Brins de poésie, grains de folies - Délivrance

Délivrance
samedi 6 août 2011
par  Isatitou
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Puis tout à coup, la musique stoppe, la lumière inonde la pièce. Séverine invite tout le monde à la suivre. Une chambre immense, à la moquette profonde et moelleuse s’ouvre aux convives. Les burnous et les kamissas tombent. Les voiles, les strings, les soutient-gorges volent. Tout l’Orient atterrit sur la moquette, en simple appareil.

Vivement Séverine et Jean-Paul entraînent Isabelle et Thierry pour les initier.

Thierry tout ému :—Séverine, tu es magnifique !

— Tu es bien timide ! Regarde Jean-Paul a déjà deux doigts dans la chatte d’Isabelle, alors que les tiens à peine effleurent-ils mes tétons ?

Isabelle tout émoustillée :—Ho ! Jean-Paul, je me languis que ta belle bitte, pleine de jeunesse, remplace tes doigts.

— Ce soir Séverine est la reine de la fête. Tu lui plais. Elle passe avant moi. Ton homme est un vrai enfant : il lui suce les tétons. Va embrasse-la.

Thierry surpris :—Isabelle ! Que t’arrives-tu ? Tu deviens lesbienne ?

Jean-Paul complice :—N’est ce pas superbement excitant nos femmes qui s’enlacent ? Je vois que cela te procure un effet des plus raides, comme pour moi.

Séverine impérieuse :—Isabelle je veux manger ta chatte. Mets-toi à califourchon sur moi. Et toi Thierry régale-toi de la mienne.

Enfin la frustration de Thierry s’évanouit. Il contemple ce temple de sensualité. Son sang tambourine contre ses tempes. Juste quelques boucles blondes coiffent deux grandes lèvres pulpeuses à l’envie. Son cœur et sa bitte palpitent. Les petites lèvres roses, humides et grandes ouvertes s’épanouissent sur un jaillissant bouton. Thierry n’y tient plus, sa langue d’une folle farandole virevolte sur ce bourgeon exquis. Les cuisses frémissent. A petits coups biens appuyés, la pointe dure de sa langue assaille sans relâche ce jeune et fringuant clitoris. Les hanches mènent folle cavalcade, désarçonnant la bouche gourmande. Thierry, fermement, de ses deux mains, maintient ce piaffant bassin. Puis, implacablement sa langue titille. Soudain, d’un violent et puissant sursaut, Séverine envoie valdinguer mains, langue, bouche et tête de son amant. Séverine a joui !

Le champ de vision de Thierry s’élargit. Isabelle et Jean-Paul s’embrassent à pleine bouche. A pleine main Isabelle masturbe Jean-Paul, dont le majeur disparaît en plein cœur des fesses d’Isabelle. A pleines lèvres Séverine embrasse la juteuse chatte d’Isabelle. Puis, Jean-Paul passe derrière Isabelle, enfile un préservatif. Et d’un coup sec il s’engouffre dans la caverne bien humide d’Isabelle. Thierry couche alors sa joue gauche sous la magnifique poitrine de Séverine, une main sur chacun de ses seins fermes à souhait. Quel spectacle fantastique ! A une trentaine de centimètres la bouche de Séverine épouse le bourgeon de son épouse ! A quelques centimètres les puissantes fesses de Jean-Paul se contractent, afin d’investir bien à fond le sexe de sa femme ! Les jeunes bourses, pleines de vie effleurent presque la joue droite de Thierry !

Puis brusquement Isabelle et Jean-Paul explosent en un puissant râle d’extase !

Séverine se redressant :—Jean-Paul, quelle belle jouissance ! Passe-moi ta capote.

Isabelle ravie :—Fantastique la jeunesse ! Jamais je n’ai joui aussi vite, aussi fort !

Séverine en maîtresse femme :—Thierry, allonge-toi sur le dos. Il y a des risques à séduire la femme de pouvoir que je suis. La semence de Jean-Paul est pour toi. Ouvre la bouche.

Isabelle riant :—Excité comme il est il va se régaler.

Séverine conquérante :—En effet, gourmand. Je vais m’occuper de toi, tu l’as bien mérité. N’est-elle pas belle ta virilité, ainsi gantée de ce préservatif rose ? Ma chatte va l’engloutir avec délice !

De nouveau les yeux gris-vert accrochent le regard de Thierry. Millimètre par millimètre une exquise chaleur glisse sur son vit. Centimètre par centimètre les yeux gris-vert plongent vers ceux de Thierry. Ils sont là tout près. Thierry, le souffle court, médusé, entièrement sous le joug de leur vouloir. Les yeux gris-vert se ferment. Les lèvres s’entrouvrent, puis s’enlacent. De durs tétons s’incrustent dans la poitrine de Thierry. Les pubis se soudent. Sans le moindre râle, sans le moindre mouvement, Thierry s’épanche en Séverine. Elle se redresse victorieuse.

