Les Origines de la Saga des esclaves au Château... (chapitre 06)

6. Année 1784 - l’épouse dressée -
vendredi 26 avril 2013
par  Marquis d’Evans
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Le mariage à peine célébré, le Marquis de Sade se penche vers son ami d’Evans :

— « Ne pensez vous pas qu’il est temps de consommer le fruit de cette noce ? »
Le Marquis d’Evans entraîne Sade vers un coin de la pièce...
— « Naturellement Mon ami ! Voyez, la Duchesse bâille déjà alors que nous n’en sommes qu’aux prémisses de la noce... Ce petit monsieur doit pouvoir garder un souvenir inoubliable de ce jour où il a perdu tout droit et abdiqué toute dignité et nous allons nous charger de cette mission... »
...
Le destin du petit sieur d’Anglard est donc scellé... Ce n’est qu’après de longues heures d’abus et d’avilissement qu’il a été rendu à son épouse cacochyme, laquelle n’a pas manqué d’exiger de lui qu’il fit le voyage jusqu’à leur demeure avec le visage enfoui entre les cuisses de La Dame et ne cesse d’y laper affectueusement le fruit du plaisir qu’il parvenait à Lui offrir. Avec promesse de maints supplices s’il venait à La décevoir. Mais laissons là ce nouveau couple, dont naturellement, le narrateur de manquera pas de vous faire un prochain jour le récit de la façon dont ils vécurent.

Revenons plutôt à la jeune baronne d’Esglières, dont le destin est lié à la repousse de sa blonde chevelure ! Les ciseaux maniés par Kilima et Njaro ont en effet taillé sans pitié dans la masse abondante de ses cheveux, faisant tomber au sol d’épaisses boucles, tandis que l’infidèle ingénue pleurait la perte de cette naturelle parure dont elle était si fière. Et on l’a prévenue qu’elle demeurerait le jouet des Marquis aussi longtemps que ses cheveux n’auraient pas repoussé jusqu’à couvrir ses épaules, ce qui marquerait alors son retour sous le joug du mariage, désormais dressée et fidèle, prête à combler toutes les exigences de son vieux barbon de mari.
Depuis des jours, la dite baronne n’a plus vu la lumière du jour. Le jour elle est écartelée par les liens tendus entre les colonnades de son cachot, le corps entièrement nu, livrée aux attouchements et aux jeux pervers de tous ceux qui pénètrent dans la pièce où elle est exposée, offerte, livrée... La nuit, on l’enchaîne au mur après lui avoir permis de manger une infâme bouillie dans une gamelle posée à même le sol. Et chaque matin, elle est frappée de verges, sa croupe et son dos subissant douloureusement cette flagellation quotidienne tandis qu’elle récite jour après jour, son serment d’éternelle fidélité à son époux :

— « La fidélité est la plus noble des servitudes, par ces mots, je m’engage à demeurer éternellement fidèle à mon époux que je reconnais comme mon Seigneur et Maître. Je le chérirai, lui obéirai et le servirai en toutes choses et comblerai le moindre de ses désirs, sans jamais rechigner, sans jamais me dérober. Par ce serment, je Lui appartiens »...
...
Ce matin encore elle a récité ce serment, à haute voix, tandis que le fouet imprimait sur sa chair la marque infamante d’une punition destinée au dressage des animaux domestiques et à celui des esclaves de la traite des blanches ou encore à ceux des négriers. Mais il y a belle lurette que la petite baronne a abdiqué toute fierté. Chaque bruit la fait tressaillir, car elle sait qu’il signifie de nouvelles épreuves, la découverte d’une nouvelle contrainte qui va lui révéler qu’il n’y a point de limites à ce que l’on peut exiger d’un corps... ou du moins, rien qu’elle n’ait encore subi.
Son corps est brisé par les excès qu’il subit quotidiennement, pourtant elle sait qu’il faut s’attendre à bien pire encore. car jusqu’ici, elle n’a été livrée en pâture qu’à des subalternes, des esclaves ou des laquais... Mais elle sait que Le Maître des Lieux, Le Marquis d’Evans et Son si cher Ami, le fameux Marquis de Sade, n’ont pas encore daigné venir la visiter... Et lorsqu’ils viendront...

