Caroline 7

Chap. VII – Le fouet de monsieur Jean
jeudi 2 août 2012
par  Marsajean
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Pour la troisième fois, je vais chez monsieur Jean pour la quittance du loyer de François. Mon cœur bat la chamade dans ma poitrine, les exigences de monsieur Jean m’excitent et me font une peur bleue.
Je dois m’y reprendre à trois fois pour faire fonctionner la carte du parking qu’il m’a donné. Je cale le moteur de la voiture quand la barrière du parking se lève pour me laisser passer. Je me demande si la barrière ne va tomber sur le toit de la voiture quand je redémarre enfin. Tout se passe bien et je ne dois pas chercher pour trouver l’emplacement qui m’est réservé.
Je scrute le sous-sol pour essayer de repérer les caméras et voir si je peux y échapper. J’en vois trois et leur disposition ne me laisse aucun espoir.
À la pensée qu’on va me suivre pendant mes déplacements et que je serai nue, je sens mon ventre se tordre de plaisir. Ma chatte est tellement trempée que la poignée de la laisse ne tient pas dedans. J’ai dû, à nouveau utiliser le système D de la corde en string pour la faire tenir.

Malgré les battements fous de mon cœur, je tente de paraître calme quand je sors de la voiture. Je pourrais essayer de monter habillée et de retirer ma robe seulement sur le palier de monsieur Jean, mais je suis certaine que les caméras sont branchées chez lui et qu’il est le seul à me regarder. Il est aussi possible qu’un gardien soit responsable de la sécurité et que ce soit lui qui va me suivre.
De toute façon, je n’ai pas vraiment le choix.
J’ouvre en tremblant le coffre de la voiture et y dépose mon sac à main puis, je jette un œil aux alentours pour constater qu’il n’y a personne dans le parking. Je défais lentement les boutons de me robe et je l’enlève pour me retrouver entièrement nue dans un parking désert. Les petites pinces à mes tétons me font un peu mal, il faut dire que ma poitrine se soulève à un rythme infernal et que j’ai toutes les peines du monde à trouver un semblant de calme.
Après avoir fermé la porte, je me retrouve avec les clés de la voiture en main et je ne sais pas quoi en faire. Après avoir verrouillé la voiture, je me penche légèrement et passe une main sous le pare-chocs arrière. Il y a une petite boîte en métal qui est destinée à recevoir une clé de réserve.
Je me dirige vers la porte qui donne sur l’immeuble. Je sens mon corps qui se couvre de chair de poule et mon clitoris se gonfler et se dresser à me faire mal. Je prends des précautions de sioux pour entrer dans le couloir de l’immeuble. Je n’entends aucun bruit et je commence à monter lentement les escaliers. Si j’avais une feuille à cigarette entre les fesses, on ne pourrait pas l’enlever tellement je serre les fesses de peur et d’excitation.
Entre deux étages, j’entends une porte s’ouvrir et une personne emprunter les escaliers. Je ferme les yeux en espérant que cette personne va descendre et ne me verrat pas. Je pousse un long soupir de soulagement quand je me rends compte que c’est le cas.
Enfin, j’arrive sur le troisième palier, celui de monsieur Jean et de François. Je suis essoufflée d’avoir monté toutes ces marches, mais en plus j’avais la peur au ventre d’être surprise par quelqu’un vivant dans l’immeuble. Je suis sûre qu’un jour ou l’autre cela se produira, mais je suis heureuse que ce ne soit pas cette fois-ci.
Il faut deux bonnes minutes à monsieur Jean pour venir m’ouvrir. Il me sourit de toutes ses dents et semble content de voir que je suis rouge de honte et d’excitation. Il me fait entrer en tirant sur la chaîne qui réunit mes seins.

—  Aïe ! Vous me faites mal.

-  Mais c’est le but recherché ma petite Caroline. Allez, avance plus vite ou je t’arrache le bout des seins.

Vu la façon qu’il a de tirer sur la chaînette, je le crois volontiers et j’essaye d’aller aussi vite que lui. Nous arrivons dans le salon et là, je suis surprise de ne voir personne, je m’attendais à voir au moins Adrien.

—  Nous allons être seuls cette fois, mais, rassure-toi, tu auras des spectateurs la prochaine fois. Aujourd’hui tu vas passer un test très important pour la suite.

—  Qu’allez-vous me faire ?

Cet homme m’inquiète de plus en plus, mais je sais que quoi qu’il fasse je m’efforcerai de faire bonne figure et de supporter ses amusements.

—  Tu vas voir, j’ai fait quelques changements dans notre petite pièce.

Il m’ouvre la porte et je reste clouée sur place. La table est repliée et posée dans un coin. Au centre de la pièce, il y a une grosse corde qui pend.

—  Couche-toi en dessous de la corde, les bras et les jambes écartés.

J’ai peur, mais en même temps je suis excitée et je suis impatiente de voir ce qu’il a encore trouvé. Je me couche sur le sol rugueux en écartant bien les bras et les jambes. Je suis offerte d’une manière obscène et cela me procure un plaisir intense, je sens ma chatte s’ouvrir et le résultat de mon excitation s’écouler sur mes fesses. Je suis devenue une vraie chienne et quoi qu’il m’arrive aujourd’hui, j’en serai heureuse.
Jean s’affaire quelques minutes avant de revenir vers moi.

—  Lève-toi, me dit-il sèchement.

J’avoue que je ne comprends pas pourquoi il m’a fait m’étendre sur le sol, peut-être voulait-il juste m’humilier ? Je me redresse et devant moi, monsieur Jean me présente deux bracelets assez larges qu’il referme sur mes poignets.
Je lève les bras et il attache les bracelets à la corde puis il tend la corde de façon que je sois bien tendue et presque sur la pointe des pieds. Monsieur Jean vient enlever la petite chaîne qui réunit mes seins et je ne peux m’empêcher de pousser un gémissement de douleur quand il ouvre les pinces qui écrasent mes mamelons. Il va poser la chaînette sur un appui de fenêtre et revient avec deux autres pinces plus grosses et qui ont un poids accroché.
Je ferme les yeux quand il ouvre la première pince et l’approche de mon petit téton droit. La douleur est fulgurante, les mâchoires sont munies de petites dents qui entrent dans ma chair. Après avoir accroché la deuxième et, par la même occasion, arraché un long gémissement de douleur, il se recule et je l’entends fouiller dans un sac.
Un claquement et je frémis, car je viens de comprendre ce qu’il va me faire ; me fouetter. Même si cela fait des semaines que je rêve d’être la cible d’un fouet, je sens mon corps qui se hérisse à la perspective de souffrir.
Monsieur Jean doit se rendre compte de ma peur, car il s’amuse à faire claquer le fouet dans l’air et chaque fois, je me tords dans mes liens et j’attends la douleur qui ne vient pas.

—  Pas trop fort ! Je vous en prie, c’est la première fois que je vais…

Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que j’entends le bruit effrayant de la lanière qui s’écrase contre ma peau.LIRE LA SUITE

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