gros Russe, qui avait applaudi Son compère et décidé à Son tour d’user de l’anus d’e08 dont il avait longuement tenu la bouche fort occupée.

Les mains appuyées à la table basse, presque à l’équerre et la croupe parfaitement offerte, e08 sentait les mains Du gros qui écartaient ses fesses et un doigt épais qui s’enfonçait en elle. Au moins, Il avait choisi de la préparer, faisant aller et venir son doigt boudiné dans l’orifice qui s’ouvrait docilement à cette caresse... Constatant l’élasticité de l’anus, L’Homme commença à glisser un autre doigt, puis un autre. Il travaillait ainsi le cul d’e08 en profondeur, mais surtout en largeur en ponctuant ses allées et venues d’un rire qui disait Sa plus totale satisfaction à jouer ainsi de sa main qui, peu à peu, emplissait l’orifice de l’esclave...

De Son côté, Sir Evans avait pris un peu recul, entraînant avec Lui Sa favorite e46 qui le suivait docilement à quatre pattes. Le Marquis s’était installé un peu en retrait, sur une chaise confortable et il observait avec délices la scène orgiaque qui s’offrait à Son Regard. Manifestement, Ses associés Russes tiraient pleine satisfaction des services du harem, ce qui augurait très bénéfiquement de l’avenir des contrats qui seraient signés le lendemain. Seul le dernier mâle présent, e33 demeurait abandonné...

Mais il serait toujours temps de l’utiliser plus tard... Pour l’instant, tandis que Ses Invités comblaient leurs plus bas instincts, Le Marquis sentait monter en Lui le désir... Un geste Lui suffit pour faire comprendre à e46 ce qu’elle devait accomplir. Sir Evans claque des doigts et l’esclave se cambra, rejetant sa chevelure en arrière... elle faisait onduler son corps lentement, comme un reptile cherchant à charmer... e46 effectuait sur le sol une reptation purement érotique... Tantôt rampant vers Le Maître, tantôt s’en éloignant un peu, pour s’asseoir et écarter les cuisses afin de Lui montrer de ses doigts agiles, combien elle était humide du désir de Lui plaire.

Sans musique ni artifices, l’esclave exécutait la dance la plus sensuelle qui se pusse imaginer. elle contorsionnait son corps, le balançait au gré d’une rythmique que seul son esprit connaissait mais qui exprimait toute la dévotion et le désir que son Maître lui inspirait. elle glissait sur le sol, rampait, se pliait dans les plus impudiques positions, soucieuse seulement de susciter plaisir et désir Au Marquis. Lentement, ne progressant que de quelques centimètres à chaque fois, l’esclave se rapprochait Du Maître, mais elle faisait durer le temps qui les séparait encore, afin que Celui qui la possédait déjà corps et âme sentit monter en Lui toute l’excitation qu’elle aspirait à Lui inspirer, afin qu’il la possédât ensuite totalement, jusqu’au delà de ce que l’on peut imaginer...
...
La lap dance d’e46 avait pris une tournure franchement torride... Après avoir tournoyé autour de son Maître et avoir rampé devant Lui, elle était venue sur Lui et dégrafé les boutons de son pantalon afin de dégager Le Sexe qui avait quasiment jailli et se dressait maintenant fièrement sous les yeux brillants de l’esclave. Chevauchant Le Marquis, e46 avait commencé à se déhancher en frôlant Le Sexe dressé de son Seigneur et Maître. Le Marquis avait tâté soudain l’entrejambe de la femelle :
— « Mhh tu coules comme une vraie chienne en chaleur... Et tu as mérité d’être honorée par ton Maître », lui glissa-t-il tendrement.

Sur ce compliment, cette douce injonction, e46 n’hésita plus en se laissa glisser autour de La Queue de son Maître qui s’enfonça aisément au plus profond d’elle. Tandis que Sir Evans la regardait fixement, laissant apparaître un mince sourire sur Ses Lèvres, e46 s’employait à combler Le Désir de Celui qui la possédait quel que soit le sens accordé à ce terme. Allant et venant, l’esclave s’ouvrait largement et sentait La Verge dure et tendue qui la pénétrait et se frayait un chemin entre ses cuises... elle gémissait, haletait...

Gémissante et haletante, telle était également e08 qui s’accrochait à la table basse comme une naufragée à un radeau, tandis que le poing du gros Russe allait et venait maintenant sans retenue dans son anus. L’Homme avait ouvert le cul de l’esclave avec une habileté consommée. Son énorme main s’était progressivement frayé un chemin dans l’étroit conduit de la femelle... Il l’avait lentement mais inflexiblement ouverte, dilatée, doigt par doigt, puis de toute sa main, ouvrant les anneaux, les dilatant en expert, faisant sentir Sa Volonté à l’esclave sans la brusquer, lui imposant peu à peu cette présence épaisse dans son cul de plus en plus dilaté. Epaisse et boudinée, la main s’avérait pourtant d’une extrême douceur et l’homme n’hésitait pas à caresser les chairs intimes pour assurer Sa progression. Il avait parfaitement dilaté les sphincters avant de s’enfoncer au plus profond, tirant des râles du fond de la gorge de l’esclave...