Mais ce ne sont pas encore les deux Seigneurs qui se présentent. Tandis que la jeune femme demeure prostrée dans un recoin du cachot, enchaînée au mur par la cheville, le corps souillé par ses propres déjections comme par les divers fluides issus de celles et ceux qui ont déjà abusé d’elle... c’est un prêtre qui franchit la porte. Un déclic se produit en la baronne qui à quatre pattes en train de manger dans sa gamelle, se précipite aux pieds de l’homme de religion.
De ses lèvres encore douces, bien que gercées d’avoir sucé tant et tant de verges tendues, elle baise les orteils sales qui dépassent de vieilles spartiates. elle lèche les ongles noircis par la crasse...

— « Oh mon Père ! Mon Père je Vous en supplie, accordez moi Votre miséricorde, la miséricorde de Dieu et aidez moi à échapper au terrible destin auquel je suis promise ! »
Le prêtre pose un regard morne sur celle qui rampe à ses pieds, dont les mains tremblantes ont saisi les chevilles en un geste de muette supplication...
— « Eh bien ma fille... qu’y-a-t-il donc ? » interroge le religieux...
Toujours prosternée, la jeune baronne asservie se blottit à ses pieds...
— « Mon Père... si j’ai fauté, ce n’était qu’en raison de ma jeunesse et de mon inexpérience... On me fait subir ici les pires avanies ! Mon Père, je vous en supplie, venez moi en aide, aidez moi pauvre brebis égarée à retrouver un peu de ma dignité. celle que j’étais en sortant du couvent pour être livrée à un mari pervers ! »
— « Lève toi ! » tonne la voix de l’homme
La baronne obéit et se redresse lentement, chaque muscle de son corps est douloureux et les stigmates de la flagellation quotidienne qu’elle vient de subir brûlent encore sa croupe marquée...
— « mon Pè... »

Une gifle appliquée par la grosse main épaisse du prêtre l’interrompt !
— « Silence catin ! (il saisit la chevelure qui repousse à peine d’une main et force la jeune fille à lui faire face. De l’autre main, il la gifle encore !). Si tu crains Le Christ, alors crains moi ! Je ne suis pas là pour écouter tes mensonges, vipère adultère ! (une autre gifle claque !) tu dois être soumise à ton Mari comme Au Seigneur, car le Mari est Maître de la femme comme Le Christ est Maître de l’église ! (une nouvelle gifle inscrit la trace rouge des doigts sur la joue de la baronne) Et comme l’église est soumise Au Christ, la femme est soumise en tout à son mari ! »

Une dernière gifle envoie la baronne à terre, son corps tendre et nu s’aplatissant au sol, avant qu’elle ne rampe se réfugier dans un angle de murs, comme une pauvre bête aux abois...
Le prêtre s’approche d’elle... Il se dresse au-dessus de la jeune femme recroquevillée et tire de sa soutane une sorte de croix qu’il tend vers elle

— « Vois, chienne lubrique ce symbole de la foi ! C’est La Croix du Christ, tu vas l’adorer, tu vas la vénérer et tu vas te donner à Elle... Et demander pardon pour tes innommables péchés ! »
Tremblante, la baronne s’agenouille devant le prêtre et baisse les yeux devant La Croix
— « Oui …Oui mon Père, oui, je me repends. je demande le pardon pour mes fautes et je me soumettrai à Votre Volonté afin d’expier et de retrouver le chemin de la piété »
Elle ne peut voir le sourire sardonique qui éclaire alors le visage du prieur... Celui-ci s’approche tout auprès d’elle... Soulève sa robe de bure et dévoile devant le visage de la jeune femme agenouillée une verge tendue, au gland rouge et déjà salivant...
— « Prends-la en bouche, chienne ! C’est la seule eucharistie qui te sera accordée, chaque jour, jusqu’à ce que je juge que tu as expié... Alors suce ! et suce bien, sinon tu seras châtiée ! »

