La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode 01)

1- Le journaliste
mardi 24 juillet 2012
par  Marquis d’Evans
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Je m’appelle Philippe et je suis journaliste d’investigation. A la demande de mon rédacteur en chef, j’avais entrepris une enquête approfondie dans les milieux si méconnus des adeptes de la Domination et de la soumission, du S/m, du bondage, du BDSM, etc.

Après le passage obligé des boutiques et des sites internet, j’avais réussi à obtenir un rendez-vous avec Celui qui apparaissait pour beaucoup de mes interlocuteurs comme Une Référence en la matière. Je me souviens, c’était lors d’un chat avec une Maîtresse : « essaie de contacter Sir Evans, avec Lui tu apprendras beaucoup », m’avait-elle affirmé.

J’avais alors erré quelque temps sur le net, jusqu’à tomber enfin sur un site où figurait ce pseudo. Nous avions échangé quelques phrases et Sir Evans avait finalement consenti à me recevoir. Il m’avait dit d’être le vendredi à midi sur la place du village de St- XXXXXX et d’attendre, qu’il se chargeait d’organiser la suite.

Au jour dit, je me rendis donc au lieu de rendez-vous. Il faisait gris et froid, une légère brise me glaçait les os. J’étais seul sur la place avec ma Clio noire portant le logo bleu et vert de mon journal. Impossible de me rater pensais-je, appuyé sur le capot et fumant une énième cigarette. Je trouvais le temps long...

Finalement, vers la demie, je vis un lourd 4X4 qui roulait au ralenti vers la place. Je me redressais un peu et jetais mon mégot vers le caniveau. Une étrange sensation m’habitait... j’avais beaucoup discuté avec des adeptes du Divin Marquis lors de mon enquête, mais je n’avais encore jamais rencontré l’un d’eux. J’imaginais des choses assez glauques ou violentes, riche seulement de quelques références littéraires ou cinématographiques.
Le 4X4 s’arrêta face à moi... j’attendais, immobile. Pendant de longues minutes, rien ne se passa. Je tapais des pieds sur le sol pour me réchauffer et commençais à m’impatienter. Enfin, les portières du véhicule s’ouvrirent. Deux hommes à la forte carrure en sortirent et s’approchèrent. L’un d’eux s’arrêta à quelque distance, tandis que l’autre venait jusqu’à moi : « T’es le journaliste ? » ... « Oui » répondis-je « je commençais à me demander si c’était un canular ! ».

Mon ton un peu sec ne provoqua aucune réaction sur le visage massif de cet homme à la carrure impressionnante : « Suivez-moi » dit-il, reprenant le chemin du 4X4, je lui emboitais le pas alors qu’un léger crachin commençait à tomber. Celui qui était resté en retrait s’interposa alors :

« Veuillez me donner les clefs de votre voiture, je m’en charge » me dit-il d’un ton qui, allié à une carrure tout aussi compact(e que celle de son compère, n’admettait pas vraiment de réplique. je donnai donc mes clefs et allai jusqu’au 4X4.

Je m’installai sur le siège du passager, découvrant la présence d’un troisième homme à l’intérieur. Celui qui m’avait accueilli était déjà installé au volant. C’est lui qui m’expliqua la règle du jeu : « On tient à la discrétion... C’est pour ça que je vous conduis et qu’y faut la cagoule »... « La cagoule ? » je m’étonnai. L’homme assis à l’arrière tendit alors le bras, tenant une cagoule de soie noire. « Excusez nous hein, Le Maître y tient », dit-il tout en passant déjà le fin tissus sur ma tête. « Je comprends » répondis-je, plus conciliant par la parole que par l’esprit, un peu angoissé quand même par ces manières de conspirateurs.

Le 4X4 démarra en douceur et commença alors un trajet dont j’ignorais totalement la destination. D’abord mené sur une route asphaltée, je sentis soudain un ralentissement, puis quelques cahots, alors que le véhicule s’engageait sur un chemin de forêt. Il fallut environ une demi-heure pour que nous parvenions à destination. Les deux hommes m’aidèrent à m’extraire du 4X4 et me guidèrent avec fermeté... A l’issue de quelques mètres sur un sol spongieux, je sentis enfin une dalle de pierre sous mes pieds... le grincement d’une lourde porte et soudain le parfum de l’intérieur...