Entre sévères corrections, pénétrations violentes et caresses apaisantes, e75 était quant à elle totalement déboussolée. Le Colosse qui se jouait d’elle lui avait fait perdre toute notion de la réalité. elle oscillait sans cesse entre la peur et le désir, la jouissance et la souffrance... L’Homme semblait insatiable. Il l’avait prise, reprise et prise encore. Il avait pénétré son sexe et son cul à maintes reprises à coups redoublés de Sa Queue qui semblait d’airain. e75 avait dépassé les limites de l’épuisement et des perceptions, emportée dans un tourbillon de sensations contradictoires qui enivraient son esprit.

L’esclave frémissait autant de désir que de douleur et ne parvenait plus à faire la différence. Une caresse sur sa peau et elle tressaillait, un coup de ceinturon qui la cinglait et elle frémissait... Ses membres étaient tendus par les chaînes, ses muscles endoloris ne répondaient plus que par réflexe... Ses orifices, pénétrés, possédés et méthodiquement labourés sans ménagement étaient saisis de soudaines impulsions qu’elle ne pouvait contrôler. d’ailleurs elle ne contrôlait plus rien, réduite à l’état d’une poupée de chiffon dont Le Colosse disposait de la plus cruelle des façons.
...

Dans la chambre d’Olga, les deux esclaves mâles e12 et e69 se montraient deux bons chiens dociles... ils se tenaient maintenant face à face, les chevilles largement écartées l’une de l’autre. Dans leurs bouches, les esclaves gardaient chacun, profondément enfoncées, les extrémités d’une énorme double-god. Cambrés, ils se tenaient immobiles et subissaient tour à tour les assauts de La Russe qui s’était équipée d’un impressionnant gode ceinture et les enculait tout en claquant fermement leur croupe tendue.

Olga était en train de sodomiser violemment e69 qui accentuait le balancement de son bassin d’avant en arrière, afin de s’offrir aussi pleinement que possible à Celle qui le pénétrait une nouvelle fois... Pour accentuer le supplice de l’esclave qu’Elle avait déjà pénétré à plusieurs reprises, La Russe sculpturale avait saisi ses poignets et les avait tiré en arrière, l’esclave ne devait ainsi son équilibre qu’à l’extrémité du gode qu’il gardait enfoncé entre ses lèvres... Olga ponctuait chaque coup de rein qu’Elle donnait d’insultes à destination des deux esclaves qui pour Elle n’étaient que deux chiens serviles livrés à Son Bon Plaisir.

Tandis qu’Elle labourait ses entrailles, e69 bavait abondamment. Bien qu’esclave, conscient de la bassesse de son statut, il éprouvait la plus profonde des humiliations. Même lorsqu’il avait été livré aux gardes pour être à la fois leur larbin et leur putain, il avait ressenti parfois comme un relent de compassion. Mais là, livré aux vices de Cette Plantureuse Femme Russe, il se sentait dépossédé de toute substance, vidé de la moindre once d’humanité. La bouche dégoulinante de salive, le corps transpirant et marqué par la cravache, le cul ouvert et rempli... il n’était qu’une sorte d’animal dégoutant et dénué de toute dignité. Lorsqu’il osait jeter un bref coup d’œil vers e12, il lisait dans le regard de l’autre esclave les mêmes sentiments. Une douleur cinglante lui vrilla le bras. Remarquant le regard échangé, Olga venait de lui tordre brièvement le bras. Elle ne voulait aucune forme de complicité entre les deux chiens. Surpris, e69 laissa échapper un cri et le gode glissa de sa bouche. Malgré une tentative désespérée, il ne put se ressaisir et sa tête chuta sur le sol tandis que e12 gardait le gode en bouche. Olga se retira sèchement du cul de l’esclave et l’insulta dans Sa Langue, tout en cravachant son cul déjà fort strié de traces rouges.

Puis le forçant à se remettre en position et à reprendre le double god en bouche, elle vint se placer derrière e12 et le pénétra brutalement ! Les deux esclaves allaient encore devoir subir bien des fois les assauts infatigables du gode ceinture d’Olga, qui avait ainsi montré à bien des mâles que nul ne pouvait échapper à Sa Volonté de fer...
...

Jamais e94 n’avait ressenti ce que les aiguilles de L’Asiatique provoquaient dans son corps. Depuis des heures, l’esclave était écartelée entre les montants du lit à baldaquin de la chambre où L’Homme l’avait entraînée. LIRE LA SUITE

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Commentaires

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