Rompue, asservie, vaincue, la baronne obéit... sa bouche se colle au sexe tendu, ses lèvres s’ouvrent et elle lèche le gland turgescent avant que ses lèvres ne l’enserrent et qu’elle prenne la queue dure dans sa bouche et la suce, lentement, docilement, avec douceur et application... Le temps est suspendu... Pas un bruit, seulement parfois un bref hoquet lorsque d’un brusque coup de reins, le prêtre enfonce brutalement sa queue tendue jusqu’au plus profond de la gorge de la baronne, jusqu’à brièvement l’étouffer. Et enfin, un flot épais inonde la bouche et la gorge de la jeune femme qui avale tout. Le jus dégouline en elle et elle n’en perd pas une goutte. Puis le prêtre se retire de sa bouche et laisse la bure retomber sur ses jambes...

— « C’est bien... Mais ce n’est naturellement qu’un début. Il faut du temps pour extirper le démon du corps des femelles corrompues. Et tu es la pire des corrompues ! tu es une catin adultère ! tu es une putain lubrique qui a livré son corps aux pires turpitudes ! Et tu seras châtiée par là où tu as pêché ! Maintenant, sous le regard de ton Créateur ! Et puis chaque jour, jusqu’à ce que tu es avoué et payé pour chacune de tes fautes, tu seras châtiée comme tu vas l’être maintenant, par le Plus Saint des Instruments ! »

Lentement, le prêtre se saisit à deux mains de sa croix, il en dégage la partie haute comme on sort la dague d’un fourreau et dévoile, un long et dur olisbos (godemichet) de bois poli...
— « Vois l’instrument de ta rédemption ! » (et il tend l’énorme instrument face aux yeux de la jeune femme effrayée) « Allons ! Lève toi, tourne toi ! Creuse tes reins et tends ta croupe ! »
La baronne, soumise, obéit et présente ainsi son cul à l’homme de Dieu...
— « Parfait ! Et maintenant, que Sa Volonté soit faite ! Et que tu souffres pour Lui comme il a souffert pour Nous ! »
Et d’un geste brusque, sec... comme il enfoncerait un poignard dans le flanc d’un ennemi, le prêtre enfonce sans retenue l’olisbos dans l’anus de la baronne qui pousse un cri long et profond...
— -

Combien de jours ? Combien de semaines ? elle n’en sait rien... elle a le sentiment que sa vie fait du sur-place. Qu’elle n’est plus qu’une pauvre chose ... c’est l’image d’un pantin qui lui vient à l’esprit... Un de ces pantins de bois avec lesquels elle jouait, enfant, dans le grand salon du château familial... ces pantins dont elle tirait les ficelles afin de leur faire exécuter tous les gestes dictés par sa fantaisie. Oui, un pantin, c’est bien ce qu’elle est devenue après ces longues semaines passées dans les cachots du Château du Marquis d’Evans, à être utilisée, asservie, brisée, par tant d’abus plus pervers les uns que les autres. pas une partie de son corps qui n’ait été exploitée et bien sur, pas un seul orifice qui n’ait offert à toutes sortes d’objets, de formes et bien sur de sexes de chair qui l’ont pénétrée, possédée... elle a été fouillée comme elle n’aurait jamais osé penser que ce fut possible ! Femmes et hommes ont pu disposer quotidiennement d’elle...

