Défense de fumer

jeudi 2 août 2012
par  martalim
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J’ai 32ans, brune, élancée et j’ai découvert la fessée et mon mari en même temps. C’était il y a 8 ans, nous travaillions dans la même agence bancaire, lui étant mon supérieur. A l’époque je fumais prés de deux paquets de cigarettes par jour et depuis ce que je vais vous raconter, je ne fume plus.

A l’époque je devais sortir sur le trottoir quand je voulais fumer, car le règlement intérieur interdisait de fumer dans les locaux. Une petite tolérance existait pour ceux qui avaient un bureau particulier. Par contre, il était formellement interdit de le faire aux archives étant donné la masse de vieux papiers, et les risques encourus avec une cigarette ou une allumette mal éteinte. Néanmoins quand j’avais de longues recherches, il m’arrivait de le faire en me cachant prés de la bouche de la ventilation.

Ce jour là, j’étais donc en train de fumer quand Patrick me surprit

—  Stéphanie, vous savez que vous ne devez pas fumer ici, vous êtes inconsciente

—  Je suis désolée

—  C’est le dernier avertissement sans frais, la prochaine fois j’en parle au directeur

—  Je vous promets que je ne recommencerais pas, Monsieur

Je m’en tirais bien car j’avais déjà eu plusieurs remarques.

Deux mois plus tard, il pleuvait, je n’avais pas envie de sortir avec un parapluie et cela faisait plus de deux heures que je n’avais pas fumé. Patrick était en réunion, je descendis aux archives pour un griller une. Malheureusement, sa réunion terminée, il me chercha pour taper le compte-rendu et une de mes collègues lui dit qu’elle m’avait vu descendre et ce qui devait arriver arriva.

—  Stéphanie ! ! Vous étiez avertie, je vais prévenir M Bellanger, vous ne couperez pas à l’avertissement dans votre dossier

—  Non, Monsieur, je vous en prie, il pleuvait, je ne recommencerais pas

—  C’est ce que vous m’avez dit la dernière fois, je sais ce que valle vos promesses. Je ne veux rien savoir, vous vous comportez comme une gamine qui va fumer dans les toilettes, vous avez 23ans, que diable comportez-vous en adulte

—  N e dites rien je vous promets que c’est la dernière fois.

—  C’est ce qu’a dit ma nièce de 13 ans quand mon frère l’a surprise en train de fumer ce qui lui a valu une bonne fessée

Le mot de fessée me troubla, car je ne l’attendais pas dans notre conversation, Je rougis et baissais les yeux.

—  C’est ce que vous mériteriez pour votre inconscience (plus tard il me dit qu’il avait dit cela sans arrière pensée, et surtout pas dans l’intention de passer à l’acte)

Je ne répondis pas j’avais la tête toujours baissée et je me dandinais. Il remarqua mon attitude passive, ce qui le troubla à son tour.

—  Stéphanie, je dois avouer que je ne vous comprends pas, que dois-je faire ?

—  Je ne sais pas Monsieur, je reconnais que je me suis conduite comme une idiote, complètement, irresponsable. Votre nièce a t’elle refumé depuis ?

—  Ma nièce…… heu…non, je ne pense pas, la fessée a du être salutaire (il dit cela un peu décontenancé par ma question)

J’étais dans un état second, une partie de moi me disait que si j’insistais, il me donnerait peut être une fessée, que c’était un mauvais moment à passer et puis c’était fini, et une autre me disait que j’avais 23ans, que j’étais folle de penser cela, qu’à mon age, on ne reçoit plus la fessée surtout dans le cadre professionnel. Patrick était de plus en plus troublé par mes réactions. Je m’entendis dire des paroles que j’aurais trouvées insensées cinq minutes plus tôt.

—  Si vous…..enfin je veux dire si vous croyez………vous voyez ….une fessée……enfin si vous ne dites rien à M Bellanger, c’est à dire…..

—  Qu’essayez-vous de me dire Stéphanie ?

—  Que bon……enfin vous voyez ?

—  Je pense, mais je voudrais vous l’entendre dire

Je rougis encore plus et je bredouillais

—  Si vous ….n’en parlez pas à M Bellanger, je veux bien que…….vous comprenez…

—  Que quoi ?

—  Que vous me…..donniez… une….. fessée, oh j’ai honte !

—  Vous êtes sure de vous Stéphanie.

—  ….Non….mais ….oui enfin si vous n’en parlez pas….