La cagoule me fut ôtée et je découvris un vaste hall dallé, s’ouvrant sur plusieurs portes fermées, et au centre un grand escalier de bois menant vers des étages. Un majordome (je sus plus tard qu’il se prénommait Walter) à l’air sévère se tenait très droit face à moi et ma salua d’un bref hochement de tête : « Le Maître vous attend, veuillez me suivre »... il tourna alors les talons et se dirigea vers l’une des portes au fond du hall, je me hâtai de le suivre...

Le majordome ouvrit la porte et s’effaça afin de me céder le passage. j’avançais dans une vaste pièce aux murs de pierre recouverts de riches tapisseries anciennes présentant d’étranges scènes antiques, présentant des hommes et des femmes nus, enchaînés, exhibés sur des marchés aux esclaves ou offerts aux sévices et plaisirs de Leurs Maîtres(ses) vêtus à l’Antique. De hautes colonnes flanquaient chaque côté de la grande pièce éclairée par des fenêtres placées très haut et n’offrant pas de vue sur l’extérieur... Au fond, au centre, une sorte de trône en bois ouvragé sur lequel était installé Un Homme qui me fixait ; j’eus un bref instant de doute lorsque je vis... Et pourtant c’était la réalité... A Ses Pieds, nues, seulement vêtues d’un épais collier d’acier enserrant leur cou, deux femmes nues étaient alanguies, une fine chaîne partant de leur collier à chacune pour être fixées aux accoudoirs du trône.

L’Homme tendit la main et fit un léger geste pour me signifier que je pouvais approcher, flanqué du majordome qui marchait à mes côtés. Arrivé à environ deux mètres du trône, le majordome tendit la main pour me saisir le poignet ; « ici c’est bien » me glissa-t-il dans un souffle. Je m’arrêtai... Quelques secondes de silence... Puis la voix de l’Homme du trône retentit, claire, distincte, élégante. Sans avoir besoin de se forcer, elle retentissait dans ce vaste espace : « Bienvenue dans mon domaine », dit-il. Je bredouillai un « bonjour et merci d’avoir accepté de me recevoir » plutôt piteux, assez impressionné par l’ambiance et par cet homme qui n’hésitait pas à me recevoir avec ces deux femmes réduites à l’état d’animaux de compagnie qui se tenaient docilement à ses pieds.
Le majordome avança d’un pas : « je vous présente Sir Evans, Maître de céans..., Maître, voici Philippe Damier, le journaliste qui avait sollicité une entrevue ». Puis il se retira et le silence retomba... Mal à l’aise, je sortis maladroitement un carnet un stylo de ma poche « euh... je... cela ne vous dérange pas si je prends des notes ? »... Un sourire se dessinant sur ses lèvres, Sir Evans eut un geste élégant de la main « mais je vous en prie, notez mon cher, notez... Je suis sur que vous avez beaucoup à apprendre ici »... « Je... euh, merci Sir, ... merci »

Sir Evans se leva alors, d’un geste il saisit les bouts des deux chaînes et s’en servit de laisse pour entraîner à sa suite les deux femmes nues qui le suivirent docilement, faisant évoluer leur corps à quatre pattes avec une grâce féline. Sir Evans s’approcha de moi et j’eus du mal à soutenir son regard... Sa seule présence marquait l’évidence de Sa Nature Dominante.
Il commença à arpenter la pièce, menant à sa suite les deux femmes qui le suivaient pas à pas, évoluant sans difficulté à quatre pattes au rythme imposé par leur Maître. Tout en accompagnant cette promenade circulaire à travers la grande pièce, j’interrogeai Sir Evans sur sa notion de la Domination, sur ses expériences, ses principes... Il répondait avec clarté, sincérité, ponctuant ses propos d’anecdotes et de récits variés. Fréquemment il tournait son regard vers moi afin de ponctuer une phrase ou un récit ; invariablement, je me sentais rougir légèrement et je baissai instinctivement les yeux. Je ne parvenais pas à me maîtriser totalement, moi qui étais pourtant habitué à interroger de hauts dirigeants économiques ou politiques, je me sentais soudain « tout petit ». Et malgré mes efforts pour qu’il n’en paraisse rien, je n’étais vraiment pas sur d’y parvenir...

