Le marché

jeudi 16 février 2012
par  Fatum
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Enfin, j’arrivais à mes fins. Robert était là devant moi, l’air inquiet, taraudé par ses soucis financiers. A ses côtés se tenait sa femme Elisa, l’air toujours aussi sévère. Mais visiblement elle aussi était soucieuse et se demandait pourquoi je l’avais convoquée avec son mari.

L’affaire était simple. J’avais financièrement aidé Robert, un très ancien client, à monter une société. La crise était passée par là et pour survivre il lui fallait impérativement trouver un ballon d’oxygène. C’était pour cela qu’il m’avait téléphoné d’urgence. Je sautai sur l’occasion pour obtenir ce que depuis longtemps je convoitais. Au cours de plusieurs sorties en commun au cours des mois précédents, j’avais dragué Elisa qui vertement m’avait rabroué d’un air dédaigneux. Il faut dire qu’elle attirait tous les regards. Une taille élancée, de longs cheveux noirs encadrant un beau visage, des yeux marron, une voix sensuelle. Elle avait tous les atouts pour elle, et elle m’avait rejeté sans pitié, comme un malpropre. Maintenant, je tenais ma revanche. Robert, et j’en détenais les preuves, avait commis de sérieuses fraudes fiscales. Si sa société venait à disparaître, le fisc lui tomberait sur le dos. En fait, il courait le risque de se voir condamné à de la prison, et le savait fort bien. Sa femme était au courant de la situation, et s’inquiétait à juste titre pour son avenir Que deviendrait-elle avec un mari emprisonné, elle qui n’avait jamais travaillé et ne pouvait présenter aucune référence. Pire encore, Robert l’avait mêlée à ses affaires, et elle encourait donc les mêmes risques que son mari.

Pour ma part, ayant hérité de mes parents une très grosse fortune, je plaçai à droite et à gauche mon argent moyennant de solides garanties. J’avais fait confiance à Robert que je connaissais depuis l’école, et m’en trouvais mal récompensé Mais en fait, je n’étais pas malheureux de ce qui se passait. Je tenais Robert et comptais bien au moyen d’un chantage arriver à mes fins : posséder Elisa. Je proposai alors à mon débiteur un nouveau prêt lui garantissant la possibilité de remonter le courant. En contrepartie, il devrait mettre à ma disposition durant trois mois son épouse. Quand il entendit mon offre, il rougit, esquissa un signe de refus. Je lui signalai alors que s’il n’acceptait pas le jour même je transmettrais à la justice un dossier expliquant ses malversations, et qu’il risquait une mise en garde à vue immédiate. Elisa, stupéfaite, me regardait comme si elle me voyait pour la première fois. Elle comprenait que je serais impitoyable. Robert, ne sachant trop que faire, semblait mendier son approbation. J’insistai sans vergogne « Lis le présent projet d’accord entre nous. Dès ta signature, je mettrai à ta disposition une somme d’un demi-million d’euros te tirant d’affaire. En contrepartie, Elisa sera mise à mon entière disposition durant trois mois. Par la suite, et durant tout le temps que le prêt n’aura pas été remboursé, elle devra se présenter chez moi, un week-end sur deux, du vendredi midi au lundi midi. Elle sera soumise à ma volonté, et devra accepter tout ce que j’exigerai d’elle, quoi qu’il lui en coûte. J’ajoute une dernière condition d’importance : l’offre n’est valable que jusque seize heures. Passé ce délai, je t’abandonnerai à ton sort. Mais si elle et toi signez, Elisa dépendra immédiatement de moi, et tu devras quitter seul mes bureaux. ».