Comble de l’avilissement, elle a même dû s’offrir à l’un des énormes molosses qui composent la meute Du Marquis, la bête, après l’avoir prise et joui en elle, ayant tourné autour d’elle en grignant, avant de lever la patte et de l’asperger de son urine, montrant ainsi qu’il la considérait comme sienne. la petite baronne, en cet instant, tandis que l’urine canine s’écoulait sur son corps, avait eu le sentiment d’avoir perdu toute humanité, de n’être plus rien, moins qu’un animal,moins qu’un objet... dès lors, elle avait renoncé à toute révolte. elle avait compris qu’il ne servirait à rien de renâcler... et ses premiers émois et vaines tentatives de réaction avaient cédé le pas à une totale soumission. La baronne infidèle avait dès lors abdiqué toute forme de pudeur ou de dignité, pour s’abandonner totalement aux pratiques les plus avilissantes...

La jeune femme sortie si naïve du couvent moins d’un an plus tôt pour se marier et être déniaisée par un vieil époux, avant de découvrir les étreintes clandestines et trop rapides avec son jeune amant, avait désormais une pratique si variée des plus indescriptibles perversions qu’elle aurait fait rougir la plus rouée des catins....

Recroquevillée dans un coin du cachot, enchaînée, elle attend désormais plus docile qu’une chienne... elle attend que commence une nouvelle journée, dont le début, immuablement consiste en une série de dix coups de cravache, administrée par l’un des gardes pervers du Château... cette formalité accomplie, il est fréquent que celui qui s’en est chargé en profite ensuite pour forcer sa bouche jusqu’à y répandre sa semence... rappelant à la jeune soumise que c’est là l’unique petit-déjeuner qui lui sera accordé. Désormais, totalement asservie, l’esprit rompu, toute volonté bue, la baronne ne s’est même pas rendue compte que ses cheveux ont poussé et qu’ils ont quasiment atteint la longueur qui signifiera pour elle le retour auprès de cet époux auquel elle sera désormais la plus douce et soumise des épouses...

Aussi ne saisit-elle pas tout de suite la raison pour laquelle les deux esclaves noires du Marquis, Kilima et Njaro, entrent ce matin dans son cachot, suivies d’une esclave portant un lourd seau d’eau fumante... Sans un mot, brutalement, la baronne est libérée de ses chaînes et on lui intime l’ordre de se tenir debout jambes écartées et les bras réunis derrière la nuque... tremblante, la jeune baronne obéit docilement, ne pouvant réprimer un imperceptible tremblement de peur... mais nuls coups, nul attouchement avilissant... les deux esclaves entreprennent au contraire de laver la baronne de pied en cap... Et ce n’est que lorsque l’eau savonneuse et encore tiède coule sur sa chevelure et sur ses épaules que la baronne comprend ce qui se passe... Bien sur, son abondante chevelure blonde a retrouvé sa vigueur et surtout sa longueur... elle a enfin atteint la longueur qui signifie ... La Liberté ! Puisqu’on la pare ainsi, c’est sans aucun doute qu’elle va être ramenée à son époux...elle se jettera à Ses Pieds, implorera Son pardon et se comportera désormais comme le doit une parfaite épouse : elle sera docile, discrète, humble et obéissante, soucieuse seulement de combler le moindre souhait, le moindre désir de son mari, son Seigneur et Maître !

Elle se laisse donc laver, masser avec des huiles parfumées, puis apprêter et enfin revêtir d’une fine chemise de lin, puis d’une robe... C’est la première fois depuis qu’elle est entrée au Château, qu’elle n’est pas nue. bien que l’esprit en ébullition, désireuse de bondir de bonheur, la baronne demeure coite, n’osant pas exprimer trop ouvertement le soulagement qu’elle éprouve, l’exaltation qui l’habite... Seul le collier de chienne qui ceint son petit cou fin rappelle la condition de la baronne, menée en laissé par Njaro à travers les couloirs du sous-sol du Château fort utilisés en cette année 1784 (NDLR : sous-sols et souterrains ayant historiquement permis la fuite de la famille des Evans, 5 ans plus tard lors de la Révolution Française) ... Elles remontent les marches de pierre brute qui mènent jusqu’aux parties luxueusement nobles de La Demeure Seigneuriale et traversent les longs couloirs richement décorés, sur les épais tapis qui sont posés sur des sols de marbre brillant.