L’entretien dura près de deux heures. Et tout au long de ces échanges, les deux femmes suivirent le rythme de nos pas, sans jamais gêner nos évolutions, sans jamais se plaindre. Sir Evans devina que je m’interrogeai et précéda ma question : « Ce sont deux de mes esclaves... deux bonnes chiennes qui ont déjà été longuement dressées. Elles sont ici pour quelques semaines et agrémentent mes journées... Ainsi que les soirées que je donne parfois dans la salle à manger du château, pour quelques amis triés sur le volet ».

Je ne parvins qu’à hocher la tête et ne pu m’empêcher de jeter un regard sur ces deux femmes, qui se tenaient parfaitement immobiles, à quatre pattes, les reins légèrement creusés, la croupe un peu relevée... comme prêtes à être saillies à tout instant. Mon regard s’attarda sans doute plus que je ne le voulais car j’entendis soudain la voix de Sir Evans...

« Manifestement elles vous intéressent... Voudriez-vous en essayer une ? Je pensais vous offrir l’hospitalité pour la nuit et l’une de ces chiennes aurait pu agrémenter votre séjour, après tout l’expérimentation enrichit toujours le simple témoignage, ne croyez vous pas ? ».

La proposition avait été faite d’une voix mesurée, calme... même s’il me semblait y avoir peut-être décelé un zeste d’ironie. Je bredouillais... « Euh, c’est à dire... (Je me sentis rougir !) Je dois... rentrer ce soir, je ne peux pas... merci mais, non vraiment »... Sir Evans laissa un instant peser son regard sur moi et je ressentis une gêne comme je n’en avais jamais connu. « A votre guise », dit-il, « je vais vous faire raccompagner ».
Dehors, la bruine du matin s’était transformée en une pluie fine mais persistante... Devant le perron du château, ma voiture professionnelle était garée. Le majordome m’en tendit les clefs que je saisis. Je descendis les grands escaliers extérieurs et trouvai refuge dans la Clio. Je restai ainsi immobile quelques minutes, essayant de remettre un peu d’ordre dans mes idées. J’avais été extrêmement troublé par cette journée et par cette rencontre avec Sir Evans. Une foule de pensées se bousculaient dans mon esprit. Je revoyais les tapisseries avec leurs scènes d’esclavage antique, les deux femmes-chiennes si excitantes au bout de la laisse de Sir Evans... excitantes, oui, indéniablement. Mais ce qui me troublait plus encore, c’est que j’avais du mal à définir ce qui m’avait le plus excité dans cette vision : était-ce de les voir ainsi traitées comme des chiennes ? Était-ce plutôt leur situation ? Je n’avais pas pu m’empêcher, un instant de me demander ce qu’elles ressentaient, ce que l’on ressentait dans une telle situation, à être ainsi avili, rabaissé au rang d’un animal de compagnie... nié dans la dignité d’être humain libre... et cela aussi m’excitait.

Brusquement, n’y tenant plus, je démarrais dans un crissement de pneus. Je voulais partir, m’éloigner... Etre loin de ce château, de son Seigneur à la séduction si ambigüe, que je trouvais perverse... je ne me l’avouais pas, mais je fuyais, sans trop savoir quoi, je fuyais... Je roulais sans doute un peu trop vite sur le chemin de forêt qui ceinturait l’enceinte du Château. Je sentais mes pneus se dérober légèrement à chaque virage, mais je ne levais pas le pied ? Je voulais être loin. Mais soudain, un coup de volant un peu trop brusque ? Je sentis la voiture échapper à mon contrôle sur le sol boueux. Elle partit en un dérapage que j’étais bien loin de contrôler et alla se ficher dans le bas-côté, heurtant au passage une souche avec laquelle le choc fut violent.