Elisa se tourna alors vers son mari « Je crois que nous n’avons pas le choix. Pour ma part, je me résigne à accepter ce qu’on me demande, et suis prête à signer .Il n’existe d’ailleurs aucune autre solution ! » Robert l’embrassa alors, et apposa sa signature sur le document que je lui présentais. J’appelai ma secrétaire Cora pour faire une copie du document, destinée à Robert, et remis à ce dernier un chèque certifié. Hésitant sur la marche à suivre, il se dirigea vers sa femme. Je l’arrêtai. « Embrasse- la, car durant trois mois, tu n’auras plus l’occasion de le faire. Cora te donnera par mail toutes les informations voulues. Elisa aura le droit de te téléphoner une fois par semaine, durant un quart d’heure. Pour le reste … » Après avoir donné à sa femme un dernier baiser, Robert me salua et quitta la pièce. Je triomphais. La comédie avait bien fonctionné. J’avais appris que depuis quelque temps Robert avait une maîtresse et étais parvenu à obtenir par un détective privé des photos plus que compromettantes. Je lui avais alors mis le marché en main : j’étais prêt à lui acheter Elisa pour une grosse somme d’argent. Je ne lui cachai pas que je m’étais épris de sa femme et que celle-ci m’avait plusieurs fois rabroué. Il ne s’en étonna pas. Ses relations avec sa femme s’étaient depuis longtemps détériorées. Elle semblait tenir à lui, mais le soumettait à la portion congrue, refusant toute autre forme de relation qu’une relation sexuelle classique. C’est pourquoi peu à peu il s’en était détourné. Il accepta donc mon offre, et marqua son accord pour devant Elisa jouer la petite comédie que j’avais préparée .Il savait très bien qu’il ne reverrait jamais son épouse dont plus tard il divorcerait, et que j’étais décidé pour ma part à immédiatement envoyer Elisa dans un centre de formation pour femmes où on en ferait rapidement une parfaite soumise. Elisa m’appartenait désormais. Je savais bien sûr que ce ne serait pas aisé, mais j’étais bien décidé à briser sa résistance qui je le savais serait difficile à vaincre. Je commençai d’ailleurs immédiatement son dressage. Cora était revenue après avoir fermé les portes. Cette fille, qui depuis quelques années était ma secrétaire, avait quelques années auparavant été ma soumise et se réjouissait de ce qui se passait .Elle était en fait bisexuelle, mais sa préférence allait nettement au sexe féminin. Elle savait très bien qu’elle participerait au dressage de mon acquisition, et s’en réjouissait par avance. Je lui avais expliqué ce que je voulais, et elle entra immédiatement dans le jeu.

—  Voyons un peu en détail ce que je viens d’acheter. Fais se déshabiller Elisa que je puisse l’examiner en détail !

Cora s’approcha de la jeune femme qui hébétée se laissa faire. Quand elle n’eut plus sur elle que son slip et son soutien- gorge, Elisa tenta de se rebeller. Elle reçut de Cora une gifle cinglante qui la fit s’exécuter. L’objet de ma convoitise était maintenant nue, face à moi, rouge de honte. Elle n’essaya même pas de se protéger de ses mains. Je m’approchai d’elle et lui saisit les seins que je pétris avec joie. Puis je descendis vers son sexe. Elle avait une toison noire, très touffue que je caressai doucement, sans même essayer de faire pénétrer un doigt dans sa fente. Puis, méchamment, pour ajouter encore au trouble d’Elisa, je dis à Cora de la faire se coucher sur le divan et de lui écarter les fesses pour me montrer son cul. Cora me fit remarquer qu’apparemment, elle n’avait jamais été prise par- là, tant le passage lui semblait étroit.

— Tant mieux, j’aurai au moins ce pucelage-là à prendre. Mais dis-moi, Cora ne veux-tu pas que notre amie te fasse une petite faveur ?

—  Bien sûr, j’allais vous le demander.

Et sans plus attendre, Cora remonta sa jupe, retira son string et alla se coucher sur le divan à côté d’Elisa. Elle écarta ses jambes et désignant sa chatte lui dit :

— Je veux que tu me fasses jouir, mon petit clitoris est en manque, et je compte sur ta langue pour le rassurer. Et si tu n’aimes pas cela, tant pis. Tu devras t’y faire et t’exécuter, sinon le fouet t’attend.

Maladroitement Elisa se mit à l’œuvre. Jamais elle n’avait eu de relation avec une femme, et c’est avec une répugnance non déguisée qu’elle dirigea sa langue sur le petit bourgeon de chair.

— Ne fais pas la dégoûtée, et fais-moi mouiller. Je veux jouir, et vite !

Je regardai la scène avec amusement .Cette femme coincée qui s’était refusée à moi était maintenant obligée et devant moi qui plus est à lécher le sexe d’une autre femme. Elle s’appliqua et finit par procurer à Cora un orgasme qui sembla rassasier ma secrétaire. J’arrêtai alors les frais.

—  Rentrons à ma villa, nous y serons plus à l’aise pour poursuivre l’examen. Il me faudra d’ailleurs donner à Elisa toutes les instructions voulues concernant son séjour chez nous. Cora, tu nous accompagneras, car j’aurai besoin de toi pour commencer le dressage de notre amie.

Outre mes bureaux, je disposais en ville d’un grand appartement, mais aussi à portée immédiate, en pleine campagne, d’une grosse villa blottie au fond d’un bois, et entourée de murs hauts et épais. C’est là que je comptais installer ma captive. Outre plusieurs chambres à coucher et un grand living, j’y disposais de tout le confort et dès sa construction y avais fait installer dans une grande cave tout un matériel de sadomasochisme qu’à plusieurs reprises j’avais déjà utilisé avec une ou l’autre de mes conquêtes, et que Cora connaissait parfaitement . Je laissais Elisa se rhabiller, puis nous partîmes pour la villa, Cora, Elisa et moi Le voyage se passa en silence. Arrivés sur place, je m’installai dans mon bureau, fis venir Elisa devant moi, et la fis se dévêtir à nouveau. Je commençai alors à lui donner mes instructions que Cora qui nous avait rejoints écoutait attentivement.

