La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode 07)

7- Esclave mâle, esclave femelle ...
mercredi 5 septembre 2012
par  Marquis d’Evans
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Dans le pavillon des gardes, E69MSE avait fini de servir le roboratif petit-déjeuner de ces hommes frustes auxquels il avait été confié afin de châtier sa piètre performance chez Le Comte. Nu, il passait de mains en mains, chacun des gardes le saisissant un moment pour se livrer sur lui à quelques pelotages appuyés et autres attouchements.

L’esclave ressentait profondément l’avilissement auquel il était livré. Privé de La Présence de son Maître vénéré, il n’était plus qu’un objet dont ces hommes grossiers usaient sans ménagement avec pour seule limite de ne pas mettre sa santé et son intégrité physique en danger.

L’un des gardes l’avait pris en travers de ses genoux et il pressait ses couilles d’une main, tandis que de l’autre il dévorait d’épaisses tranches de pain couvertes d’une terrine de gibier. Diverses odeurs se mêlaient autour de la table, nourriture, transpiration déjà malgré l’heure matinale... On était bien loin des ambiances raffinées du château.

L’homme qui était en train de s’amuser de l’esclave le rejeta brutalement au sol tout en émettant un rôt sonore...
— « Allez la chienne, va chercher ta gamelle ! »

L’esclave 69 se rendit jusqu’à la cuisine pour y prendre une gamelle en fer blanc. Revenant ensuite vers la table, il vint se présenter à un premier garde, tête et yeux baissés, tendant vers lui la gamelle. L’homme y déversa les reliefs de sa collation, croutes de pain et de fromage, gras de charcuterie... mais avant que l’esclave ne passe au suivant, le garde envoya un épais crachat sur les restes.

— « Merci Monsieur, de m’accorder cette nourriture », prononça l’esclave à haute voix, sous les regards amusés.

Ainsi, E69MSE fit le tour de la table, chaque garde lui accordant ses restes agrémentés d’un crachat et recevant en retour un humble remerciement. puis l’esclave posa sa gamelle aux pieds du dernier garde et il commença à manger ce qui constituait sa pitance du matin, tandis que les hommes commençaient à se préparer pour leur longue journée de service forestier.

Dès qu’il eut terminé sa gamelle, qui devait être entièrement consommée, E69MSE s’empressa de débarrasser la table, de ranger et de faire la vaisselle. Le moindre retard serait immédiatement sanctionné, il le savait.
Terminant rapidement, il alla se placer au coin, à genoux, attendant le coup de sifflet qui signifierait que les gardes allaient sortir et qu’il devait suivre. Coup de sifflet ! E69MSE s’avança à quatre pattes jusqu’à l’extérieur où les gardes étaient déjà, vérifiant leurs fusils et faisant tourner le moteur de leur véhicule tout terrain. Deux gardes devisaient... l’un d’eux s’approcha de l’esclave

— « Pas besoin de toi ce matin, la chienne. Tu ne ferais que nous gêner. »

Il saisit la corde qui servait de laisse et tira dessus pour entraîner E69MSE à sa suite. Ils rejoignirent le chenil, un vaste espace grillagé, où trois molosses enchaînés avaient été nourris dès le petit matin par l’esclave qui les craignait terriblement.

Le garde ouvrit la porte, les molosses avancèrent les crocs, mais les chaînes les retenaient. E69MSE tremblait cependant, effrayé par ces véritables fauves qui n’obéissaient qu’aux gardes. Celui qui l’accompagnait haussa à peine le ton et les chiens retournèrent s’allonger. Le garde lia alors les mains de l’esclave et fixa la corde au grillage, abandonnant ainsi E69MSE sur la terre battue du chenil, effrayé, sous le regard mauvais des chiens qui grognaient doucement... Et l’enclos fut refermé...

...

Au château, Sir Evans avait renvoyé E75MSE. Il était en train de revêtir un somptueux kimono de soie brune moirée, authentique pièce de collection qui remontait à l’ère Meiji ; ramenée d’un lointain voyage au-cours duquel Le Marquis avait eu l’occasion d’échanges fort enrichissants avec quelques Maîtres Nippons du shibari.

Sir Evans s’apprêtait à rejoindre Son Compagnon David et un Couple d’Invités à la salle à manger. Mais il prenait Son temps, sachant que Ses esclaves mettaient la dernière main à la préparation du brunch matinal.
E75MSE et E04MSE, les deux femelles désignées, avaient été préparées : Leurs cheveux avaient été brossés et tirés en une impeccable queue de cheval, elles portaient chacune un large collier de métal argenté au cou, dont l’unique anneau était relié par une chaîne qui se dédoublait afin de rejoindre chaque téton où elles étaient fixées par une fine pince qui faisait durcir et saillir en permanence.