La baronne se sent soudain toute légère... comme si en s’éloignant des sombres cachots, elle laissait derrière elle les images et les sensations si dégradantes, pour redevenir cette frêle jeune fille, vierge et pure, qui quittait son couvent de jeunesse pour entrer dans la vie.

— « C’est une nouvelle naissance, je suis lavée de mes fautes et je reviens vers mon époux comme purifiée... je suis une autre femme, et je suis heureuse », se dit-elle, devant Njaro tenant la baronne en laisse, une immense double-porte s’ouvre, tirée par deux esclaves mâles seulement vêtus d’un tube d’acier qui recouvre leurs pénis et relié à leurs hanches par de fines chaînes d’or...Dans la pièce, le vieux baron est bien là, entouré par les Marquis d’Evans et de Sade...Ils se tiennent droit, le regard fixé sur la jeune femme qu’on leur « livre » ainsi... et elle s’avance, les yeux baissés, telle une timide ingénue, persuadée que son mari va la prendre dans ses bras, la pardonner et l’entraîner à sa suite jusqu’à leur carrosse afin de regagner enfin leur petit château afin d’y couler enfin des jours heureux.

Elle doit presque se retenir pour ne pas courir vers son mari, souriante et lui dire...(-« Oh oui, mon si cher époux ! amenez-moi enfin... je suis toute à Vous et je Vous aime ! ») mais docilement, elle se laisse entraîner jusqu’au trio de seigneurs ; Njaro la fait placer à un pas des Trois Hommes, enlève la laisse du collier et s’éloigne, l’abandonnant ainsi...Le baron d’Esglières s’approche d’elle. Il la toise... du bout des doigts lui fait lever le menton jusqu’à la forcer à Le regarder les yeux dans les yeux. Il a un sourire, mais un sourire étrange... dur, mauvais... elle n’a pas le temps de réaliser que déjà la douleur d’une gifle irradie toute sa joue... elle en perd le souffle tandis qu’elle entend la voix du Baron

— « Catin ! tu n’es qu’une chienne, je viendrai te chercher... plus tard »... Puis se tournant vers les deux Marquis qui observent la scène d’un air intéressé... - « Messieurs les Marquis, je Vous la laisse, disposez en comme bon Vous semblera » et d’un pas claudiquant, Le Baron quitte la pièce, abandonnant sa jeune épouse entre les mains expertes en perversions des Marquis d’Evans et de Sade...

Les Marquis se sont approchés à leur tour. Le Marquis d’Evans saisit à pleine main les boucles blondes de la baronne... Il la force à rejeter la tête en arrière, tandis que Le Marquis de Sade vient par devant elle et lui pétrit les seins, déchirant le tissus de la robe, en faisant de la charpie qui tombe au sol, laissant la baronne seulement recouverte de la fine chemise de lin transparente... Les Marquis se collent à la jeune femelle et pétrissent sa peau, étirent ses tétons, passent leurs mains sur son intimité, relevant la fine chemise, poussent leurs doigts dans son cul, dans son sexe... elle s’abandonne brutalement désespérée après avoir nourri tant d’espoirs de s’échapper enfin ! les Marquis s’amusent de ce petit corps parfumé, sur lequel ne subsistent que quelques traces rougies des flagellations subies... Ils finissent d’arracher les lambeaux de la chemise et la jeune baronne se retrouve nue...