La Clio immobilisée, je restais un moment immobile au volant... j’enrageais ! Je voulais m’éloigner et voilà que j’étais bloqué comme un fieffé imbécile ! Je m’en voulais. Je sortis pour constater les dégâts, l’aile était bien endommagée, mais la direction ne semblait pas avoir souffert. Je pourrai peut-être dégager la roue et repartir. Sous la pluie, je m’affairai pendant un temps infini, sans résultat. Plusieurs fois, de rage, je donnai un coup de pied dans la voiture immobile, devenue si stupidement inutile ! Je commençais à désespérer, assis sur le capot, la tête entre les mains, lorsque j’entendis un bruit de moteur lointain... Je me redressai et vis au loin le 4X4 qui m’avait pris en charge à mon arrivée. Il approchait et s’arrêta à ma hauteur.

Les deux colosses qui m’avaient accompagné à l’aller sortirent et j’allai vers eux... « Vous ne pouvez pas savoir combien je suis content de vous voir », dis-je avec un sourire. Ils ne m’accordèrent même pas un regard, allèrent jusqu’à ma voiture et l’examinèrent. Echangeant un regard entendu, ils hochèrent la tête d’un même mouvement : « L’est foutue, pourrez pas rentrer avec », dit l’un d’eux sans même m’accorder un regard. « Vous êtes sur ? » « Ben oui... C’est la direction qu’à morflé... Va falloir réparer, ça prend du temps », dit-il encore, ajoutant : « Z »auriez mieux fait d’accepter l’hospitalité du Maître« ... j’étais furieux... »J’aurai surtout mieux fait de ne pas venir dans ce bled pourri !« criais-je en tapant du pied sur le sol boueux, ne parvenant qu’à salir un peu plus le bas de mon pantalon... »C’est pas gentil de dire ça, le Maître a été très accueillant. C’est pas une façon de le remercier« , me lança un des deux colosses. Son ton lent et neutre m’énerva encore plus : »Oui ! Très accueillant, avec des femmes en laisse !« j’allais continuer lorsque la brusquerie de mon mouvement me fit perdre l’équilibre et chuter dans la boue. J’allai me relever lorsque je sentis un poids soudain peser sur mes épaules... je forçais, en m’appuyant sur mes deux mains, sans succès...le poids se faisait encore plus pesant sur mes épaules... je compris que l’un des deux hommes appuyait sa chaussure sur moi, me maintenant dans la boue... Il appuyait plus encore et mon visage s’enfonçait dangereusement dans la trainée d’eau boueuse qui noyait le chemin. L’autre s’accroupit et se pencha à mon oreille : »C’est pas bien de parler comme ça du Maître« ... Tandis que le pied de l’autre me maintenait au sol, le second saisit mes cheveux et écrasa mon visage dans la boue, la maintenant ainsi jusqu’à ce que cherchant ma respiration, je finisse par sentir la boue entrer dans ma bouche et mes narines. Puis il releva ma tête... »Il faut s’excuser maintenant".

J’avais peur... très peur... « Je demande pardon (je toussai et crachai de la boue) je suis désolé, j’étais énervé... je n’aurai pas du »... Malgré ces mots, l’homme repoussa à nouveau mon visage dans la boue de longues secondes avant de me tirer par les cheveux pour me permettre de respirer : « Encore, mieux... »... je sentis le poids du pied dégager mes épaules et c’est en me tirant les cheveux que l’on me força à me relever : les deux colosses se tenaient face à moi... je n’osais ni bouger, ni parler... j’étais tétanisé de peur. « Il est pas très poli le journaliste », dit l’un à l’autre qui lui répondit : « Non, pas très... Va falloir qu’il apprenne »... « Oui, va falloir le dresser ». Je me tenais dos à mon véhicule accidenté. Je n’avais aucune échappatoire. De toute façon, je ne savais même pas par où aller pour rejoindre le village... « Écoutez, je suis désolé. J’étais énervé par l’accident, je ne voulais... » C’est une gifle qui vint m’interrompre. Puis je sentis des mains épaisses qui me saisissaient et me retournaient... Je n’osais pas avoir de réaction... paralysé par la criante, je me laissais faire, la situation me semblait irréelle... j’avais le ventre allongé sur le capot de ma voiture, un homme me tenait fermement les poignets tandis que l’autre dégrafait brutalement mon pantalon et le baissait sur mes chevilles.