A leur taille, un petit tablier de dentelle anglaise blanche qui ne cachait que partiellement le haut des cuisses et l’intimité des deux femelles. tablier noué dans le dos par un nœud très facile à défaire d’un geste. Elles étaient perchées sur des escarpins noirs, pointus, aux hauts talons de 12 centimètres qui les forçait à se tenir parfaitement droites, seuls leurs yeux demeurant baissés en permanence en signe de leur humble fonction. les deux esclaves se tenaient chacun d’une côté du buffet, droites et parfaitement immobiles, les mains jointes dans le dos, la poitrine dressée et pointée, avec leurs bijoux de tétons qui brillait dans la lumière matinale entrant à flots par les fenêtres de la pièce.

Ce fut David, Le Compagnon de Maître Sir Evans qui entra le premier... d’humeur malicieuse il s’avança jusqu’au buffet et s’amusa à titiller le téton gauche d’E75MSE qui conservait imperturbablement sa pose. David se lassa assez rapidement et commença à contempler le somptueux buffet qui avait été préparé et dressé par des esclaves mâles, sous l’autorité sans concessions de Marie La Cuisinière. David se saisit d’un lourd verre à pied en cristal de Bohème et se servit lui même une large rasade de jus d’oranges pressées. Puis il claque des doigts afin d’attirer l’attention des deux femelles désignées pour le service. Tout en savourant le jus de fruits fraîchement pressé, il désignait
du bout d’un doigt les divers éléments qu’il souhaitait voir dans son assiette : des oeufs brouillés, une fine tranche de bacon craquante, des toasts légèrement grillés, beurrés et de la confiture de framboises dont Marie avait le secret...

Tandis qu’il allait rejoindre sa chaise, E75MSE s’appliquait déjà à garnir des assiettes des diverses denrées....

C’est alors que Le Marquis d’Evans et Ses hôtes firent leur apparition. Sir Evans était accompagné d’Un Couple de quinquagénaires au port élégant. Le Maître des Lieux s’installa à la chaise en tête de table, tandis que Ses invités s’installaient sur le côté, La Femme sur la chaise la plus proche de Sir Evans, Son époux à la gauche de Celle-ci.
les deux femelles commençaient à servir jus de fruits et boissons chaudes. Café pour l’invité, thé pour Son épouse, David et Sir Evans. Un Darjeeling de haute qualité, aux arômes floraux d’une grande subtilité.

Une sorte de ballet se mettait en place, Les Convives se déplaçant jusqu’au buffet afin de désigner d’un geste ce qu’ils désiraient voir dans leurs assiettes avant de regagner Leur place et d’y être servis par l’une ou l’autre des deux esclaves femelles. L’Homme du Couple s’attardait souvent près du buffet lorsque la jeune E75MSE s’y trouvait...

Il semblait prendre un plaisir non dissimulé à flatter la croupe de l’esclave qui prenait garde à ce que ses mouvements pour assurer le service ne viennent pas déranger les investigations pressantes de l’Homme.

De son côté, La Dame qui l’accompagnait avait fait signe à E04MSE de venir auprès d’Elle et l’avait faite s’agenouiller à Son côté, lui faisant poser sa tête sur ses cuisses dénudées par l’échancrure du peignoir de soie qu’Elle portait.

La Femme caressait doucement la nuque et les cheveux d’E04MSE... puis elle saisit sa queue de cheval et amena son visage plus haut sur ses cuisses, incitant l’esclave à embrasser sa peau pâle aux veines bleues. Tout en savourant Son Darjeeling, La Femme caressait toujours la femelle en lui glissant des compliments...

— « Mmmh oui, bonne chienne... Tu es une bonne petite chienne » susurrait-elle tandis qu’E04MSE lui embrassait l’aine avec une humble ferveur... « Oui tu es une chienne, cela se sent... Dites moi... »lança La Femme à l’intention Du Marquis qui lui prêta toute Son Attention...
— « Mon cher Marquis, mon ami, me confieriez Vous cette esclave pour la journée, j’ai très envie de m’en amuser un peu... et je crois que mon époux est plus sensible aux attraits de votre autre esclave », poursuivit-Elle.
— « Bien évidemment chère amie. Vous êtes mes hôtes et j’aurai plaisir à Vous faire goûter aux charmes de mon harem... Comme je Vous l’ai promis, nous irons tout ,à l’heure à la découverte des entrailles de ma demeure... Et là Vous découvrirez bien des occasions de Vous amuser et d’user, voire d’abuser de ces femelles qui vous seront toutes dévouées, je puis Vous l’assurer »...

La Femme avait saisi fermement la queue de cheval d’E04MSE et l’avait forcée à se relever, mais tout en restant inclinée, dans une attitude de totale déférence... Trempant son majeur dans la confiture d’abricot qui garnissait encore son assiette, La Dame l’offrait ensuite à lécher à l’esclave qui s’appliquait à prendre en bouche ce doigt fin qui s’insinuait entre ses lèvres, sur sa langue... répétant encore et encore ce geste, avec un, deux, trois doigts...