— « A genoux, petite putain ! A genoux maintenant » la baronne, brisée, obéit et s’agenouille sur les épais tapis... le Marquis d’Evans tire ses bras en arrière et lui lie les poignets dans le dos... elle frissonne de désespoir et de crainte... jamais elle n’avait été livrée aux deux Seigneurs, ne subissant que les assauts de la domesticité et des deux esclaves noires qui l’ont initiée à tous les jeux saphiques... elle sent que l’on enfonce un objet froid et dur entre ses cuisses...
— « Mhhh une jolie petite salope ! » dit Le Marquis de Sade qui apprécie la fraîcheur juvénile de ce corps que les pires perversions et les fréquentes tortures n’ont pas défraîchi. Toujours la tenant fermement par les cheveux, Le Marquis d’Evans enfonce son sexe entre ses lèvres
— « Avale, putain ! je sais que tu aimes ça ! Gagne le droit d’être rendue à ton mari ! »
Tandis qu’elle sent le sexe qui s’enfonce jusqu’au fond de sa gorge, jusqu’à la priver d’air... elle sent aussi l’objet qui va et vient dans sa chatte humide. Déjà la cyprine coule sur l’intérieur de sa cuisse, tandis que dans sa bouche, la queue se tend et durcit encore. la baronne ondule lentement sur le gode d’ébène polie qui remplit parfaitement sa chatte, tandis que le Marquis de Sade la force à prendre dans sa main son sexe et à le branler. Insultée, souillée, la baronne branle Un Marquis et suce l’Autre, tandis que le gode emplit son sexe qui mouille abondamment...

— « Salope », « chienne », « traînée »... sont quelques uns des mots que lui lancent les deux Marquis ; des mots qui la désignent désormais quotidiennement…

Brusquement, une épaisse giclée de jus jaillit du sexe du Marquis de Sade et éclabousse le visage de la baronne qui, dans le même temps, reçoit une épaisse giclée du Marquis d’Evans dans sa bouche. Le sperme est épais et très abondant, elle avale pour ne pas suffoquer... et en même temps, elle ressent une vague de plaisir qui monte de ses entrailles. L’objet entre ses cuisses, qui la remplit si bien l’a menée jusqu’à la jouissance... la petite baronne sent son corps traversé de spasmes, le sperme coule dans sa gorge, sur son visage et goutte peu à peu sur ses seins déjà trempés de sueur. elle gémit.... Les Marquis la forcent à se prosterner, le visage écrasé au sol, les poignets toujours liés dans le dos... Ils l’obligent à cambrer ses reins et à faire saillir sa croupe... elle sent un sexe dur qui se presse entre ses fesses, qui force l’anus... qui s’enfonce en elle et commence un va-et-vient violent...

— « Mhhh la petite pute aime ça... »
— « Oui quelques semaines de dressage et nous voilà avec la plus lubrique des putains »
— « Nous devrions proposer à son mari de nous la vendre ! »
— « bah... elle nous lasserait... il aura bien quelques palefreniers qui en auront l’usage ! »...

Anéantie, la baronne entend le dialogue si humiliant des deux Marquis qui, à tour de rôle,viennent derrière elle et l’enculent longuement, brutalement... Après maintes et maintes sodomies, les deux Marquis ont suffisamment joui de leur proie. Maintenant, ils ordonnent à la baronne de nettoyer leurs sexes de sa bouche et elle obéit docilement, servilement... elle est épuisée, brisée... tous ses espoirs se sont effondrés et elle désespère de sortir un jour de ce Château de la perversion. Pourtant, Le Marquis d’Evans se penche sur elle, tire ses cheveux et la force à se relever... elle a perdu toute sa fraîcheur... pantelante comme une poupée brisée elle ne peut retenir quelques larmes... Les Marquis la regardent, amusés... Le Marquis d’Evans la fixe :

— « Alors chienne ! ? penses-tu à ton mari ? »
— « Oui Monsieur le Marquis » gémit-elle
— « Tu veux le rejoindre ? l’aimes tu ? »
— « Oh oui, oui Monsieur Le Marquis. je l’aime et l’aimerai, le vénérerai... »
— « Bien... nous allons envisager de te rendre à lui... peut-être »...... LIRE LA SUITE

LE CHATEAU DU MARQUIS D’EVANS

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