—  Voici l’endroit où tu vas passer les prochains mois. Tu y disposeras d’une chambre où tu seras attachée lorsque tu y passeras la nuit. Comme tu t’en doutes probablement, tu devras être nue en permanence. Dorénavant, tu m’appelleras maître et tu appelleras Cora maîtresse. Elle aura sur toi les mêmes droits que moi. Tu auras en ma présence les yeux baissés vers le sol, et jamais tu ne pourras m’adresser la parole, sauf si tu as une réponse à me donner. Tu pourras alors me regarder. A partir de demain, tu porteras au cou un collier à mon nom. Pour régler le problème de tes inhibitions , j’ai décidé de t’envoyer dans un centre où durant quelques semaines, quatre au minimum, tu participeras à un stage de formation .Demain matin, Cora et moi t’y conduirons Mais aujourd’hui déjà je vais maintenant te montrer ta chambre, où en présence de Cora je vais te faire découvrir la sodomie, que tu seras amenée à pratiquer intensivement dans les prochaines semaines.

Je fis alors monter Elisa dans sa chambre. A part un lit et une chaise, aucun meuble ne s’y trouvait. Les murs étaient couverts de grands miroirs et la fenêtre était protégée par de grands barreaux. Je fis se coucher Elisa sur le lit, demandai à Cora de lui placer des coussins sous le ventre afin de lui relever les fesses et lui tendant une tube de vaseline lui ordonnai de graisser l’anus de celle que j’allais sodomiser. Malicieusement, Cora fit traîner les choses, prenant plaisir à introduire plusieurs doigts dans la petite rosette, faisant ainsi gémir Elisa. Puis, quand elle me signala que tout était prêt, elle alla se placer à la tête du lit et écartant les jambes donna l’ordre à Elisa de lui lécher à nouveau le sexe. Pendant ce temps, après avoir écarté les jambes d’Elisa, j’avais présenté mon sexe bandé à la petite ouverture que j’allais défoncer et ordonné à ma victime de ne pas fermer les jambes. Je commençais à m’introduire en elle quand brusquement, elle referma les cuisses, m’empêchant de pénétrer son cul. Je lui claquai vigoureusement les fesses, plusieurs fois, provoquant chez elle une crise de larmes. Puis, je fis une nouvelle tentative, tout aussi inutile que la précédente. Je demandai alors l’aide de Cora et lui dit d’attacher chaque jambe d’Elisa à un pied du lit. Quand ce fut fait, je repris mon offensive, et peu à peu m’enfonçai dans l’étroit chemin. Celui-ci n’avait effectivement jamais été ouvert, et c’est avec peine que je forçai le passage. Le passage du deuxième sphincter provoqua un hurlement d’Elisa qui se mit alors à m’injurier copieusement. Cora me regardait, étonnée de voir comment je conservais mon calme. Mais elle savait déjà ce qui attendait Elisa que son attitude condamnait au stage annoncé. Je me mis alors à limer vigoureusement son rectum. Elle se plaignait de plus en plus, mais je ne tins aucun compte de ses cris et finalement parvins à éjaculer. Je me retirai alors et fis détacher Elisa. Je demandai à Cora de prendre sa place afin que je puisse la sodomiser. Elle accepta sans rechigner, car habituellement c’est de cette manière qu’elle se faisait prendre par les hommes ? Quand je me fus retiré d’elle, je vins me placer devant Elisa et lui commanda de se mettre à genoux devant moi. Elle obéit. Alors je lui désignai ma queue encore souillée et portant les traces de la sodomie en lui disant

—  Maintenant nettoie-la. Avec ta bouche !

—  Jamais de la vie, vous êtes fou. Je refuse catégoriquement.

—  Très bien, j’avais voulu te donner encore une chance. C’est fini maintenant. Mais tu as mérité une punition. Descendons à la cave !

Cora se saisit d’Elisa et la traîna en bas, dans la salle des punitions. Elle attacha Elisa à une colonne, ventre contre la pierre, et saisit une cravache. Elisa paniqua, se mit à nouveau à pleurer Mais je demeurai inflexible.

—  Vingt- cinq coups de cravache, et n’aie pas peur de la blesser
dis-je à ma secrétaire, qui profita de l’aubaine pour se défouler sur sa proie. LIRE LA SUITE

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Commentaires

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samedi 25 février 2012 à 07h47 - par  AngeM78

Très bon récit, bien écrit.