De son côté, L’Epoux ne se lassait pas de flatter la croupe d’E75MSE, faisant glisser ses doigts le long de la raie, insinuant doucement Son majeur enduit de beurre dans l’anus de la belle soumise appliquée à demeurer impassible tandis que L’invité de son Maître s’amusait à lui beurrer la rosette et à effectuer un lent va-et-vient dans son fondement.

Sir Evans et David voyaient avec satisfaction à quel point les deux esclaves femelles étaient appréciées par Ce Couple qui venait passer la fin de semaine au château afin de découvrir les méthodes et principes du Maître des lieux avant de prendre eux même en charge l’éducation d’un couple d’esclaves qui s’était offert à Eux...
C’est dans une ambiance fort amicale que se poursuivit encore un moment ce petit déjeuner, E75MSE avait retrouvé sa place, agenouillée aux pieds de Maître Sir Evans, qui pétrissait nonchalamment ses seins menus mais fermes, s’amusant parfois à presser durement les tétons déjà durcis par la pince qui les érigeait depuis plus d’une heure.
Quant à E04MSE, elle demeurait au côté de La Dame qui appréciait tant sa présence docile... La Dame saisissait entre ses doigts de petits bouts de nourriture et donnait la becquée à l’esclave qui prenait délicatement les miettes entre ses lèvres, léchant lorsqu’Elle en émettait le désir le bout des doigts de La Dame qui parfois glissait aussi ses doigts dans la fente d’E04MSE afin de parfumer les mets qu’Elle lui accordait parcimonieusement.

...

Dans son cachot chez Le Comte, E46MSE avait été réveillée en sursaut. Un serviteur était venu enlever les chaînes qui l’entravaient et l’avait entraînée sans ménagement, la tirant brutalement par la laisse qui était reliée à son collier.

A sa taille ne tintaient plus que deux grelots, symboles des diverses épreuves qu’elle avait du affronter afin de satisfaire les vices les plus inavouables Du Comte. Seule la pensée de son vénéré Maître Sir Evans avait permis à l’esclave de tenir face aux exigences toujours plus avilissantes de Celui auquel elle appartenait jusqu’à la semaine suivante, afin d’agir comme le meilleur cadeau d’anniversaire qui soit.

Au fil des jours, au fil des humiliations et des tortures, E46MSE était épuisée, apeurée à l’idée des idées si perverses Du Comte. Ce n’était pas tant les épreuves en elles même que l’attitude Du Comte qui cherchait moins à assouvir Son Plaisir qu’à avilir celle qui Lui avait été livrée. La façon dont elle avait répondu à Ses exigences, dont elle avait su combler démontrait l’extrême qualité du dressage qu’E46MSE avait reçu chez Le Marquis d’Evans. Et Le Comte, tout en demeurant un fidèle Ami, ne pouvait écarter de ses pensées une petite forme de jalousie dont il se défoulait sur la femelle...

Cette fois, E46MSE fut installée à califourchon sur un tréteau... Elle devait se maintenir sur la pointe des pieds pour éviter que ses chairs les plus intimes et fragiles ne subissent le rude contact avec l’arête acérée de la barre centrale. On lui avait ordonné de joindre ses mains sur sa nuque et de rester ainsi, bien droite, les seins saillants, la vulve déjà irritée au contact du bois. On la laissa ainsi un fort long moment... Si long que la position devenait difficile à tenir. E46MSE sentait ses muscles qui se tétanisaient, son corps tremblait légèrement sous la tension qui le gagnait. elle avait de plus en plus de difficultés à rester sur la pointe des pieds et, au moindre relâchement, la vulve entrait en contact douloureux avec l’arête de bois la forçant à se hisser à nouveau sur la pointe des orteils...
De la transpiration commençait à s’écouler le long de son échine et sur son visage, car dans cette pièce minuscule qui sentait le moisi, il faisait de plus en plus chaud. Finalement, elle entendit une porte grincer et des pas qui se rapprochaient. Le Comte était là, il était nu, ne portant que de lourdes bottes de cuir noir ciré, exhibant un sexe tendu à l’extrême. Elle n’ignorait pas que les pièces de Sa demeure étaient percées de trous invisibles par lesquels il pouvait, à l’insu de tous, observer tout ce qu’Il voulait. il avait dû suivre attentivement l’évolution de son état, ses difficultés, la souffrance des muscles endoloris qui la faisait un peu grimacer...

A la main, Le Comte tenait une cravache noire... Il s’approche de la femelle exhibée et tourna autour du tréteau sur lequel elle était tourmentée. Il la regardait de Ses yeux perçants, approchait parfois la cravache afin d’effleurer son corps offert sans défense... Le bout de la cravache venait parfois effleurer la pointe des seins, la peau fine d’E46MSE dont la crainte qui montait en elle rendait un peu plus tremblants encore tous les membres.

L’esclave n’eut guère plus le temps de s’inquiéter car, soudainement, la cravache s’abattit violemment sur sa croupe, la faisant se cabrer et la vulve frottant désagréablement sur le bois brut du tréteau. LIRE LA SUITE

LE CHATEAU DU MARQUIS D’EVANS

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