Des Mots et des Maux

Par Brocéliande
lundi 20 février 2012
par  Jeanne Franval
popularité : 1%
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BIENVENUE

En ce lieu où se mêlent féérie, plaisir et douleur au détour d’une branche... Venez faire danser les mots à demi-maux...

Je vous invite à me suivre dans ce val sans retour, cette vallée encaissée, Contrastée par les marques de douleur et de plaisir,
Celles creusées dans les chairs, celles même qui vous imprègnent au
plus profond,
Celles qui même invisibles scellent à tout jamais votre appartenance.

Espace de légende qu’est Brocéliande, sans jamais rompre l’enchantement des maux, sans échapper au sortilège des mots, pour enfin connaître la délivrance...

Osez pénétrer dans cette forêt magique !

(1) Mise en valeur

Tirée par la chaîne fixée aux anneaux de son sexe imberbe, l’homme oblige la femme à monter sur la table et se mettre en position d’exposition. La voici en levrette, tête au sol, cuisses écartées, bien ouverte. Elle est à bonne hauteur pour profiter de toutes les parties de son corps.

Elle porte un collier et des bracelets en cuir enserrent ses poignets et ses chevilles. Du bout de sa badine il tapote sa croupe, signe qu’elle doit rester parfaitement immobile. Il observe sa vulve attentivement, elle perle de manière indécente, elle « tète »... « Demande »...

Il malaxe sa croupe, ses mamelles, tire sévèrement sur les tétons, les étire avant d’y refermer des pinces. Il y accroche des poids, les globes se déforment, tirés vers le bas par la lourdeur et ressemblent à des poires.

Puis il déploie les lèvres intimes, le sexe devient obscène, déployé totalement. Il étire le clitoris, le décalotte en le tortillant. Il leste les anneaux des nymphes, elles sont voluptueusement et violement étirées et pendouillent à l’entrée du sanctuaire de plaisir.

Instinctivement elle écarte davantage les cuisses, elle accueille les prémices de douleur, sa chatte éperdument ouverte palpite comme une carpe, les disques suspendus tintent doucement avec éloquence.

Les lanières du martinet s’abattent sur les chairs frémissantes, lèchent dos, cul et cuisses, la marquent de stries rouges bien nettes. Elle sursaute sous le rythme des frappes, ondule de complaisance lorsque le cuir cinglant fait place à la main, elle accompagne chaque impact, chaque caresse sous le son des sonnailles et offre davantage ses dispositions animales.

Les cinglées se montrent plus intenses, elle râle, frotte ses mamelles, elle se cambre et son sexe s’offre comme un calice. Elle est sauvage, sans aucune retenue, indécente. Sa vulve bave, les coups sont espacés et lui arrachent de doux gémissements.

Il glisse sa main sur la fente débordante de toutes ses saveurs, pianote et introduit ses doigts dans la mouvance de sa grotte alors que de son autre main les ultimes frappes continuent de pleuvoir en harmonie avec le bruit obscène du clapotis de son ventre en émoi. Son sexe nacré est un livre ouvert, le nodule de chair est érigé, la vulve est en quête de plaisir. Il plonge ses doigts puis sa main dans ce calice, se délecte à la source, s’enfonce au plus profond de son intimité pleine de promesse.

Il retire sa paume de l’antre chaude, ancre deux doigts dans l’anus tout en branlant le bourgeon et le met en extase. La chatte dégouline, le nodule de chair bande, la femme frétille et jouit copieusement régalée.

Des mouvements désordonnées la secouent et activent les étirements douloureux des poids suspendus et telle une bête elle s’abandonne dans cette posture animale au plaisir qui la submerge.

(2) Entraînement

Les poignets et chevilles enserrés dans un bracelet en cuir, la femelle est allongée sur la table de travail, ses membres sont étirés en croix afin de permettre que le compas de ses cuisses soit parfaitement ouvert et à portée de son entraîneur. Une chaîne est passée dans les anneaux de ses lèvres intimes afin d’écarter ces dernières pour avoir un accès plus aisé à son abricot gonflé, que nulle toison ne protège.

L’homme commence par flageller son élève et le martinet s’abat sur le corps en extension. Il veut que ses chairs soient très sensibles et que les frappes régulières la fassent mouiller. Le corps de l’élève tressaille sous les cinglées, rougit et se couvrent de stries régulières. Les seins gonflent et les tétons s’érigent fièrement. Les lanières du martinet continuent de s’abattre jusqu’à ce que l’homme juge la couleur de la peau correcte.

Il étire alors les tétons de la poitrine devenue pourpre, la femelle sous la douleur gonfle son torse. L’homme place un tire-lait sur les aréoles et aspire les bouts qui emplissent rapidement les tubes en verre. Il tire sur le piston, les élongations successives entraînent une souffrance dans toute la poitrine, faisant gonfler et crisper le torse de l’élève. Il veut que ses tétons deviennent plus gros et longs.

Le bruit de succion le ravit ainsi que la vue des tétons qui ont désormais doublé de volume. Une fois les embouts retirés, il peut profiter au mieux des nouvelles dimensions des bouts.

Après avoir orné les mamelles de pinces colorées il s’attaque aux bouts. Muni d’une pince il les étire et y place une pince à clochette. Il s’attaque ensuite au clitoris qui subit le même traitement. Il étire à l’aide du piston le petit organe, la torture répétée des étirements fait gémir l’élève. Elle se tord dans ses liens, essaie un mouvement de fuite en vain. Le bourgeon libéré du tube en verre est en pleine érection, l’homme le maintient par une pince pour conserver cette nouvelle « extension » du clitoris.

Il fouille ensuite la matrice de son élève et félicite cette dernière pour son état de liquéfaction.

— C’est ainsi que vous devez être en permanence, bien ouverte, bien lubrifiée et tous vos organes développés. Si je devais constater que mes exercices et traitements ne donnent pas le résultat voulu, vous seriez punie et le travail serait doublé. Je considérerais que vous faites de la résistance. Votre corps doit devenir un parfait terrain de jeu ainsi qu’un objet pour me divertir !

Puis il écarte fente et anus afin d’investir sans ménagement les orifices à sa portée. Il la pilonne pour qu’elle soit bien ouverte et disponible. Il la travaille avec ses doigts, enfonce au plus loin en elle doigts, main, divers objets, il la fouille au plus profond afin qu’elle comprenne qu’il la possède et qu’elle n’est qu’une chose réactive.

Son élève sous les investigations et tortures oscillent entre plaisir et douleur, ses cris et gémissements ravissent son Dresseur qui satisfait lui accorde une jouissance.

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