Isabelle dépitée :—Hé bien Thierry ! Ce n’est pas comme cela que je t’ai élevé ! Tu as tenu moins de cinq secondes !

Séverine brandissant la capote pleine de sperme :—Ce n’est pas pour me déplaire. Thierry régale-toi de nouveau.

Isabelle grimaçante :—Oh ! Maintenant qu’il a joui, cela lui plaira moins.

Séverine le sourire en coin :—J’y tiens encore plus. Aller Thierry ceci t’appartient, encore un petit effort. Bravo !

Isabelle volage :—Thierry je te laisse. J’ai envie de découvrir d’autres hommes, voire d’autres femmes.

Séverine possessive :—Moi non. Tu lèches divinement bien. Je tiens à en faire profiter toutes mes copines.

— Thierry il reste Maéva. Regarde cette splendide métisse ! Elle et son homme batifolent avec ta femme.

Isabelle rayonnante :—Thierry génial j’ai goûté à tous les hommes, et presque toutes les femmes. Je constate que toi aussi tu as festoyé.

Séverine câline : —Maéva allonge-toi là. Et laisse-toi griser par la langue de Thierry.

Isabelle mutine en diable :—Thierry je te présente Marc le mari de Maéva, un géant de Martinique.

— Tout est géant chez Marc. Isabelle et Maéva sucez-le. Regarde Thierry, personnellement je n’en ai jamais vu d’aussi grande et d’aussi épaisse !

Isabelle au creux de l’oreille de Séverine :—Le gode noir que j’enfile à mon homme est ridicule par rapport à la bite noire de Marc.

Séverine souriant :—Ton homme est bi ?

Isabelle riant :—Bi je ne sais pas, mais non dépucelé certainement !

Tout en butinant, Thierry admire le contraste entre le rose intime de Maéva et son sexe au tain mat, complètement lisse et sans poil. Tout en caressant Isabelle déroule une capote sur la gigantesque verge de Marc.

Séverine enjouée :—Thierry, il me semble que Marc se montre assez jaloux du plaisir que tu procures à sa femme. Il en bande énormément. Tous mes amis se regroupent autour de nous, pour ne pas manquer une miette du spectacle. Incontestablement la plus impatiente c’est Isabelle.

En effet, Isabelle écarte les fesses de Thierry, puis guide le sculptural gland ébène jusqu’à l’effleurement de la vierge corolle. Sous la bise du bout de Marc Thierry trésaille ! Lentement la défloration commence. Fulgurante la douleur irradie les entrailles de Thierry : il n’est plus que tremblements !

Séverine sévère :—Holà Thierry ! Ce n’est pas parce qu’un phénoménal phallus noir s’insinue en toi, qu’il faut arrêter ta langue. Si je conçois, avec plaisir, que tu dois le sentir bien passer, je n’admets pas que tu délaisses Maéva. Souffre et lèche.

Fantastique ! Le pieu de Marc a disparu complètement. Ses bourses cossues se nichent même entre les fesses tremblantes de Thierry. Maéva gémit de plus en plus, faisant perdre à son athlétique martiniquais tout contrôle : à grands coups de rein il défonce le mari d’Isabelle.

Quelle « sublimissime » caresse buccale ! Quel « bellissime » enculage !

Alors que les Maéva et Marc s’envolent de volupté, une clameur d’applaudissements remplit la chambre.

Séverine rayonnante :—Super ! Jamais personne ne m’a offert un aussi exceptionnel cadeau d’anniversaire.

Encore une fois Thierry s’immerge dans les yeux gris-vert de Séverine.

Jean-paul époustouflé :—Maéva, Thierry et Marc félicitations. Et Merci à vous tous mes amis pour cette soirée inoubliable !

Isabelle exaltée :—Thierry je te l’avais bien dit que nous allions nous éclater !

Thierry minaudant :—A qui le dis-tu ? J’en connais un qui est particulièrement éclaté !

Isabelle riant :—Regarde, moi aussi, ma chatte n’a jamais été autant ouverte. Que de belles et dures bites elle a accueilli !

Thierry au garde-à-vous :—Vois, la mienne de même voudrait bien profiter de ta chaleureuse ouverture !

Isabelle enjôleuse :—Ton spectacle a enflammé tout l’orient. Regarde chaque convive convole avec sa moitié légitime, pour de coquines étreintes sur la moquette. Viens en moi !

FIN

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Commentaires

Logo de Lucile
mercredi 8 janvier 2014 à 15h55 - par  Lucile

Mon ami m’a invité à me rendre sur votre blog et vraiment je ne regrette pas. J’y découvre une foule de posts intéressants. A très bientôt.
Lucile