Les secrets de Victoria

Par Bogus
jeudi 5 mars 2009
par  Jeanne Franval
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5 votes

Première Partie
***

1.1 Tentation

Le docteur Victoria Denning était intelligente, belle, riche... et totalement dépravée. Mais elle ne partageait pas ses plaisirs pervers avec n’importe qui. Elle cachait ses plus sombres, ses plus secrets désirs à tous ceux qui formaient la crème de ses riches cocktails libéraux avec lesquels elle était associée. Elle préférait se servir de ces élites pompeuses et auto-désignées d’autres manières et employait sans vergogne son corps exquis à ses propres fins ou pour détourner l’attention de quiconque posait les mauvaises questions. Entre les appas de son corps et le bla-bla psychologique qu’elle pouvait si savamment déclamer, les imbéciles en tombaient amoureux. C’est ainsi qu’elle avait obtenu ce poste d’avocate et de psychiatre consultante pour le Parquet de Californie. C’était parfait. Elle pouvait rencontrer des personnes si perverses que même un Etat célèbre pour ses lunatiques devait les enfermer. C’était exactement ce qu’elle voulait. Ce qui l’intéressait le plus, c’étaient ceux qui jouissaient de torturer des femmes.

Il faut savoir que le Docteur Victoria Denning était une sadomasochiste enragée. La douleur l’excitait qu’elle la subît ou qu’elle l’infligeât. Elle aimait par-dessus tout infliger la douleur, spécialement lorsqu’il s’agissait d’un exercice en vue d’un traitement dépravé qu’elle aurait pu subir elle-même. La vue d’une autre femme se tordant de douleur faisait écumer sa chatte car elle s’imaginait à la place de la victime. La perspective d’être forcée à endurer les tortures ou les viols les plus pervers la provoquait et l’excitait. La meilleure part était de savoir que dans la réalité, subir de tels sévices était infiniment plus douloureux que dans un fantasme. Encore meilleur était le fait d’être pleinement consciente que tôt ou tard, à force de rêver de ces sévices, elle cèderait à la tentation de s’y abandonner. C’était nécessaire ; le fantasme serait resté sans effet s’il n’y avait pas eu la menace d’y succomber. Elle était si vicieuse qu’il y avait parfois de ces instants suprêmes ou son esprit pervers surmontait sa douleur et la transmuait en une extase glorieuse. De tels instants alimentaient son fantasme et rendaient la terrible et horrifique réalité inévitable.

Avec son travail venait le pouvoir d’accorder la liberté, liberté pour ces personnes qui aimait maltraiter les femmes. Ils formaient une part importante de ses fantasmes, de ses projets pour une réalité à venir.

Ses rapports d’entretiens étaient emplis de descriptions de femmes brutalement torturées par ses patients. Elle avait répertorié et catalogué une grande variété de tourments imaginatifs que lui confiaient l’esprit retors de ces gens. Bien qu’elle maintînt sa pose de professionnelle à l’écoute, elle orgasmait souvent durant les séances tandis qu’elle écoutait des récits détaillés de viol et de torture qui eussent horrifié la plupart des gens. Mais Victoria Denning n’était pas la plupart des gens. Elle se visualisait souvent entre les mains perverses de ses patients, forcée d’endurer les même supplices horribles qui avaient été perpétrés sur ces victimes anonymes, certaines ne faisant même pas l’objet d’un dossier si ce n’est comme personnes disparues. Le sort de certaines de ces disparues était réellement extrême, incluant mutilations et lentes agonies selon des manières si horrible que même Victoria préférait n’utiliser ces récits que comme fantasmes masturbatoires, même si ces fantasmes étaient réellement sombres.

Pourtant, certaines des techniques qu’elle cueillait dans ces confessions étaient d’une cruauté inspirée et Victoria était parfois tentée de les essayer. Elle avait un endroit où elle pouvait mener à bien en privé de telles expériences. Ce n’était pas un endroit que ses collègues auraient souhaité visiter bien que Vicky fantasmât à ce sujet également ; elle était certaine qu’elle pourrait en faire une expérience mémorable pour eux....


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Ce récit est une traduction d’une œuvre pour le moment inachevée écrite par un surnommé Bogus. Le texte original est en anglais

Attention ! il s’agit d’une histoire décrivant des scènes de violence et de sexe à ne pas mettre entre toutes les mains. L’action est généralement consensuelle, même si on peut parfois être tenté de l’oublier…



Commentaires

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vendredi 26 novembre 2021 à 07h39 - par  Henic

L’ouvrage est en effet pour le moins brutal. Même bien traduit, il n’est pas pour « tout public ».