Puis il arracha mon boxer et je sentais la pluie fine et régulière venant s’abattre sur mon cul nu... j’étais terrorisé... je tentais de supplier, mais je ne parvenais même pas à prononcer un mot audible. Par contre, je criai lorsque je sentis quelque chose de souple mais dur venir cingler violemment mes fesses... Une fois, deux fois... cinq fois je sentis cet objet me fouetter et à chaque fois je poussai un cri déchirant. Il y eut cinq coups encore et les sanglots se mêlaient aux cris... je tremblais de tout mon corps, la douleur, le froid, l’humiliation, la peur... je ne savais plus ce qui l’emportait en moi... j’avais le sentiment de flotter, ailleurs, je ne savais plus très bien où j’en étais lorsque les deux hommes me saisirent par les bras pour m’amener jusqu’à leur 4X4. Ils me jetèrent sur la banquette arrière tandis que je sanglotais, s’installèrent à l’avant et démarrèrent...
Quelques minutes plus tard, le 4X4 s’immobilisait et je fus sorti de force... Sans ménagement, les deux hommes me mirent debout et arrachèrent mes vêtements... je tentai de supplier une fois, mais une nouvelle gifle vint rougir ma joue et j’abandonnai toute velléité de résistance. Je me retrouvai nu sous la pluie battante, les pieds dans la boue, mes vêtements jetés sur le sol comme un vulgaire tas de linge inutile. Je me recroquevillai et tentai de cacher mon sexe en joignant les mains devant. Les deux brutes émirent un rire gras : « Voyez donc ça ! ! Ça fait des manières, ça veut se cacher »... Ils éclatèrent de rire... L’un d’eux s’approcha et leva la main, au bout il tenait une sorte de badine et il l’abattit, cinglant ma cuisses... « Mets tes mains dans ton dos, salope ! »

Comme je n’obéissais pas assez vite, un second coup tomba... je poussai un petit cri aigu qui ne manqua pas de faire bien rire mes deux tourmenteurs. et j’obéissais, joignant mes mains dans le dos... les deux homes s’approchèrent alors et je sentis une corde venir lier mes mains, puis ils s’amusèrent à me bousculer, me poussant de l’un vers l’autre, comme une sorte de ballon, ou de poupée de chiffon... je pleurai et mes larmes se mêlaient à la pluie battante qui s’abattait sur mon corps nu et meurtri. Je remarquai soudain que nous étions à l’arrière du Château, près d’une petite porte de service. Celle-ci s’ouvrir justement et je vis une femme habillée simplement sortir en s’essuyant les mains à un torchon. « Eh bien ! ? Vous voulez qu’il attrape la mort ou quoi ? Allez, assez joué, ramenez moi ça à l’intérieur ! » lança-t-elle à l’adresse des deux colosses qui me poussèrent alors vers la porte... j’entrai pour la deuxième fois dans le château de Sur Evans, mais cette deuxième expérience n’avait pas vraiment le même goût que la première. Nu, entravé, la croupe meurtrie par les coups, tremblant de froid, je franchissais le seuil d’un monde nouveau que j’allais apprendre à découvrir...LIRE LA SUITE

Les 30 premiers épisodes de cette saga (qui en compte 120) sont d’ores et déjà disponibles pour les abonnés de RdF

LE CHATEAU DU MARQUIS D’EVANS




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Commentaires

Logo de Iris
lundi 30 juillet 2012 à 11h20 - par  Iris

Très bien j adore

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vendredi 27 juillet 2012 à 15h49 - par  Iris

Un récit... Attirant.

mercredi 25 juillet 2012 à 17h43

J’ai ressenti ce récit comme si je le vivais

ladecs

Logo de Henic
mercredi 25 juillet 2012 à 06h48 - par  Henic

Hormis le fait de laisser partir au volant de sa voiture quelqu’un qu’on a soigneusement empêché de voir où il se rendait lors du trajet aller, ce récit commence bien...