—  Bien fermez la porte et venez ici

Je m’approchais de lui, j’étais en jupe assez évasée et je portais des collants et une petite culotte en coton. Il me prit sous son bras releva ma jupe et commença tout de suite à claquer mes fesses clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac !

—  Aie…..ouille….arrétez

—  Taisez-vous, j’arrêterais quand je le jugerais nécessaire

clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! Mes fesses commençaient à me faire mal car ce n’était pas une fessée pour rire. Je n’avais reçu jusque là que quelques claques sur mes cuisses quand j’étais petite. clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! Il frappait sur toute l’étendue de mes fesses, je regrettais d’avoir accepté clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac !je battais des jambes essayant de me dégager mais il me tenait fermement et plus je bougeais plus les claques étaient fortes

—  Je vous en prie, j’ai ….aie….compris la leçon, arretez…..ahhhhhh aieeee…

—  Je pense que cela va vous faire passer l’envie de fumer dans les locaux

—  Je vous le promets….mais aiiiiiiie arretez

clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! clac ! il me lâcha, ma jupe retomba, mes fesses me cuisaient, et je les massais.

—  J’espère que vous avez compris, s’il y a une prochaine fois ce sera comme ma nièce, cul nu, c’est bien compris

—  Oui Monsieur, vous voulez dire que votre nièce a été fessée devant vous fesses nues. oh ! Que j’ai mal !

—  oui cul nu devant sa mère, son frère et moi. Vos fesses vous font mal. Ainsi toute la journée en les sentant, cela vous fera réfléchir.

Je remontais dans mon bureau, il me donna le compte-rendu, je me dandinais sur ma chaise et je sentis toute la journée les effets de cette fessée. En plus j’étais distraite parce qu’il avait dit. Je m’imaginais sa nièce fessée devant son oncle et son frère sa petite culotte baissée. Je me rendis aux toilettes et constatais que ma culotte était toute mouillée et j’en fus très troublée.

Dans les semaines qui suivirent, il ne parla pas de cet incident mais j’y pensais et petit à petit, dans mon lit je m’imaginais être fessée par lui fesses nues et à chaque fois ma main descendait progressivement vers mon sexe qui invariablement était trempé.

Quelques mois plus tard, nous étions en août et l’agence fermait pendant l’heure du déjeuner et ce jour là je voulais finir un rapport et décidais de me passer de déjeuner. J’attendis que tout le monde soit parti pour prendre une cigarette et l’allumer. Patrick avait oublié ses tickets restaurant, il passa par mon bureau, les pris, repassa devant moi et s’arrêta brusquement.

—  Ca sent la cigarette

—  Heu…..ce rapport est urgent et si vous le voulez pour 14 heures.....

—  Je sais mais ce n’est pas cela que je vous demande

Il regarda autours de lui et vit une cigarette fumer dans un cendrier sur mon bureau

—  Je….je n’ai pas le temps de sortir

—  Stéphanie ! ! ! ! Ce n’est pas une raison, vous êtes incorrigible, que m’aviez vous dit ? voilà ce que valent vos promesses

—  Mais….mais…non ce n’est pas ça….en fait c’est que….

—  Taisez-vous, je pensais que vous étiez une femme sérieuse, et depuis ce qui s’était passé aux archives, je pensais que vous aviez compris et que la promesse que vous m’aviez faite serait tenue. Je vous avais moi aussi promis quelque chose, vous en souvenez-vous ?

—  Oui….je crois

J’étais très troublée, bien sur que je savais ce qu’il m’avait promis, une fessée déculottée, mais non, il n’allait pas oser, et pourtant n’était ce pas ce que j’espérais au fond de moi-même.

—  Que…que…voulez vous dire ?

—  Que vous avais je promis ?

—  Que…que…si vous me surpreniez encore……..

—  Oui ! ! !

—  Que vous me….donneriez…….

—  Quoi ? ? ? ?

—  Une ……j’ai honte, oh je vous en supplie

—  Je vous écoute

—  Une…fessée…ohhhhh je vous en prie

—  Une fessée comment ?

—  Fesses……oh non ! ! ! !

—  Oui une fessée cul nu dites-le !

—  Une fessée…cul nu

J’éclatais en sanglots

—  Descendez aux archives j’arrive LIRE LA SUITE

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Commentaires

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mardi 7 août 2012 à 16h50 - par  jewel

je me suis permise d’en référer à mon Maitre, peut-être décidera-t-il de m’octroyer une de ces fessées, qui me feront moi aussi arrêté de fumer...
belle histoire qui parraît facile a mettre en oeuvre, merci

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